Pris sur le site du Jeu des 1000 histoires, le webdocument sur le jeu des 1000 euros. Merci à Julie pour cette belle trouvaille!
La scène s'est déroulée à l'espace culturel René Monory de Loudun le Jeudi 11 Octobre 2012.
En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!
Pris sur le site du Jeu des 1000 histoires, le webdocument sur le jeu des 1000 euros. Merci à Julie pour cette belle trouvaille!
La scène s'est déroulée à l'espace culturel René Monory de Loudun le Jeudi 11 Octobre 2012.
Me voilà dépucelé enfin de la tension de vivre sous mes yeux d'une finale. Certes j'avais déjà vu des victoires (et une défaite) des Gigis en finale (Coupe de la Ligue 2002, 2007, 2009), mais c'était à travers la télé, la bière du footix à la main.
Et cette fois, sur un coup de sang irréfléchi (genre Balladur qui dit "Zut alors"), je me suis laissé tenter par l'aventure, de tenter de partir à la conquête du Stade de France avec ma petite voiture. Et un compagnon d'aventure, ce qui fut très simple à trouver. (Merci Sebastian)
Mais que ce fut dur pour y parvenir, entre les imprévus de dernière minute au boulot à régler impérativement avant de partir, le camion qui n'avance pas sur la route, le Néerlandais qui bloque MA file à MOI sur les 150 d'ouvertes au péage de Tours, l'arrivée sur Paris...pour 16H30 en plein pendant les bouchons (autre dépucelage). A ce sujet, je tiens à préciser que les Bordelais, souvent critiqués pour leur conduite sur leur périph' n'ont aucune leçon à recevoir des Franciliens qui sont simplement des fous furieux: s'ils pouvaient doubler par en dessous, ils le feraient!
Et enfin après deux heures d'attente à écouter RMC (les paris, c'est marrant, t'as l'impression d'être à la foire avec un marchand qui harangue la foule et un complice qui fait: "quoi, plus de 3 buts dans le match Bordeaux - Evian à une côte de 4,60, 10€ misés en rapportent 46, mais allez-y, faut y aller, c'est du bon!") et après de longs et interminables débats sur le PSG, bref, enfin nous sommes au Stade de France. Au parking P2. Inoubliable, car au moment où l'on a voulu y rentrer, bloqué dehors pour cause...d'alarme incendie. Oui, c'est logique après tout...
Nous voilà enfin aux abords du stade en attendant la traditionnelle étape de la fouille corporelle. Et là, je m'adresse tout particulièrement à toi, le Jean-Michel Faitchier de compétition, oui toi, le Monsieur Connard qui m'a forcé à déposer mon appareil photo à la consigne. Et pourquoi donc? Car sur le dit appareil, se trouve un objectif démontable! Diable, un projectile potentiel! Peut-être y a-t-il en France des hooligans fortunés se permettant de faire des jets d'objectifs pour le fun, à quoi bon vouloir immortaliser un tel évènement si c'est pour refaire Mai 68 en tribune avec des appareils photo! Eh connard, mon portable à clapet, c'est une arme de 4ème catégorie aussi?
Mais le pire, c'est qu'une fois dans le stade, je vois un monsieur, bonne cinquantaine, supporter girondin, avec...un appareil photo...lui aussi avec un objectif démontable. Délit de sale gueule? Délit de jeunisme? Excès de zèle d'un pauvre type?
Bref, à cause de ce crétin suprême, c'est la seule photo que vous verrez de MA finale.
Saint-Denis, entrée L du Stade de France, Vendredi 31 Mai 2013.
Une fois à l'intérieur du stade, il n'y avait plus qu'à suivre la fin de la finale de Coupe Gambardella (1-0, victoire de Bordeaux sur Sedan) et attendre, en subissant les pubs du Stade de France. Le moment épique: le ravitaillement. La pinte de Bukler à 9€ (dont 2 de consigne) coupe la soif directe. Et la merguez dans ce pain mou...un exercice de mastication digne de transformer votre mâchoire en une machine industriel. Je plains les personnes qui assurent le service dans les buvettes du stade: pas d'organisation, attente, incompréhension, attente,...
