Avec une illustration en Une, chose très rare à l'époque pour que cela mérite d'être souligné!
Une actualité peu joyeuse pour Pâques 1977La Une de la Nouvelle République, Samedi 9 Avril 1977, N° 9892.
En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!
Avec une illustration en Une, chose très rare à l'époque pour que cela mérite d'être souligné!
Une actualité peu joyeuse pour Pâques 1977La Une de la Nouvelle République, Samedi 9 Avril 1977, N° 9892.
BARBARA CELIS - Nueva York - 08/04/2010
Malcolm McLaren, legendario manager de los Sex Pixtols y los New York Dolls y ex pareja de la diseñadora Vivian Westwood, ha fallecido hoy en Nueva York a los 64 años víctima de un cáncer. "Llevaba enfermo una temporada y aunque había recuperado la salud, su condición empeoró muy deprisa. Ha muerto en Nueva York esta mañana. Vamos a trasladar su cuerpo a Londres y lo enterraremos en Highted Cementery" ha declarado su portavoz Les Molloy. La agencia Reuters citando a su novia, Young Kim, dice que el fallecimiento se ha producido en una clínica de Suiza donde estaba siendo tratado de un tipo raro de cáncer llamado mesothelina.
Abandonado por su padre y críado por su abuela en los suburbios de Londres, McClaren fue el primero en ver el filón popular que podía tener la música punk, aunque su entrada en ella le llegó por vía de la moda. En 1971 abrió una boutique en Londres junto a su pareja de entonces Vivian Westwood que bautizó King Rock. Allí vendían los diseños de la atrevida Westwood y ropa para Teddy Boys. En uno de sus viajes relacionados con la moda conoció en Nueva York a la banda The New York Dolls y se ofreció a ser su manager en 1974. Pero la banda ya estaba casi en su último estertor y su trabajo como representante duró poco.
Sería en 1975, cuando un encuentro fortuito crearía una de las alianzas más fructiferas de la música. Su asistente le llevó a la tienda, rebautizada como Too Fast to Live Too Young To Die, a John Lydon, que por aquel entonces tenía una banda llamada The Strand. Tras conocerse Lydon se convirtió en Johnny Rotten y su grupo en The Sex Pistols.
El papel de McLaren fue esencial en el éxito de este grupo que reinó en el movimiento punk británico y cuyas actuaciones siempre estuvieron rodeadas de controversia. McLaren fue precisamente el que ideó en 1977 un concierto sobre el Tamésis frente al House of Parliament coincidiendo con el jubileo de la Reina de Inglaterra y al que decidió llamar God Save the Queen. La provocación fue demasiado fuerte. Por supuesto el barco fue ocupado por la policía y McLaren arrestado.
Tras la disolución de los Sex Pistols McClaren intentó construirse una carrera como músico en solitario, con algún que otro éxito. En años recientes Mariah Carey y Eminem samplearon su música. Pero su nombre siempre quedará unido a The Sex Pistols.
Encore une oeuvre poitevine de l'ère Vertadier!
Hommage à ces dizaines de milliers de lycéen(ne)s, passé(e)s tout comme moi à Aliénor d'Aquitaine!
La Nouvelle République, Samedi 5 Avril 1975.
La Nouvelle République, Mardi 8 Avril 1975.
Vous aurez remarqué que la star montante de la politique locale, de droite, des années 1970 Jean-Yves Chamard est encore sur les photos, en tant qu'adjoint du maire Pierre Vertadier.
Par ailleurs, vous pouvez retrouvez ICI une image de l'intérieur d'Aliénor en 1976, ainsi qu'un aspect extérieur de la MJC du lycée en 1977 en cliquant sur ce lien.
Enfin, concernant la facture des travux voici ce que les 22 millions de Francs 1975 représentent en Euros: sachant 1€ de 2009 vaut 0,63811 Francs de 1975 cela fait 22 millions X 0,63811 =14.038.420.
La note, en monnaie actuelle, du Lycée Aliénor d'Aquitaine représente donc 14.038.420 € de 2009, et non 3,35 millions d'Euros, que l'on obtiendrait si l'on faisait une simple conversion F/€, ce qui ferait un résultat complètement erroné et insignifiant.
Quand ça veut pas, ça veut pas!
