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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

24 février 2015 2 24 /02 /février /2015 08:20
Le festival "Trouver Sonnette à son Pied" recherche des bénévoles

Il revient en 2015 après deux ans d'absence à l'aube des vacances de Pâques: le sympathique festival de Trouver Sonnette à son Pied, 9ème édition depuis sa naissance en 2001.

Je me permets de relayer le courriel que j'ai reçu de la part de Poitiers Jeunes, en espérant que des petites mains pourront prêter leurs services à cette animation. En espérant que le beau temps soit de la partie!

Bonjour,
Nous nous faisons le relais du festival " Trouver sonnette à son pied" qui recherche des bénévoles!
Cela pourrait peut-être intéresser certains d'entre vous :

APPEL A BENEVOLE
FESTIVAL TROUVER SONNETTE A SON PIED #8

Le 8ieme festival en appartements et autres lieux insolites revient cette année les 27 et 28 Avril dans le quartier du pont Joubert.
Pour réussir cette nouvelle édition nous avons besoin de vous avant, pendant et après le festival.
Inscrivez-vous à tspbenevoles@gmail.com



Merci et à bientôt !

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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 08:28

Bon vent au dernier né dans le cyber-espace du Poitou!

Logo Centre Presse 1982

Qui fait quoi en ville sur "Poitevins.fr"
Le site "Poitevins.fr" sera officiellement en ligne lundi prochain. Ses promoteurs veulent en faire une vitrine des activités poitevines.

Le site web Poitevins.fr, qui sera en ligne lundi prochain, est présenté par ses promoteurs comme un réseau social local. Qu'est-ce que c'est que ce truc? « On a essayé de concevoir un site qui serait à mi-chemin de Wikipédia et de Facebook, explique David Malescourt, gérant de la société Patagos, et créateur de ce nouveau concept à Poitiers. On travaille sur le projet depuis plus de six mois, en collaboration avec Benoît Dujardin (Momemtum productions). »



"Permettre aux commerces d'améliorer leur communication"



L'objectif est de mettre en valeur sur internet « les initiatives et les savoir-faire des acteurs locaux ». Commerces, associations, administrations, patrimoine, tout y passe. Pendant des semaines, des photographes professionnels ont mitraillé les devantures des boutiques de Poitiers pour qu'elles figurent sur le site. « On veut permettre aux commerces et aux entreprises d'améliorer leur communication, dévoile David Malescourt. A partir de leur page sur le site, elles pourront communiquer sur leur activité avec ceux qui les suivent. » Dans un premier temps, Poitevins.fr propose un hébergement sur son site et une photo d'accueil de haute qualité, « ensuite, si les commerces le désirent, ils peuvent nous commander d'autres photos, des vidéos ». Le tout est garanti 100% local: « Les photographes et les vidéastes sont Poitevins, le développeur et l'hébergeur aussi. »



Se déconnecter et sortir



Pour l'usager, Poitevins.fr fonctionne comme un annuaire. Les structures répertoriées sont classées par thème (manger, shopping, sortir, services, logement, etc.) et/ou par secteur géographique (quartier, rue). L'utilisateur doit se créer un compte avant de suivre et de recommander ses endroits préférés, un peu comme TripAdvisor, mais sans possibilité d'en faire la critique. Soit on aime, soit on ne dit rien.

« L'utilisateur peut y voir qui fait quoi à Poitiers et suivre l'actualité des inscrits, continue David Malescourt. Il n'y a pas de dialogue en ligne entre les commerces et les utilisateurs. L'objectif, c'est plutôt que ces derniers se déconnectent une fois qu'ils ont l'info pour aller pousser la porte des commerces et des structures dont ils auront repéré tel ou tel événement. » Onpeut aussi s'y faire des amis, « pour voir ce qu'ils suivent et recommandent, avant d'aller les rejoindre dans la vraie vie ». Le réseau social, c'est bien, à condition de s'en servir pour sortir.

Philippe Bonnet

Centre Presse, Vendredi 30 Janvier 2015.

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10 janvier 2015 6 10 /01 /janvier /2015 08:44

Illustration de Los Paseos de TD, prise le Mercredi 7 janvier 2015.

 

A l'initiative d'un Poitevin, un événement Facebook a été lancé pour un rassemblement dimanche à 15h à Poitiers (place Leclerc). "Pour les républicain(e)s qui ne peuvent pas aller à Paris dimanche mais qui veulent manifester leur attachement à la liberté d'expression, et rendre hommage aux victimes de la tuerie de Charlie Hebdo".



Un rassemblement est également prévu samedi à 15h, à l'initiative du club de la presse de la Vienne. A cette occasion, les Poitevins seront invités à écrire (ou dessiner) sur des recueils qui seront ensuite envoyés à la rédaction de Charlie Hebdo.