Je ne vais pas vous raconter la finale, je vous ai proposé lundi sur PPP un très bon article de SoFoot sur ce Bordeaux - Evian. Mais ce stade m'a laissé une étrange impression contradictoire: grand et petit à la fois, ce qui m'est très difficile à expliquer. Et je ne peux passer sous silence l'improbable affluence de cette rencontre : 77000 personnes selon l'Equipe, ce qui allait au-delà des estimations de la veille qui donnait 60000...au mieux. Et une audience de plus de 4 millions de personnes (19% de parts d'audience): pas mal pour une finale en bois!
Cependant l'essentiel n'est pas là.
Côté ambiance, j'ai une pointe de déception: en effet, je m'attendais à ce que ça chante, encourage durant 90 minutes, ou plus, et ce qui m'a paru, mis à part le temps qu'il restait quand Bordeaux menait, c'était le temps d'attente entre deux chants. Bon, au final, j'ai tout donné, j'y ai laissé ma voix sur place. Vu le scénario...et avec deux buts girondins sous les yeux (en virage excentré), j'acceptais tout, même la musique d'Antoine Clamaran, même de pas avoir mon appareil photo, même l'odeur de pétard, même les types qui ne cessaient leurs aller et venues en tribunes, même les supporters d'Evian (ce club, c'est une escroquerie: Evian-les-Bains a son propre club, c'est juste un caprice de Franck Riboud, PDG de Danone, pour faire de la pub, le club rassemblant seulement les équipes de Thonon et de Gaillard, tout de rose vêtus, qui de loin, pouvaient ressembler à un odieux croisement génétique de membres de la Manif pour Tous et d'amateurs du Stade Français! Mais la gagne était là: la Coupe est à nous.
Toutefois, lors de la remise de la Coupe par François Hollande, les écrans géants étaient très utiles. Et quand elle fut brandie, on pouvait distinguer au loin, au très loin (150 mètres?) un petit point brillant pas plus grand qu'un pixel sur un écran d'ordi. C'était elle, cette coupe qui était entre nos mains.
La dernière fois que Bordeaux est allé en finale de Coupe de France, c'était en 1987: le Franc, l'URSS, pas d'Internet, pas d'arrêt Bosman (on passera sous silence l'épisode de Calais en l'an 2000). Une telle opportunité ne pouvait se manquer. Et s'il fallait attendre encore 26 ans pour y retourner: c'est loin 2039 quand même! Une tentative pour moi: 100% de réussite.
Le retour fut long, mais agréable: forcément j'étais vidé. Et après le concert de klaxons à la sortie du parking, le retour sur terre se produit dès que l'on pénètre sur l'A1. J'ajoute que j'ai était frappé d'une chose sur le retour: c'est fou le monde que l'on peut croiser un vendredi soir à minuit sur le périph' à Paris: mais que peuvent donc foutre les gens à cette heure-ci?! Sur la route du retour, on a fait et refait le match. A 110 sur l'A10.
Et le plus beau dans tout ça: ce fut l'accueil triomphal que m'a offert le petit Gunther, de retour en Pictavie. A 04H30. Oui, c'est beau l'esprit de la Coupe.
On le sait, rien ne va être simple pour cette nouvelle année qui vient. Alors tâchons d'en profiter en ce jour de trêve, qui permet toutefois de nourrir quelques espoirs pour les 365 jours qui viennent.
A toi, le promeneur du cyber monde qui ne me connait pas encore, j'adresse mes voeux, tout comme à toi le fidèle lecteur, ainsi qu'à toi, le bloggueur du Poitou-Charentes (évidemment je compte les filles aussi), je souhaite que 2013 soit une grande année pour vous tous.
Santé, réussite, confiance en l'avenir: c'est tout ce que je peux vous souahiter pour l'An nouveau qui s'annonce. Que cette année laisse une trace positive dans l'Histoire.
Que chacune et chacun puisse parvenir à réaliser ses désirs, vivre ses espérances, découvrir un peu plus le monde qui l'entoure. Que 2013 vous apporte tout cela.
Bonne année Poitiers, Bonne année la France, Bonne année l'Europe, Bonne année le monde.