Pour le peu de fois où les médias nationaux parlent de la Charente-Maritime, écrivez au moins le nom de ce (beau) département correctement, bordel de cul!
Trouvé sur le site du Monde.fr, Dimanche 21 Mars 2010 vers 15H30.
Xynthia a fait parler, en négatif, du 17, et les médias nationaux maltraitent le nom de ce département. Et entre l'heure de publication sur le site (du journal de référence de la France dans le monde, quand même) et le dénichement de cette faute, dans le titre à savoir aussi énorme qu'un gros bouton rouge sur le nez, il s'est quand même passé près de 24heures.
J'avais déjà, il y a quelques temps de cela, pondu un bref article, en m'en prennant à Libé, qui avait fait un festival de fote d'auretograf suffisament immonde pour provoquer un arrêt cardiaque à Bernard Pivot.
Alors de deux choses, l'une: tout d'abord, les habitant(e)s du 17 s'appellement les Charentais(es)-Maritimes, et , de deux, son nom s'écrit ainsi:
CHARENTE-MARITIME
Son nom était tout un programme : Eugène Terre'Blanche. Le leader de l'extrême droite blanche et raciste sud-africaine a été assassiné samedi dans sa propriété du nord de l'Afrique du Sud, par deux de ses employés noirs avec lesquels il était en conflit. Un meurtre qui intervient dans un contexte de tensions dans les relations entre Blancs et Noirs en Afrique du Sud,poussant le président Jacob Zuma à lancer samedi soir un appel au calme.
Ancien policier agé de 69 ans, Eugène Terre'Blanche était le fondateur et le leader d'un petit groupe, l'Afrikaner Weerstandsbeweging (AWB), le Mouvement de résistance afrikaner, dont l'emblème était proche de la Swastika du parti nazi (voir photo ci-contre), et qui s'était donné comme objectif dans les années 80 d'empêcher la marche vers la fin de l'apartheid en Afrique du Sud.
Sous la houlette de ce colosse aux outrances verbales célèbres, l'AWB avait mené quelques actions spectaculaires, comme en 1993, lorsque Eugène Terre'Blanche avait fracassé son véhicule contre le World Trade Center de Johannesburg où se tenaient les négociations sur la fin de l'apartheid.
Un an plus tard, une petite troupe armée conduite par le même TerreBlanche tentait un putsch dans le territoire tribal du Bophuthatswana, dans le nord de l'Afrique du Sud, pour y créer une République blanche séparée de l'Afrique du Sud. Par la suite, des attentats attribués à ses partisans firent 21 morts.
Eugène Terre'Blanche connut la prison en 2001, pour possession d'armes, après avoir voulu tuer un garde de sécurité sur une ferme. Il y passa trois ans.
Libéré en 2004, il cessa de mener des actions violentes, mais continua à diriger l'AWB, tout en vivant librement dans cette Afrique du Sud post apartheid alors que partout ailleurs sur le continent, il aurait dû s'exiler ou croupir en prison. Ce qui ne l'empêchait pas de dénoncer ce qu'il considérait comme la « trahison » de son peuple, les anciens »Boers », les Afrikaners, lointains descendants des colons hollandais et huguenots français (dont il était, comme son nom l'indique), arrivés à partir du XVII° siècle.
Voir, à titre d'exemple, ce discours prononcé six mois avant sa mort, dans lequel il ne renonce à aucune de ses convictions sur la légitimité de l'apartheid (voir la vidéo, en afrikaans avec sous-titres en anglais).
Son assassinat, attribué selon les premiers éléments à une dispute salariale avec deux de ses employés noirs, intervient en pleine polémique autour du retour d'un chant guerrier intitulé « tuons le boer », dont Rue89 se faisait l'écho vendredi.
Ce chant, issu de la période de lutte clandestine du Congrès national africain (ANC), le parti de Nelson Mandela, avait disparu depuis deux décennies. Il a ressurgi à l'initiative de Julius Malema, le leader de la Ligue de la Jeunesse de l'ANC, prompt à alimenter l'ambiance populiste ambiante depuis l'émergence de Jacob Zuma à la tête du parti au pouvoir.