 

Pris sur Centre-Presse.fr, Vendredi 9 janvier 2015.

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20 décembre 2014 6 20 /12 /décembre /2014 08:45

LE CENTRE CULTUREL SAINTE-CROIX A OUVERT SES PORTES SUR "LA COMEDIE FRANCAISE":

UNE RICHE EXPOSITION DE COLLECTIONS ET DOCUMENTS


 

Sainte Croix 1974

Ce fut un moment privilégié samedi matin pour les invités du maire et de la municipalité de Poitiers de découvrir le Centre Culturel Sainte-Croix, où actuellement le musée de la Ville est en cours d'installation. L'occasion de cette visite était provoquée par l'inauguration d'une exposition exceptionnelle consacrée à la Comédie Française. Grâce à l'obligeance de M. Pierre Dux, administrateur de la Maison de Molière, et au concours de l'Inspection générale des Musées en province, Poitiers bénéficie - jusqu'au 15 janvier -  de ce phénomène de décentralisation artistique qui marque une étape dans la vie culturelle.

Il appartenait à M. Rérolle, conservateur des musées de Poitiers d'accueillir ses hôtes, parmi lesquels nous retiendrons M. Vochel, préfet de la région Poitou-Charentes et de la Vienne, accompagné de MM. Delmas et Beysson; Me Grandon et M. Chamard, conseillers généraux; MM. Vertadier et Strawzynski, à la tête d'une forte délégation du Conseil municipal de Poitiers; des maires des communes environnantes; M. Buthaud, premier président de la Cour d'Appel; M. Verney, conservateur régional des Bâtiments de France; M. Nicolini, directeur régional des Antiquités historiques, etc.

Dans son allocution, M. Rérolle partageait l'expression de sa gratitude entre toutes les personnes et tous les organismes qui avaient conjugué leurs efforts, d'une part pour la présentation de cette première exposition temporaire, d'autre part pour la réalisation du Centre Culturel Sainte-Croix.

 

Un cadre qui incite à la découverte

 

Sous la conduite de Mme Chevalet, conservateur des collections et bibliothèques de la Comédie Française, commençait alors la visite de l'exposition, réunissant une masse impressionnante de documents: bustes, tableaux, costumes, maquettes, manuscrits, livres, etc., recueillis depuis trois siècles et qui évoquent avec une étonnante précision la vie de la Maison de Molière. Cette exposition - dont l'entrée est gratuite - est parfaitement mise en valeur, d'une part dans la galerie ceinturant la salle de conférence, et, d'autre part, dans l'espace, très vaste, réservé aux expositions temporaires. Ce dernier lieu précède le département peinture du musée, qui, samedi matin, était également présenté aux visiteurs par M. Gendron, adjoint de M. Révolle. Les collections de Poitiers trouvent dans la conception - et la réalisation - harmonieuse des salles un cadre qui incite à la découverte.

M. Vertadier se déclarait d'ailleurs très satisfait que ce soit la Comédie Française qui inaugure en quelque sorte le Centre-Culturel Sainte-Croix, et il profitait de l'occasion pour rendre hommage à M. Strawzynski, qui, depuis le début, voici neuf ans, s'était attaché, en liaison avec M. Monge, à la construction et l'aménagement d'un monument appelé à être le témoin à Poitiers de l'art du XXème siècle. Le maire saluait en Mme Chevalet une guide merveilleuse et formait le voeu que l'Inspection générale des Musées de province favorise à l'avenir la venue à Poitiers d'expositions de la richesse de celle actuellement prêtée par la Comédie Française.

Une réponse positive sur le principe lui était apportée par M. Ponneau, lequel considérait que les musées de province constituaient un élément capital de la vie intellectuelle et spirituelle d'une ville.

 

Sainte Croix 1974

 

La Nouvelle République, Lundi 23 Décembre 1974.

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 09:31

Un véritable voyage dans le Poitiers des années 1960, en pleine mutation.

Saurez-vous reconnaître chacun des lieux filmés, sachant que nombre d'entre eux ont énormément évolué?!

 

L'évolution de Poitiers au crépuscule des années 1960,

présentée par le maire Pierre Vertadier

 

ORTF, 24 Octobre 1967.

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1 décembre 2014 1 01 /12 /décembre /2014 09:07

Route-vers-couronneries-bouchons-1973.JPG

Centre Presse, Fin Juillet-Début Août 1973.

 

Rocade-D162-vers-ZUP.JPGUn cliché réalisé au même endroit, le Jeudi 2 Juillet 2009, vers 10h, sur le pont reliant le quartier du Dolmen à Beaulieu, qui passe au-dessus de la RD 162.

