16 août 2009
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Que dire de plus que tout ce qui a été jusqu'à présent, afin d'éviter de tomber dans des banalités genre pro ou anti Woodstock...
Simplement voir, se remémorer un instant qui restera unique dans l'Histoire de l'Humanité: 500.000 personnes qui se réunissent sous l'égide de la contre-culture de ces années 60 qui touchent à leurs crépuscules, emmenant dans leurs sommeils éternels la vivacité du mouvement hippie.
A l'arrache dirait-on aujourd'hui, bien que l'improvisation (contrôlée) fut très grande.
A ce sujet une interview très interessante sur Woodstock à lire sur LeMonde.fr.
Simplement voir, se remémorer un instant qui restera unique dans l'Histoire de l'Humanité: 500.000 personnes qui se réunissent sous l'égide de la contre-culture de ces années 60 qui touchent à leurs crépuscules, emmenant dans leurs sommeils éternels la vivacité du mouvement hippie.
A l'arrache dirait-on aujourd'hui, bien que l'improvisation (contrôlée) fut très grande.
A ce sujet une interview très interessante sur Woodstock à lire sur LeMonde.fr.

Contrairement aux idées reçues, Woodstock n'était pas totalement éloigné des soucis du quotidien. Par exemple, au cours des trois jours, il y a eu un moment donné un gros orage qui s'est abattu sur le festival posant évidemment des problèmes.
A chaque probleme sa solutions? Les festivaliers vont apporter leurs réponses parfois d'une manière originale, le système D ayant fonctionné à plein dans tous les domaines.
Et le bonus vidéo du jour sera consacré à l'ami Santana (plus original pour le coup que Hendrix et Joplin, bien qu'ils soient tous deux très respectables, artistiquement parlant), avec un extrait qui est tiré d'un document de Arte.