Impressionnant ce que recèle le génie humain comme imagination pour créer les pires supplices pour ses semblables...
Le garrot espagnol (aussi nommé le lacet étrangleur) est une arme de torture, mais aussi d'exécution qui a été utilisée jusqu'en 1975. Le condamné était assis tandis qu'une vis venait lui écraser le larynx avant, éventuellement de percer la nuque.
Un triangle d'empalement nommé le Berceau (ou Chaise) de Judas. Une personne, suspendue par des crochets était "assise" sur sur le triangle, le but étant de créer une insupportable douleur à l'entrejambe. Ainsi, lors d'une séance de torture, quand les réponses des torturés convenaient aux tortionnaires, la victime était relevée. Dans le cas contraire, on asseyait davantage l'individu sur la pointe du triangle.
Précision complémentaire: la victime était nue et la pyramide très rarement nettoyé.
La guillotine. Bon, on ne la présente pas. Evidemment, son succès n'est pas forcément connu pour la torture. Toutefois, il est impressionnant d'en voir une, même un modèle réduit. Flippant non de voir de si près la Louisette, la Veuve (surnoms donnés sous la Révolution). Elle a été utilisé en France pour la dernière fois en 1977. Avant d'être définitivement rangée au musée en 1981.
L'âne espagnol. Instrument qui a connu son succès sous l'Inquisition. La victime était assise sur l'instrument, avec des poids aux pieds pour renforcer la douleur. Certains modèles étaient agrémentés de piques là où la personne était assise, histoire de renforcer la souffrance.