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25 novembre 2014 2 25 /11 /novembre /2014 08:53

Quartier-Notre-Dame-Poitiers-1989.JPG

Ils sont unanimes. Habitants et commerçants aiment leur quartier et le défendent.

 

"ANIMONS et animez" tel pourrait être l'autre slogan du quartier Notre-Dame qui a mis sur pied un programme d'animations, rue du Marché, Grand-Rue, rues de la Regratterie, des Vieilles-Boucheries, du Palais, la place Charles-de-Gaulle, la place Charles-VII et le marché Notre-Dame. Mais au delà de cet évènement, que représente pour chacun ce quartier qui, depuis quelques temps, s'est sensiblement transformé? En bien ou en mal c'est ce que nous avons cherché à savoir auprès de ses commerçants sédentaires ou non sédentaires de ses résidants, de ses clients hébitués ou simplement de passage.

"Chouette, sympa, agréable". Tous usent les mêmes termes pour qualifier cette tranche du vieux Poitiers et pourtant ajoute la grande majorité d'entre eux, "Il est confronté à un problème qui le tue peu à peu: la circulation".

"La circulation est bloquée à cause de la rue du Marché devenue piétonne", souligne un fleuriste de la place. Manque d'emplacement pour se garer, renchérissent clients et commerçants, les critiques vont bon train.

"Au grands maux les grands remèdes" a-t-on envie de dire lorsqu'on écoute les nombreuses solutions préconisées: création de parking, circulation à sens unique propose un pharmacien qui n'hésite pas à parler de "détournement de clientèle oragnisé".

Seul avis discordant, celui de la famille Gorgeon (coordonniers dans la Grand-Rue) pour qui "le problème de stationnement est un prétexte, le quartier se meurt mais les fautifs sont les gens eux-mêmes qui ne prennent plus le temps de flâner".

Et magré tout, ils l'aiment ce quartier. Commerçants résidants et clients sont unanimes: pour rien au monde, ils en changeraient. Emouvant ce témoignage de commerçants installés depuis 35 ans dans le quartier: "Tous les gens qui sont venus ici se sont plus et ne sont jamais repartis, nous formons une grande famille et nous ne pourrions être déracinés...".

Alors, heureux ces résidants étudiants, couples ou retraités qui sont fiers de leur quartier pour sa beauté, son dynamisme et sa solidarité? Pas tous malheureusement regrette Mme Gorgeon, passionnée de vieux quatiers, la suppression des appartements au profits des "piaules estudiantines" a entraîné la disparition des familles et par consésuent de la vie du quartier. "Je m'étonne vraiment des opérations fréquentes de ces promoteurs privés qui empèchent la reprise de pas de porte et créent ainsi des logements trois étoiles".

Et le commerce dans tout ça? "C'est formidable, clame une étudiante, ici quand je viens j'ai tout sous la mains, les commerçant sont sympas et on a envie de revenir". Propos confirmés par un passant pour lequel il y a dans le quartier une équipe de jeunes commerçants qui a fait bouger les choses.

C'est aussi l'avis des commerçants eux-mêmes comme M. Charles Marque qui insiste sur le fait que Notre-Dame est la partie commerçante la plus importante de la ville ou encore que Mme Coireaud qui souligne que bon nombre de commerces vont s'ouvrir prochainement.

Le marché n'est évidemment pas oublié, ses habitués le défendent coprs et âmes, ainsi cette retraitée qui confie: "C'est l'âme du quartier pour moi et j'y vais trois fois par semaine." Pour les autres, les difficultés relatives à la circulation font qu'il se vide peu à peu et ils ajoutent que le vrai problème est en réalité celui des halles qui vieillissent mal du fait d'un manque d'entretien. Vous avez dit embellir le quartier? Eh oui, malgré leur amour pour l'église et les vieilles maisons, ils sont encore nombreux à émettre des idées pour améliorer son aspect extérieur: entretien des voies piétonnes, unité au niveau de la publicité extérieure dans les rues propose un styliste, réfection de quelques immeubles délabrés pour deux Parisiennes nouvellement installées, création d'espaces verts et enfin ornement de la place Chalres-VII qui si elle est une belle réussite semble aux yeux de tous bien nue.

Quant à l'avenir du quartier pour certains il y a risque d'éclatement du fait de sa grande superficie, certains secteurs, nous dit M. Charles (commerçant) formeront bientôt un quartier à part entière. En attendant, Notre-Dame, au rythme de ses pulsations séculaires, continue à vivre intensément ce qui ne saurait surprendre car en fait n'est-il pas le coeur même de la cité?

 

La Nouvelle République, Début Octobre 1989.

