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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

22 mars 2012 4 22 /03 /mars /2012 09:34

Logo NR 21 Mars 1975

 

Les-petits-candidats-et-les-parrainages.JPG

 

Les duettistes et tous les autres

 

Un impitoyable engrenage pré-électoral fondé sur la stratégie logiquement égoïste des "grands" candidats, et sur une loi d'organisation fixant haut - 500 signatures d'élus qui seront rendues publiques - la barrière des parrainages de candidatures, restreint inexorablement l'éventail des candidats.

MM. Giscard d'Estaing et François Mitterrand sont immédiatement tombés d'accord sur une règle du jeu complice pour cette campagne. Il y aurait eux deux, les vedettes, face à face et en vedette. Et puis les autres tous les autres.

M. Marchais a sèchement dénoncé ce "numéro de duettistes" de MM. Giscard d'Estaing et Mitterrand. Mais la stratégie était inévitable. Et d'ailleurs MM. Chirac et Marchais n'ont, dans leur propre démarche, pas plus de souci pour les autres candidats.

Les quatre leaders politiques ont, en effet, verrouillé à leur profit exclusif les parrainages. Ils ont demandé - ou laissé comprendre - aux élus porteurs de leur couleur politique de ne pas accorder de soutiens aux autres candidats.

Et au demeurant, l'auto-censure est là, pour bloquer toute velléité libertaire d'élus de petites communes qui auraient bien aimé donner leur appui à un Lalonde, une Bouchardeau, voire un Coluche, mais qui n'en feront rien sachant que cet appui sera rendu public par le Conseil constitutionnel, avec toutes les conséquences financières, politiques et administratives qui pourront en découler pour eux et leur commune.

Au bout du compte les "petits" candidats risquent donc d'être préalablement écartés. C'est ce qui explique le S.O.S lancé par Brice Lalonde, candidat écologiste, qui n'arrive pas à obtenir ses 500 signatures (il en est à 310).

Bien sûr, il faut un minimum de dignité à la campagne présidentielle. Et il convient d'empêcher que n'importe qui puisse utiliser la tribune offerte pour y faire de la publicité y dire n'importe quoi.

Mais les arguments écologiques par exemple ne méritent-ils pas d'être entendus? De même le P.S.U. a lancé en France certains courants de réflexion (autogestionnaire par exemple) qui ont progressé, pourquoi la représentante de ce mouvement, Mme Bouchardeau, n'aurait-elle pas droit d'animer, voire d'enrichir le débat présidentiel?

Or, que peuvent faire ces "petits" candidats?

Menancer? Mme Huguette Bouchardeau évoquant "les pressions exercées pas la direction du P.S. sur ses élus" pour qu'ils ne donnent pas leurs parrainages à qui que ce soit d'autre que le candidat socialiste a laissé entendre à François Mitterrand dans la perspective du second tour: "Si François Mitterrand nous contraignait au silence au premier tour, il nous y contraindrait aussi au second". Autrement dit pas de P.S.U.: pas de soutien P.S.U. Mais est-ce suffisant?

Compter sur l'évolution des bons sentiments?

On dit que les "stratèges" giscardiens souhaitent que le courant écologiste soit représenté et pourraient ainsi aider Brice Lalonde à obtenir ses 500 signatures. C'est possible. C'est même probable. Avec une bonne publicité, M. Giscard d'Estaing ferait ainsi connaître ses sentiments écologistes. Cela lui serait bénéfique pour le second tour. D'autant qu'au premier tour, M. Lalonde pourrait drainer un maximum de voix de jeunes opposants et en priver par contre-coup M. Mitterrand...Mais dès lors cette participation des écologistes au débat présidentiel apparaît subordonnée à des stratégies électorales. Ce ne semble pas satisfaisant.

Il y a assurément quelque chose qui grippe un peu dans l'élection présidentielle dans la mesure où elle est théoriquement au suffrage universel direct mais passe d'abord par les "censures" de 500 élus et leurs partis.

 

Jean-Claude ARBONA

 

La Nouvelle République, vers le 20 Mars 1981.

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16 mars 2012 5 16 /03 /mars /2012 10:28

Au menu: Timbale de Macaroni et Confiture de Bananes!

Pour-vous-Mesdames.JPGCentre Presse, Mi-Mars 1977.

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10 mars 2012 6 10 /03 /mars /2012 08:41

Giscard-efface-l-ardoise-des-7-ans.JPG

La Nouvelle République, Début Mars 1981.

 

Antenne 2, Lundi 2 Mars 1981, 20H.

 

"UN CITOYEN-CANDIDAT, PAS UN PRESIDENT-CANDIDAT"

 

Voici l'intégralité du discours du président Giscard d'Estaing du Lundi 2 Mars 1981, diffusé à 19H, puis dans le JT d'Antenne 2 de 20H.

