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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!
Saint Benoit, Samedi 26 Septembre 2009, vers 19H45.
Centre Presse, vers la fin Mars 1978. ANNE-SOPHIE LEURQUIN
vendredi 11 septembre 2009, 11:28
Les Guignols de l'Info, Jeudi 10 Septembre 2009, vers 20H.« Nous sommes en 2009 et vous regardez la télévision avec publicité, bonsoir », lance PPD comme à l'accoutumée ce jeudi 10 septembre. La formule d'introduction, qui se réfère à la volonté sarkozienne de supprimer la publicité sur les antennes du service public, fait mouche ce jeudi 10 septembre. Après le journaliste de la RTBF mardi, c'est « Le Soir » qui débarque sur le plateau des Guignols de l'info.
Jean-Philippe Schaller, le correspondant de la RTBF à Paris, a une marionnette à son effigie depuis mardi. Après avoir révélé dans un reportage de la chaîne publique belge que les ouvriers d'une usine française étaient sélectionnés pour apparaître à l'écran en raison de leur petite taille, le journaliste est devenu pour les Guignols le héraut d'une information qui ne soit pas à la solde du médiatique président de la République. En soulignant que cette information provient de Belgique, les Guignols égratignent la presse française et plus particulièrement « Le Figaro » et « Paris Match ».
Dans la séquence du jeudi 10 septembre, le journaliste réapparaît, cette fois comme un dealer qui refourgue sa came : « Le Soir » (rien de néfaste mais d'addictif et d'interdit en France, selon la parodie du Grand Journal).
Il interpelle PPD (« pstt, psstt »), qui lui demande si « c'est de la bonne ? ». « C'est de la pure mon pote », lui répond-il avant d'exhiber un exemplaire du « Soir » face caméra. A PPD qui s'assure qu'elle n'est pas « coupée avec un Figaro ou un Paris Match », il promeut « de la vraie info belge non trafiquée ».
Les satiriques Guignols ont un poids important dans le paysage médiatique français, certaines marionnettes devenant parfois plus célèbres que leur effigie. Après Coluche qui avait popularisé les Belges en s'en moquant volontiers, les Guignols labellisent la presse belge « indépendante ». Qu'on ne s'y trompe pas : comme nous l'écrivions jeudi : « Ici radio Bruxelles, les Français parlent aux Français ». Une formule qui vise surtout l'Hexagone : il s'agit plus d'un scud envoyé à la face des journalistes français que des fleurs offertes à leurs confrères belges.
PAROLE D'EXPERT:
C'EST UN CORIACE QUI TRAVERSE LES DECENNIES!
Affiche du MJS "recoupée" avec une photo du Président Giscard (un Auvergnat pourtant né à Coblence, chez nos amis Teutons), issue de La Nouvelle République, fin Avril 1976.
Centre Presse, Fin Janvier 1977.
La Nouvelle République, Mi février 1977.
Centre Presse, Mi Février 1977.
La sortie de François Hollande de l'espace Encan, après son dernier discours de clôture de l'Univ' d'été 2008 du PS. Le soleil quelque peu voilé est la pour accueillir le leader corrézien.
Le soleil est un peu moins voilé. Et les camarades vibrent en attendant l'arrivée du camarade patron du PS...
François Hollande, tel Hercule après ses 12 travaux, arrive à la table des récompenses divines: le pineau des Charentes! Petit journaliste, petit photgraphe, petit caméramen, tous 3 sont heureux: François Hollande va boire un verre de pineau sous leur yeux! Auraient-ils été jusqu'à payer pour assister à cela?
Et c'est parti: François le corrézien a attaqué son godet d'une manière virile! Le public est en délire, et l'on en viendrait presque aux mains pour assister aux premières loges pour assister à cet évènement!
Tournant politique du week end vu l'agitation des preneurs d'images et de sons: après la gorgée de la boisson charentaise, camarade patron du PS glisse deux-trois banalités ici et là (genre "Hum, il est bon ce pineau", ou encore "Bonjour, tu vas bien?"): petit photographe, petit caméraman, petit journaliste et petit preneur de son sont conscients des scènes historiques qui se jouent à ses instants sous leurs yeux.