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20 octobre 2014 1 20 /10 /octobre /2014 09:50

LUNDI AU "DIETRICH"

AFFICHE-CINema-le-dietrich-ouverture-1984.JPG

La première séance avec Bernadette Lafont

Pour 4 jeunes Poitevins, mordus de cinéma, ce ne sera pas la "dernière séance" mais plutôt la première le 8 octobre, d'un cycle que nous espérons de lingue durée.

Reprenant en effet l'idée du "vieux Eddy" (Mitchell bien sûr!) et de son copain Gérard Jourd'hui, François Doré, François Henry, Jean-Pierre et Christophe Casaban ont non seulement voulu faire revivre de vieux films, mais aussi un cinéma. "Le Dietrich" remplacera désormais le Ciné U du quartier Dalesmes, si cher aux étudiants, et dont les séances avaient cessé il y a environ deux ans.

C'est l'inauguration de ce cinéma entièrement rénové par leurs soins qui aura lieu le 8 octobre en présence de la comédienne Bernadette Lafont, la nouvelle marraine du cinéma.

Leurs idées, à tous les quatre, c'est de remonter le temps pour revivre quelques pages de l'histoire du cinéma, celles d'avant les 60; de donner aux nstalgiques mais aussi aux plus jeunes, l'occasion de voir ou revoir tous ces films d'aventures, de capes et d'épées, tous ces westerns et leurs héros, toutes ces stars, Errol Flynn, Garry Cooper, James Stewart, Cary Grant, John Wayne, Kirk Douglas, pour n'en citer que quelques uns; de proposer aussi des projections thématiques ("Les femmes" en novemebre par exemple) ou évènementielles comme "This is the army" de Michael Curtis avec Ronald Reagan, à l'occasion des élections présidentielles américaines en décembre!

 

DEUX FILMS PAR JOUR ACTUALITES...ET VIDEO CLIPS

Autres idées originales: deux films différents par jour, à 19h et 21h, le tout agrémenté d'actualités Pathé des années 60. Quant aux "variétés", elles feront place aux désormais irremplaçables vidéo clips. Les tout premiers seront "Amazonia" d'Yves Simon et "Pull Marine" d'Isabelle Adjani.

En réalité, c'est à l'intérieur de l'association "Cinéma et Culture" que les Poitevins connaissent bien, que "Le Dietrich" va fonctionner non sans difficulté d'ailleurs, certains estimant que commercial et culturel ne vont pas de paire.

Nos jeunes cinéphiles tiennent quant à eux le pari contraire même si l'objectif du Dietrich n'est pas de faire de l'argent avec le cinéma mais plutôt du cinéma grâce à l'argent.

 

HALL PIANO BAR

De l'argent, justement, ils en ont obtenu un peu, 250.000 F*, dont 180.000F ont servi au réaménagement de la salle (accessible aux handicapés), à l'achat d'un nouveau matériel de projection (le plus performant de la place poitevine soulignent-ils fièrementà, d'un écran...

Le reste servira en quelque sorte à créer une ambiance. Côté "extérieur nuit", le Dietrich jaillira de sa sombre ruelle grâce à quelques spots bien placés, tandis que le hall entièrement remodelé, se transformera en piano-bar, histoire de prendre un pot entre deux séances ou de se raconter "son" avis sur le film en buvant un verre.

Une possibilité de détente d'autant plus appréciée que le quartier est éloignée du centre-ville et que les bars se font rares dans le secteur.

 

BILLETS A 20 ET 17F

Enfin, côté tarif, nos "quatre mousquetaires" écrasent les prix en proposant des billets à 20F* (17 F pour les tarifs réduits).

 

ON DEMANDE DES BENEVOLES

Mais, si pour combattre les agents du Cardinal, le Gascon et ses compagnons s'estimaient en nombre suffisant, François (X2), Jean-Pierre et Christophe aimeraient bien qu'il y en ait d'autres pour leur doner un coup de main, à la caisse, dans la salle et au bar...Les bénévoles intéressés (pour le cinéma) peuvent téléphoner au 88.04.87.

Ah! J'allais oublier : à vous de deviner pourquoile cinéma s'appelle "Dietrich".

CATHERINE PELLETIER

Centre Presse, Mercredi 3 Octobre 1984.

 

*NdPPP: 20F de 1984 correspondent, en prenant en compte l'inflation et l'érosion monétaire, à 5€54 de 2013. La place, tarif normal de 2014 étant de 7€, il n'y pas eu d'envolée des prix. Par ailleurs, la subvention de 250.000F de 1984 vaut 69276€ de 2013.

La toute première séance du Dietrich

1ER-FILM-AU-DIETRICH-POITIERS.JPG

Centre Presse, Mercredi 10 Octobre 1984.

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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

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