4 novembre 2007
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11:34
La place du Marché, déserte avec son vendeur de kébab.

Chose rare un jour férié, un bus.

Le vide de la rue de l'Université.

Le calme mortuaire du Parvis Notre-Dame.

La Grand Rue, le Grand Vide.

Rue Fantome.


La fête au Centre des Cordeliers.

Saison des chrysantèmes.

Dernières terrasses ensoleillées.

LA grande avenue de Poitiers.

Jour de paix sur les grands boulevards.

A l'horizon, la Justice.


Le bonheur des rues piétonnes,(quasiment) sans piétons.
Non, rassurez vous, il n'y a pas de virus bacteriologique, non Civaux n'a pas explosé (enfin normalement) , non il n'y a pas un début de guerre civile à Poitiers (Beyrouth ça suffit),il y a simplement...un jour férié à Poitiers.
Chacun profite de ses jours fériés comme il l'entend: se reposer après avoir chouillé à mort, on va voir la famille, ménage, on se cultive, grandes sorties à perpet, on sacrifie sa journée à faire son taf en retard de deux semaines (mais on a le malheur d'allumer la télévision et de scotcher devant en voyant M6 qui diffuse un film des Charlots)...
Le jour férié, c'est aussi le plaisir de voir Poitiers sous un autre angle: vide! Rien peu d'ames qui vivent dans les rues, mais la différence avec le dimanche, c'est qu'il y a un petit coté exceptionnel dans la mesure où le lendemain, tout reprend normalement. Le dimanche en plus est surout religieux et en plus on en profite pas autant: il y en a 52 par an tandis que les jours fériés, chaque début d'année on regarde sur son calendrier ou sur son agenda pour voir quand il tombent, en craignant que ce soit durant le week end (comme le prochain 11 novembre), en espérant pouvoir faire le pont, bref en profiter vraiment. Profiter de quoi? Personne n'en sait rien on veut juste en profiter voilà tout.
En tout cas on peut imaginer un logo spécial "jour férié à Poitiers":
Chose rare un jour férié, un bus.
Le vide de la rue de l'Université.
Le calme mortuaire du Parvis Notre-Dame.
La Grand Rue, le Grand Vide.
Rue Fantome.
La fête au Centre des Cordeliers.
Saison des chrysantèmes.
Dernières terrasses ensoleillées.
LA grande avenue de Poitiers.
Jour de paix sur les grands boulevards.
A l'horizon, la Justice.
Le bonheur des rues piétonnes,(quasiment) sans piétons.
Non, rassurez vous, il n'y a pas de virus bacteriologique, non Civaux n'a pas explosé (enfin normalement) , non il n'y a pas un début de guerre civile à Poitiers (Beyrouth ça suffit),il y a simplement...un jour férié à Poitiers.
Chacun profite de ses jours fériés comme il l'entend: se reposer après avoir chouillé à mort, on va voir la famille, ménage, on se cultive, grandes sorties à perpet, on sacrifie sa journée à faire son taf en retard de deux semaines (mais on a le malheur d'allumer la télévision et de scotcher devant en voyant M6 qui diffuse un film des Charlots)...
Le jour férié, c'est aussi le plaisir de voir Poitiers sous un autre angle: vide! Rien peu d'ames qui vivent dans les rues, mais la différence avec le dimanche, c'est qu'il y a un petit coté exceptionnel dans la mesure où le lendemain, tout reprend normalement. Le dimanche en plus est surout religieux et en plus on en profite pas autant: il y en a 52 par an tandis que les jours fériés, chaque début d'année on regarde sur son calendrier ou sur son agenda pour voir quand il tombent, en craignant que ce soit durant le week end (comme le prochain 11 novembre), en espérant pouvoir faire le pont, bref en profiter vraiment. Profiter de quoi? Personne n'en sait rien on veut juste en profiter voilà tout.
En tout cas on peut imaginer un logo spécial "jour férié à Poitiers":