 

"Françaises, Français,

 

Mes chers amis,

 

Dans un peu plus de cinquante jours, vous voterez pour le premier tour de l'élection présidentielle. A ce sujet, j'ai trois choses à vous dire.

Je vous rendrez le pouvoir que vous m'avez confié en mai 1974. Ce pouvoir, je me suis efforcé de l'exercer pour le bien de la France, et aussi celui des Français dans la mesure de mes moyens. Je n'ai jamais pensé qu'il m'appartenait. J'ai toujours su qu'il était à vous, qui me l'avez confié pour la durée de mon mandat. Je vous le rendrai intact.

Je veux aussi remercier toutes celles et tous ceux qui m'ont aidé, par leur soutien, à assumer ma tâche dans ces temps difficiles. Ce ne sont pas les Français les plus bruyants. Ce ne sont pas non plus ceux dont la vie est la plus aisée, mais je les ai reconnus. Ce sont ces Françaises et ces Français qui ont fait, qui font, et qui demain feront la France.

Qu'elle est à deux mois de l'élection la situation politique de notre pays? La crise économique, avec les mécontentements et les inquiétudes qu'elle engendre, et que je comprends, pèse sur les esprits.

L'opposition demeure identique à elle-même, avec les mêmes dirigeants acharnés depuis 1958 dans leur lutte contre la Vème République, dirigeants condamnés par la force des choses, soit à gouverner avec les communistes, soit à trahir leurs électeurs, après avoir bénéficié de leurs votes, ce qui n'irait pas sans secousses graves. Proposant pour sortir de la crise des formules étatiques et bureaucratiques, qui ont échoué partout, et dont les défenseurs ont été chassés du pouvoir.

En même temps, toutes les informations indiquent, de manière évidente, qu'aucun autre candidat, ne pourrait l'emporter contre l'opposition.

Chacun de vous peut comprendre, par un raisonnement simple, qu'il serait conduit à coup sûr et malgré lui, vers une société dont il ne veut pas, et vers une décadence politique et économique, qui s'observe ici et là.

Tout l'effort de rétablissement et de remise en ordre, tout le travail courageux des Français pendant les dernières années, serait dissipé en quelques mois. Adieu alors, la solidité du Franc, et la liberté d'entreprise. Adieu l'indépendance nucléaire et le rôle de l'indépendance dans le monde. On l'a vu se produire ailleurs, on le verrait aussi chez nous.

Nous ne pouvons pas accepter que le sort de la France se joue de cette manière. Elle ne peut pas être enchaînée à une fatalité qui l'entraine dans la direction contraire à celle où elle veut aller. Je ferais tout ce qui dépend de moi pour le lui éviter.

Et je vous demande de lutter contre cette mauvaise fatalité, et d'apporter votre soutien personnel aux progrès de la France.

La France mérite un vrai débat démocratique. Où la voix de la raison et du coeur, de la liberté et de la solidarité, se fasse entendre et finalement, j'en suis sûr, l'emporte.

 

J'ai décidé de me présenter à l'élection présidentielle pour un septennat nouveau. Pourquoi? Comme président, je n'y ai aucun droit particulier. Et personne ne me doit rien.

Mais pendant les sept années où j'ai veillé avec la France, j'ai connu ses problèmes et ses difficultés, j'ai aperçu son avenir, j'ai cherché et compris ce qu'il doit être fait pour qu'elle soit forte, heureuse et fière, et pour qu'elle s'adapte avec confiance dans ses possibilités qui sont grandes, au monde qui vient. Je vais vous le proposer.

Je ferais donc campagne. De quoi s'agit-il? De choisir un président pour la France, qui la représente dans le monde, qui anime et oriente sa politique à l'intérieur. Ce président ne peut pas être l'homme d'un parti. Je ne solliciterai l'investiture d'aucune organisation. Je n'accepterai aucun engagement, combinaison, ou manoeuvre.

C'est pourquoi je fais appel à toutes les Françaises et à tous les Français, pour que ce soient eux qui organisent leur soutien, à partir de leur ville, ou de leur terroir. Eux qui s'expriment et eux qui l'emportent.

Je ne cherche pas à recruter des partisans. Je cherche à réunir les Français. Je ne ferai pas appelle à la haine et à la véhémence. Mon rôle n'est pas de déchirer le tissu national. Il est de le recoudre. C'est pourquoi je ferai appelle à la raison et l'unité pour travailler et vivre ensemble.

Le Président de la République, continuera sa tâche jusqu'au bout ce qui est son devoir. Le candidat s'en distinguera entièrement. Je ne serai pas un président-candidat mais un citoyen-candidat.

