15 décembre 2008
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Dans une rue du vieux Poitiers, Samedi 13 Décembre 2008, vers 16H.
Il n'est pas très étonnant que des messages de ce topo là fleurissent dans les villes universitaires de l'Hexagone. La contagion évoquée dans les médias sur toute la jeunesse en Europe occidentale n'est pas vraiment certaine de voir le jour. Disons que la jeunesse française se trouve être dans une majorité plus déprimée que révoltée: peur de l'avenir, du chômage, de la pauvreté...La déprime aurait plutôt tendance à amener un relâchement de la population, espérant conserver ses maigres acquis.
Les jeunes de Grèce, quant à eux, sont dans une phase de révolte, ces "émeutes" étant l'expression d'une colère et d'une rage qui n'ont cessé de grandir depuis des années.
Concernant la Grèce, il y a très peu voire pas du tout d'informations sur la poursuite des évènements dans la pays du Parthénon et du sirtaki. Des escarmouches, apprend on par Médiapart, ont éclaté après une manifestation ce samedi. Voilà tout. Ne maîtrisant pas le grec, et encore moins l'anglais, difficile d'avoir plus d'infos "fiables" sur cette actualité brulante.
Pas de vidéos non plus: l'apologie des incendies d'immeubles n'est pas non plus une information pertinente pour le coup.
Les jeunes de Grèce, quant à eux, sont dans une phase de révolte, ces "émeutes" étant l'expression d'une colère et d'une rage qui n'ont cessé de grandir depuis des années.
Concernant la Grèce, il y a très peu voire pas du tout d'informations sur la poursuite des évènements dans la pays du Parthénon et du sirtaki. Des escarmouches, apprend on par Médiapart, ont éclaté après une manifestation ce samedi. Voilà tout. Ne maîtrisant pas le grec, et encore moins l'anglais, difficile d'avoir plus d'infos "fiables" sur cette actualité brulante.
Pas de vidéos non plus: l'apologie des incendies d'immeubles n'est pas non plus une information pertinente pour le coup.