Et pourtant, elle marche encore
Bravo la Bécane!
Poitiers, Mercredi 18 Juillet 2012.
Putain, cinq ans! Cinq ans que je possède ma fenêtre sur le monde, celle qui a radicalement changé mon mode de vie. Photographie, mails, facebook, twitter, l'information, bref, tout a changé avec elle. Et pourtant, je partais de loin, moi, néophyte parfait en informatique (ce qui n'a pas trop changé...). Et pourtant elle a souffert, elle est tombée comme l'indique l'une des charnières de l'écran brisée depuis l'hiver 2008 après une chute de 80 cm. Et pourtant avec ces 6Go de libre sur 120 disponibles à la base, elle marche encore. Et pourtant, avec sa ventilation poussièreuse (inatteignable pour le nettoyage), elle ronfle un peu, mais me permet pratiquer au quotidien mais cyber-activités. Et enfin, elle connait la gauche au pouvoir après avoir vécu de bout en bout le règne et la chute de l'empire sarkozyste.
Un premier ordinateur, c'est comme un premier téléphone portable: ça marque, ça ne s'oublie pas. Je me souviens de ce 18 juillet 2007 où, à la FNAC de Poitiers, j'ai fait mon choix, après moult hésitations. C'était malgré tout un triste été (pluie, froid, sarkozysme) mais aussi à titre personnel. Je me souviens que je l'ai acheté à la base pour rédiger mon mémoire sur les municipales de Poitiers de 1977 (ce qui m'a fait d"couvrir les archives de presse), et qu'aujourd'hui je ne pourrais que très difficilement m'en passer, pour des raisons qui ne sont ni scolaires, ni professionnelles. Je me souviens du jour de l'achat (700€ à l'époque, 1000 avec malette et garantie), un bon copain m'a dit: "T'es sur Vista? Mes condoléances". Ce à quoi j'ai répliqué (spirituellement): "Eh ta gueule, connard, ch'ui débutant!". Cinq ans après, bon pied, bon oeil, elle est encore là, et passe les saisons sans encombres. Et je serais triste le jour où elle rendra l'âme. Alors je lui souhaite encore une longue vie. Car j'ai encore beaucoup de choses à lui demander...
PS: en 2008, déjà, je lui avais souhaité son premier anniversaire...
...et elle a beaucoup apprécié!
Au Parc de Blossac, Samedi 24 Mars 2012. PPP remercie une passante pour son interprétation et la tête de moine pour son sacrifice.
La tête de moîne est un fromage léger et délicieux qui nous provient d'un monastèredu Jura suisse et à la fois du Moyen-Âge (XIIème siècle), c'est dire s'il en a vu avant de finir au fond de votre gosier pour transmettre ces douces saveurs. Il est protégé par l'appellation d'origine contrôlée (A.O.C.) depuis 2001. Vous pouvez le retrouver ICI sur son site officiel. A retrouver dans les bons commerces de Poitiers.
Lors du meeting de Paris-Bercy, Dimanche 29 Avril 2012, 15H56.
Mai 2012. La fin de la bataille politique. C'est à proprement parler le terme de l'une des plus longues et des plus dures campagnes présidentielles. A l'heure où ses lignes sont rédigées, les jeux sont faits. Et c'est avec une certaine émotion que j'écris ce dernier article relatif à la campagne présidentielle de 2012 qui, perversité de la mise en place du quinquennat, aura tant occupé nos esprits durant le mandat de Nicolas Sarkozy.
Devant nous, citoyens de la République s'offre deux choix: celui de la continuité d'une politique sarkozyste de cinq ans qui a cherché tout au long de ces dernières années à monter les Français les uns contre les autres et qui s'est conclu, lors de l'entre-deux tours par une course effrénée vers une légitimation des valeurs nauséabondes de l'extrême-droite, celle-ci n'ayant jamais obtenue autant de voix sous la Vème République (6,4 millions) Ou celui du changement. Changement de politique, changement de cap, changement d'horizon. Le choix d'une société apaisée qui ne gouvernera pas à coup de sondages, où les valeurs et les principes de la République, celle qui unit, celle qui rassemble seront réaffirmées et renforcées. Parce qu'après une présidence faite d'agitation, chacun d'entre nous peut aspirer à une présidence normale, où le président préside et le gouvernement gouverne.