Ma campagne comportera deux étapes: jusqu'à la fin du mois, en raison de mes fonctions, une campagne d'informations et d'explications. Puis à l'ouverture de la campagne officielle, une campagne de rencontres sur le terrain, avec vous.

Cette campagne, je ne la cueille pas comme une épreuve, mais comme une délivrance. Pendant sept ans, mon devoir d'Etat et la réserve nécessaire à ma fonction, m'ont interdit de m'exprimer en toute liberté. Enfin, je vais pouvoir vous dire d'homme à homme, ce que j'ai dans l'esprit, et sur le coeur. Je rendrai compte de mon mandat. Je montrerai comment j'ai respecté les engagements pris en 1974.

Je dirais les motifs et les circonstances de toutes les décisions importantes de mon septennat. Je montrerai comment, dans la crise économique la plus grave que le monde ait connu depuis cinquante ans, la France a fait face et a préparé son avenir; comment elle a progressé dans son niveau de vie, mais aussi dans sa justice sociale vis-à-vis des personnes âgées, des handicapés, des familles, des travailleurs manuels, comment elle a protégé sa liberté, comment elle a organisé sa sécurité, comment elle a agit pour la paix, qui était mon premier souci, et pour laquelle j'ai pris des risques personnels.

 

Je dirais quels problèmes nouveaux se posent à nous, notamment à notre jeunesse, pour son emploi et pour son avenir et comment nous pouvons les résoudre: ce sera l'engagement central de ma campagne.

Je ne ferais aucune promesse qui ne puisse être tenue.

 

Un mot personnel avant de vous quitter. Dans ce débat, mon sort n'a pas d'importance; il n'en n'a ni pour vous, ni pour moi. Tout s'efface devant le seul choix qui compte: celui du meilleur avenir pour la France. Et ce choix là, vous le tenez entre vos mains.

 

Bonsoir."

 

Avec l'aide la Nouvelle République, Mardi 3 Mars 1981.

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6 mars 2012 2 06 /03 /mars /2012 11:08

Logo NR 21 Mars 1975

 

Arts et spectacles

 

Vinyl ou C.D.: la guerre?

 

VINYL-CD-la-guerre.JPG

 

La bonne vieille cire prend toujours sur les amateurs de disques anciens. Quatrième bourse aux disques à Buxerolles, demain, pour juger sur pièce (rare).

 

INCONDITIONNEL des disques rock des fifties, Jean-Louis Rose, à l'enseigne du "Disque d'Or", rue E. Grimaux, vous le dira. Le vinyl, en disque neuf, ne fait plus qu'un pour cent des ventes, mais en occasion, il pulvérise les records, avec 80% de disques vendus. "Une partie de la clientèle veut du vinyl à tout prix".

Avec le Compact Disc qui inonde le marché, on leur a mis le couteau sous la gorge. On ne leur a pas laissé le choix. Le Compact Disc, inusable, c'est un mythe. Un C.D. s'abîme comme un disque vinyl lors d'une manipulation maladroite. On m'en emmène tous les jours qui sont "destroy".

Actuellement, 15% des Compact Discs sont musicalement impeccables. Le reste est repiqué sur des 33 tours, voire des 78 tours anciens. Et on n'a pas un son meilleur qu'à l'époque. En revanche, les C.D. enregistrés actuellement dans de bons studios, comme le dernier Dire Straits, ont un super son".

Jean-Louis Rose a lancé il y a quatre ans une bourse aux disques pour les collectionneurs en manque, qui voyaient arriver gros comme une maison les nouveaux supports destinés à remplacer le vinyl. Les bourses aux disques, c'est aussi un moyen de se frotter à d'autres collectionneurs venus de Paris ou Bordeaux pour trouver des pièces rares.

La salle du Planty à Buxerolles est une fois l'an le passage obligé des collectionneurs de Poitiers et de la région. Jean-Louis Rose dans son magasin de la rue E. Grimaux, a eu l'occasion de les cataloguer: "Les 20 à 25 ans sont attirés par la new wave des années 80, la pop des années 70 Jimi Hendrix, le Velvet Underground, les Doors. La clientèle ouvrière a une affection particulière pour Johnny. Les 40-50 ans sont attaché à des disques particuliers, avec une nostalgie pour les Stones. Comme pour le prix du baril de pétrole, on assiste parfois à une décote de certains disques, par exemple la version anglaise de Mylène Farmer, "Maman a tort". En revanche, on assiste un regain d'intérêt pour le rockabilly."

Jean-Louis Rose, derrière son comptoir exigü, confirme la bonne tenue de la IVè bourse aux disques, avec 50 marchands de toute la France et d'Angleterre. Des disques rares et pourquoi pas des C.D. Mais aussi des pin's et bandes dessinées. Gérard Millet, de Châtellerault, amènera avec lui la première B.D. en espéranto d'Astérix!