Après la taumaturgie royale de Saint Louis, la poignée de mains de Saint François de Tulle, (différente encore de celle de Saint François de Jarnac) qui a l'air d'illuminer la vie de ce jeune homme (qui en fait et ça saute aux yeux voulait juste s'empifer trois godets de pineau). La scène est quasiment filmée par les photographes qui ont du prendre chacun plus d'une centaine de photos en 4 minutes chrono...
Au rendez-vous des braves, seuls les faibles seront terrassés! François retourne au boulot et un appareil photo me sort du ventre ( vous-avez vu mon gros objectif...?). Il est 13H13.
L'instant (re-)déclaration (imaginaire) politique majeur du week end: "oui c'est vrai ça fait depuis 1988 que nous n'avons pas pris les trois points de la victoire, alors que sur le fond on n'est pas si mauvais mais c'est sur la forme que ça ne va pas. Sur le dernier match présidentiel, on a encore pris une branlée, mais on limité la casse par la suite. Non, je pense que maintenant, il va falloir se sortit les doigts pour s'imposer en 2012 car à ce rythme là, on va jouer le maintien afin de ne pas tomber dans le cimetière des partis politiques et jouer dans la cour du RPR de l'UDF et du PCF."
Et pendant ce temps là, une aurtre course se déroule: celle des micros, et I télé devance BFM qui revient du diable vauvert pourtant. La descente du pineau a quand meme étrangement intéressé plus de monde...
ACHTUNG, ACHTUNG! Les choses s'accèlerent, petit journaliste, petit photgraphe et petit caméramen frétillent, il va se passer quelque chose d'intense: les routes vont se séparer. Mais au fait, ou est François? 
Eh beh voila, il se passe un truc! François que l'on a retrouvé monte dans le bus, nouvel évènement intense! Et dire qu'il y aurait presque baston générale (chic chic chic) pour prendre en photo et pour filmer François Hollande...de dos.
Il est 13H20, les festivités touchent à leur fin, on est triste et on se reverra, ici, l'an prochain. La presse a eu tout le week end le camarade Hollande, elle a encore plein de choses a lui demandé! Et au final, rien à raconter les jours suivants...
Ce que l'on pouvait s'en doute entendre: "Monsieur Hollande, un petit mot pour nous, oui nous, là avec le micro et la caméra!!!!"
Jusqu'à la fermeture des portes, c'est la cohue pour essayer d'arracher dans le meilleur des cas, un bon mot de la part du camarade patron du PS. Le jeu reste finalement à celui qui film le corrézien le plus logntemps possible, et qui ne fera jamais rien de ces images, vu qu'elles seront parfaitement inutilisables.
Raison et conscience professionnelle se sont emparées de petit caméramen qui filme le bus impérial qui s'en va: "Et un bus qui s'en va, se sont des choses qui se filment...", pourrait-on chantonner... Petit caméramen, petit journaliste, petit preneur de son sont contents, mais bien moins que petit photographe qui a eu le temps de prendre 450 photos d'un mec qui a bu un verre, serré 3 mains, et a pris le bus. Et petit polémiste est très heureux car il va avoir plein de niaiseries à raconter, entouré d'un égocentrisme recoupé d'un narcissisme fulgurant. Bref, c'est la rentrée politique qui s'annonce. MAOISTE EN 71, CHIRAQUIEN EN 88, SARKOZYSTE EN 2007...
STRANZ, UN ACTEUR (TROP) FORT DU MOUVEMENT ETUDIANT DE POITIERS DE L'ANNEE UNIVERSITAIRE 1970-1971...
Ces célèbres inconnus
Jean-Bernard mouille sa chemise pour “ Nicolas ”
La panoplie intégrale de Jean-Bernard Stranz, Bigaro et musette Sarko, Poitiers, rue de l'Université, Samedi 11 Juillet 2009.
"Jean-Bernard Stranz arbore fièrement sa panoplie du parfait militant UMP. Sans complexes."(NR).
“ J'ai perdu 5 kg pendant la campagne et j'en suis fier ! ”
Poitiers, devant la cathédrale Saint Pierre,Vendredi 14 Janvier 2011 vers 16H10, Stranz, éternel anti-coco arrachant des autocollants jeunes communistes...
Le 7 Janvier 2015,
RADIO OLD SCHOOL
Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres
perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 (1972)