Le débat de mercredi soir, que pour ma part j'ai trouvé intéressant et instructif bien que de nombreux thèmes (culture, logement, santé,...) n'aient pu être abordés, a mis en lumière les divergences entre les deux candidats. Les choix sont clairs, bien que l'on ait du mal à comprendre véritablement le programme du candidat sortant. En effet, dans le cas où celui-ci viendrait à être réélu, cela signifierait-il que l'on rétablirait les contrôles au frontières, celui-ci menaçant de suspendre la participation de la France aux accords de Schengen de 1985 posant un principe fondateur de l'Union Européenne, à savoir la libre circulation des biens, des capitaux et des personnes? Devra-t-on considérer chaque personne de religion musulmane comme un ennemi de la République? Pourra-t-on tolérer encore et encore les réductions de poste dans la fonction publique au détriment du bon fonctionnent des servies publiques dans nos territoires? Et que penser, aux yeux des générations futures, du choix aveugle de poursuivre la politique de l'indépendance nucléaire au prix d'un quadrillage de la France par des centrales vieillissantes, en refusant d'accepter la montée en puissance des énergies renouvelables?
Le candidat François Hollande est le candidat qui peut nous permettre de sortir le pays du désarroi dans lequel il se trouve depuis 2007. Certes, il est bel et bien finit le temps des folles espérances de 1981. La gauche a appris de ses erreurs. Evidemment, la France devra encore subir les épreuves des différents aléas économiques, sociaux et financiers qui vont la frapper. Nul n'en doute. Mais l'investissement dans la recherche, l'innovation, l'éducation, ce sont les clés de l'avenir, celles qui peuvent permettre à notre pays de parvenir à s'imposer dans la compétition mondiale, à laquelle il faudra bien finir par poser des règles, car cette mondialisation là, nous ne pouvons plus l'accepter.
Et c'est là que la carte de l'Europe est un atout majeur, crucial, pour s'en sortir. L'austérité sans fin n'appelle que l'austérité, n'apporte que misère et colère. Elle éveille les tensions et les replis communautaires. C'est tout l'enjeu d'inscrire une orientation vers la croissance dans le traité européen de 2011 que la France n'a pas encore ratifié. Sans cela, nous courrons à la catastrophe. Tant au niveau français qu'au niveau européen.
Cela fait dix ans cette année que j'ai adhéré au mouvement des jeunes socialistes (MJS). Mon engagement (je suis un adhérent du 21-Avril) est le résultat d'une volonté d'inscrire les choix de notre pays en fonction des valeurs qui l'ont fondé, et qui font la devise de la République: la liberté, l'égalité, la fraternité. La France est un pays qui a fondé sa richesse, sa diversité, son identité grâce à son ouverture sur le monde. C'est pour cela que le droit de vote des étrangers aux élections locales sera un pas supplémentaire pour faciliter l'intégration de personnes qui bien que n'étant pas françaises, participe à la vie économique du pays. C'est le pays des Droits de l'Homme qui fait briller la France au delà des frontières, des monts et des océans. C'est de cela dont je suis fier. Et je resterai toujours favorable à la politique de la main tendue plutôt qu'à celle du doigt pointé.
Alors dimanche, nous, membres du corps électoral, nous serons plus de 80% à nous rendre aux urnes. Mettons de côté les sondages et donnons un maximum de suffrages à François Hollande. Cette légitimité issue d'un vote massif pour la candidat de la gauche nous donnera des forces supplémentaires pour mettre en oeuvre les 60 propositions de François Hollande, pour lesquelles, plus de 10 millions de citoyens ont voté, c'est-à-dire que même en 1981, candidat socialiste François Mitterrand n'avait obtenu autant de voix dès le premier tour.
Dimanche, voter François Hollande, c'est faire le choix du changement, de la justice, du rassemblement, de l'avenir, de l'espoir. Nous sommes prêts pour écrire une nouvelle page de l'Histoire de la République.