 

-IVème bourse aux disques demain dimanche 8 décembre, salle du Planty à Buxerolles, de 9hà 19h sans interruption. Bar et casse-croûte. Entrée 10F.

 

Gédé

 

La Nouvelle République, Samedi 7 Décembre 1991.

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5 mars 2012 1 05 /03 /mars /2012 11:09

A l'heure où l'Europe, avec la France et l'Allemagne en tête, tape sur la Grèce, souvenons-nous que nous fûmes les premiers à laisser déraper nos finances publiques, avec les résultats que l'on connait aujourd'hui!

2011: 5,5% de déficit budgétaire et 85,3% de dette publique!

 

 

Record d'Europe du déficit

 

La France fait la course en dette!

 

 

On est les champions!

 

Enfin un médaille d'or: en 2003, la France est devenue championne d'Europe des déficits publics. Le 1er mars, l'Insee a dû reconnaître que le total des déficits (budget de l'Etat, Sécurité sociale, assurance-chômage, collectivités locales) a atteint 4,1% du produit intérieur brut (PIB). 4,1% après 3,2% en 2002, 1,5% en 2001, 1,4% en 2000 et voilà comment Chirac, Raffarin et Mer* ont littéralement fait exploser le fameux critère de 3% du traité de Maastricht.

Et encore le déficit aurait même été supérieur à ces 4,1% si le Trésor Public, comme l'a révélé "La Tribune" n'avait pas récupéré 1,2 milliard d'euros dans les caisses d'EDF. Ce chèque, qui correspond à une dette fiscale de l'électricien national, n'a été encaissé par Bercy qu'en février 2004, mais a été pris en compte au titre de l'exercice budgétaire 2003. C'est le genre de petites astuces que peuvent s'autoriser les comptables publics.

Quant à l'endettement public, il a atteint un niveau record dans la longue histoire de la République, avec 63% du produit intérieur brut contre 58,6% l'an dernier. Dans ses dernières prévisions, Francis Mer assurait qu'en 2003 la dette publique n'atteindrait que (si l'on ose l'écrire) et que la barre des 63% ne serait franchie qu'en 2005. Elle l'a été avec deux ans d'avance.

Ainsi la dette de la France a-t-elle atteint le seuil symbolique des 1000 milliards d'euros, soit 15000 euros par Français. Comme le notent sournoisement "Les Echos" (2/3), "le risque est celui d'une perte de contrôle des finances publiques, les charges d'intérêt, à des taux supérieurs à ceux de la croissance, augmentant mécaniquement le déficit, puis la dette". Bref, l'engrenage fatal.

Finalement Raffarin a été bien inspiré de demander à son ministre Borloo de faire voter une loi sur le surendettement des ménages.

 

Le Canard Enchaîné, Mercredi 3 Mars 2004, N°4349.

 

*: Francis Mer, personnalité issue de la "société civile", fut ministre des finances dans les deux premiers gouvernements Raffarin, entre Mai 2002 et Mars 2004.

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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 10:01

La réinvention involontaire du vote censitaire?Electrice-distraite-europeenne-1979.JPGCentre Presse, Mi-Juin 1979.

Un billet de 100 Francs de Corneille de 1973, pris sur le site bookine.net

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23 février 2012 4 23 /02 /février /2012 10:58

Un succès indirect des Lada, Gaz et autres Volga...

Au 1er Janvier 1982, le parc automobile soviétique s'élevait environ à 15,5 millions de véhicules

 

Logo NR 21 Mars 1975

 

Le monde...sans frontière

 

MOSCOU :pas de pièces à y mettre

 

La location d'automobiles a été supprimée en U.R.S.S. pour les Soviétiques parce que les utilisateurs profitaient souvent de l'occasion pour faire main basse sur des pièces détachées des véhicules.

De nombreux automobilistes avaient ainsi trouvé le moyen de pallier la pénurie de pièces de rechange en Union soviétique en prenant ces pièces sur une voiture de location, et en les remplaçant par les pièces défectueuses de leur propre véhicule.

Seuls les étrangers peuvent aujourd'hui louer une voiture en U.R.S.S.

 

La Nouvelle République, Janvier 1981.

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18 février 2012 6 18 /02 /février /2012 10:08

La bonne affaire, le gros pigeon?

Bénéfice net garanti de 14€24!

KIT-EURO-2011-a-1-.jpgTrouvé sur leboncoin.fr le Samedi 31 Décembre 2011 vers 11H.

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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
500095 visites.062.JPG

Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

http://images.forum-auto.com/mesimages/518416/vignette81B.jpg

http://images.forum-auto.com/mesimages/64646/80.JPG
http://www.forum-auto.com/uploads/200511/vignet_1133117787_1979.jpg

http://www.forum-auto.com/uploads/200504/vignet_1114629809_78fa.jpg
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