Ce chant anti-blancs a été interdit par un tribunal sud-africain, mais Julius Malema l'a encore entonné vendredi, défiant ainsi la justice mais, semble-t-il, « couvert » par le président Zuma.
Sur les sites internet sudafricains, les internautes ont vite fait d'établir un lien entre l'« affaire Malema » et le meurtre de Terre'Blanche, le « Boer » par excellence. Et d'ajouter à ce cocktail explosif l'approche de la Coupe du monde de football, un enjeu majeur pour l'Afrique du Sud en juin prochain, qui ne peut pas se dérouler dans un climat d'agitation et de tension interne.
Les partisans d'Eugène Terre'Blanche appellent à la revanche, mais leur audience et leur capacité de nuisance ont fortement diminué depuis les années 80. Ce que ce meurtre peut entraîner, en revanche, c'est le sentiment d'insécurité et de marginalisation auprès des Blancs qui avaient choisi de rester dans l'Afrique du Sud post-apartheid, et qui, même s'ils ne partageaient pas les vues extrémistes du leader de l'AWB, ne manqueront pas d'y voir un mauvais augure pour l'avenir.
Eugène Terre'Blanche restera dans l'histoire sud-africaine comme un personnage extravagant, directement surgi de la mythologie guerrière et biblique des Boers, qui aura vainement tenté de reproduire l'histoire du XVIII° siècle au XX°, et qui n'aurait sans doute pas désavoué sa fin, sous les coups de « pangas » (machette) d'un « ennemi » noir.
Voici un portrait de Terre'Blanche réalisé bien avant sa mort par ses partisans. On y voit le personnage dans ce qu'il peut avoir de charismatique auprès des Afrikaners. (voir la vidéo)
Photo 1: affiche de propagande de Terre'Blanche, province du Cap, 2008, Pierre Haski/Rue89.
Photo 2: Eugène Terre'Blanche dans les années 1970, cliché trouvé ici.
Un jour férié purement religieux: une bizarrerie parmi tant d'autres qui caractérise notre République laïque depuis 1905!
Mais un lundi férié offert par la maison France, qui plus est au printemps, ça ne se refuse pas!
En Une de la Nouvelle République, illustration de A. Charpentier, Samedi 9 Avril 1977.
Et pourtant c'est vrai et justifié!
L'Arabie importe...du sable!
"L'Arabie Saoudite s'est portée acquéreuse aux Pays-Bas de cinq tonnes...de sable. Cet achat, pour le moins surprenant, ne signifie nullement que l'Arabie Saoudite veuille économiser ses ressources naturelles en la matière, qui sont pratiquement inépuisables. Le fait est que le sable saoudien ne convient pas aux filtres utlisés pour l'épuration pour l'épuration des eaux des piscines."
Centre Presse, Rubrique "Sachez Que", début Septembre 1979.
Pour faire un plan média bidon, elle n'en loupe pas une!
Poitiers, Quartier St Eloi, Avenue de la Fraternité (ou de la Fraternitude), Mercredi 23 Septembre 2009, vers 19H.
Selon le site de l'INPI, l'ex-candidate PS à la présidentielle a acheté le 15 janvier les appellations "université populaire", "universités populaires", "universités populaires participatives", "université populaire de la fraternité" pour le compte de son association Désirs d'avenir. La présidente de la région Poitou-Charentes a entrepris cette démarche par "souci de protection", pour empêcher "l'utilisation commerciale ou peu scrupuleuse de cette appellation", explique Kamel Chibli, secrétaire général du mouvement.
Mais le monde de la recherche s'est ému de cette appropriation. "De quel droit pouvez-vous 'acheter' le label Université populaire ? Appellation qui appartient au patrimoine français de l'éducation populaire", écrit Patrice Leclerc, conseiller général de Gennevilliers et secrétaire de l'Université populaire des Hauts-de-Seine, dans une lettre à Ségolène Royal. Le collectif "Indépendance des chercheurs" s'interroge : "Jusqu'où iront la marchandisation du savoir, la privatisation du patrimoine intellectuel et la participation active du monde politique dans ce processus de démolition ?" Face à cette bronca, la président de la région Poitou-Charentes a décidé "dans les prochains jours" de retirer la marque de l'INPI.
RADIO OLD SCHOOL
Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres
perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 (1972)