Au bureau de vote de la Maison du Peuple, Poitiers, Dimanche 22 Avril 2012, 13H.
PPP 2000
Les jours passent. Et chacun d'eux, à quelques exceptions près, depuis un soir d'Octobre 2007, est accompagné d'un article de PPP. Les thèmes abordés sont multiples et variés, accompagnent la marche du temps, mais aussi, nous rappelle ce qu'il s'est passé, ce que nous avons été, ce que nous avons fait, aimé, détesté.
2000. Pour les uns, ce numéro évoque l'année, cette peur du grand bug qui a hanté tant d'esprits. Pour d'autres, c'est un magasin, une station de ski.
2000. Un cap d'articles franchit qu'il me fallait modestement célébrer, depuis le Loudunais, et non depuis Poitiers.
Pour moi il sera difficile, à l'instar d'une revue, de faire un numéro exceptionnel. J'en ai l'envie pour tout dire mais je n'en ai ni la compétence, ni le temps. Et puis, ma maquette de présentation, l'interface, n'a pas excessivement changé depuis les origines, et c'est très bien ainsi.
Tourné vers le passé, le présent et l'avenir, la gamme des articles proposés évoluent selon ce que j'ai d'archives disponibles (environ 20000 photos), mais aussi de l'actualité au jour le jour.
Vous aurez pu remarquer que depuis quelques temps, j'ai pris l'habitude de recopier des archives de presse, et je remercie la NR et Centre Presse de ne pas m'embêter la-dessus, et même par ailleurs, de me mentionner dans leur colonnes, ce qui me fait toujours très plaisir quand je m'en aperçois.
Mais ce que je fais, au quotidien, je ne le fais pas que pour moi (bien que j'y prenne énormément de plaisir), mais aussi pour toi, lectrice, lecteur, en ayant depuis le début, ce même et simple credo: ne pas proposer uniquement ce qui va plaire, mais essayer de jouer la carte de la découverte, et sans doute, celle qui me semble la plus belle, celle de la redécouverte, à savoir quelque chose que l'on a vu, vécu, apprécié, rejeté, mais qui a marqué nos existences, la vie de notre ville, de notre pays.
Et cela, toujours avec de modestes moyens (un appareil photo, un ordinateur pouvant s'inscrire au rang des anciens combattants, un esprit tordu). Parfois, il m'arrive de me dire que je ne ferais pas cela toute ma vie, mais pourtant, je redoute toujours un peu plus, le jour où il n'y aura rien sur PPP. La publication, le partage, c'est presque une drogue. Je peux passer une heure pour réussir à trouver un article. Et ne pas être satisfait de moi, car l'article aura été bâclé, pas forcément exploité à 100% de ses capacités. Mais un journal est-il toujours fier de sa Une, de son contenu?
2011 aura été une excellente année pour PPP, comme pour moi. 9% de visites uniques quotidiennes supplémentaires entre 2010 et 2011 (66688 à 72701) et +15% de pages vues (117101 en 2010 contre 134676 pages vues en 2011). Et les retours que j'en ai sont toujours aussi bon.
Globalement, les grandes lignes de 2012 seront les mêmes qu'auparavant: des archives( des années 1960 aux années 1990), des photos, des incohérences, du sport, mais aussi, et vu l'année qui s'annonce, de la politique. Objective et militante.
Alors comme toute séquence d'autocélébration, je conclus mon propos un peu à l'image des fins des histoires d'Astérix (le banquet), à savoir le poids de la tradition du remerciement, toujours aussi sincère, mais jamais excessif.
Merci à toi, lectrice, lecteur, fidèle ou visiteuse, visiteur égaré sur la Toile. Je le dis tel que je le pense, et je le pense tel que je le dis, mais oui, l'aventure continue, en toute liberté, en toute indépendance, avec le même plaisir, la même passion des débuts: cette flamme du partage, je la conserve en moi.
Car oui, au-delà des 3000, des 4000 articles, des différents caps à franchir, tout simplement, je vous l'affirme le plus directement: j'ai encore tellement de choses à vous dire. Merci.
RADIO OLD SCHOOL
Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres
perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 (1972)