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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 08:52

Car oui, quand on voit une photo, on se pose rarement cette question: quelle posture a adopté le photographe pour réaliser son cliché?

Photographe-a-Poitiers-au-sol.JPG

Centre Presse, Juillet 1973.

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17 juin 2013 1 17 /06 /juin /2013 09:43

Logo Centre Presse 1982

LES JEUNES SE SOUVIENDRONT QU'UN JOUR...

 

DERNIERES mains tendues, dernières mains serrées, derniers drapeaux, derniers oriflammes, dernières décorations sur de glorieuses poitrines, dernière foule, dernier discours et dernière "Marseillaise". C'est dimanche, 13 heures, à Montmorillon.

Aux accents d'une dernière "Marche Lorraine", le Général de Gaulle quitte la ville, la Vienne, le Poitou et les Charentes qu'il a parcouru pendant quatre jours et demi.

Pour qui a suivi de bout en bout ce voyage, en admirant, il faut le dire, l'étonnante résistance physique et la lucidité intellectuelle d'un homme qui refuse son âge, ce pourrait être l'heure du bilan, comme on dit.

On le pourrait statistique: tant de discours, tant d'arrêts, tant d'allocutions; évaluations et rapports des foules ici et là. Ce serait fastidieux et deviendrait vite inexact. Ni le carré, ni le cube pour les masses, ni les décibels pour les acclamations ne s'accorderaient avec les conditions locales, chaque fois changeantes, qu'il conviendrait de définir...Quel ennui de le faire!

On pourrait dresser un bilan politique. Faire l'exégèse de ce que le Président de la République a dit ou n'a pas dit: interpréter les silences et les redites volontaires. Les thèmes des discours, nous les avons, au fur et à mesure, évoqués. D'ailleurs, le général de Gaulle devait lui-même les énumérer dans sa dernière allocution: alliance des peuples libres; aide aux pays qui ont faim; construction d'une Europe dont la France et l'Allemagne, réconciliées, forment l'assise: ouverture aux peuples et aux pays "de l'autre bloc" pour des conversations, voire des négociations - si elles sont sincères - pour asseoir la paix; cette paix surtout à défendre, mais "debout".


De notre envoyé special

Louis-Charles DEBELLE


Pour que tout cela soit entrepris, fortifié, poursuivi, une condition aux yeux du Chef de l'Etat, mais essentielle: que les Français restent unis, restent cohérents, s'entendent. "Cette entente complète, je l'ai trouvée dans le Poitou et les deux Charentes", devait dire le Président de la République, en terminant à Montmorillon.

Elle avait, aux cours des deux dernières journées, trouvé son expression la plus vive en Poitou: Gâtine et Bocage, en Deux-Sèvres, Châtelleraudais, pays poitevin et Montmorillonais. L'enthousiasme allait croissant. Châtellerault se surpasait, Poitiers se montrait digne de son titre de capitale officiellement reconnu, Chauvigny, puis Montmorillon enfin!

Le voyage est fini. On en parlera longtemps dans les campagnes où les livres de délibération des maires conserveront une date et une signature; et les mémoires des enfants ont fixé, peut-être à leur insu, des images rapides: beaucoup de voitures noires qui s'arrênt, des drapeaux suspendus dans leurs mains, un grand vieux monsieur qui descend, qui parle au micro, qui serre la main des autres-grands-pères, puis des papas et des mamans et leurs mains à eux, oui, celle des petits, comme s'ils étaient des grands.

Ce monsieur, c'était de Gaulle, celui dont on parle dans les dernières pages des livres d'Histoire de France...

Et une phrase quinze fois entendue fait écho à ces images:

-Et quand de Gaulle ne sera plus là, vous vous souviendrez, vous, les jeunes, qu'un jour...

C'est probablement cela l'actif du voyage aux yeux du général de Gaulle.

L.-Ch. DEBELLE.

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 08:02

Logo La Nouvelle République Décembre 1991

Deuil-mort-militant-PS-legislatives-1986.JPG

En Une de la Nouvelle République, vers le 10 Mars 1986.

 

Mourir pour une affiche

 

Dans cette campagne électorale où l'on parle plus de cohabitation que de programme et dont le thème dominant tourne autour de l'usage que fait de la Constitution, l'assassinat d'un militant du P.S. est un acte qui nous inspire autant d'horreur et de révolte qu'il nous laisse incrédules.

Rien et surtout pas la défense des idées ne peut justifier pareil crime et das un pays démocratique aucune voix ne doit manquer pour dénoncer l'intolérable.

Dans les comptes du pire et de la politique, on doit désormais inscrire ce geste de trop. Même si, isolé, il ne symbolise pas la montée contagieuse de l'intolérance, il recèle suffisament d'exaltation pous nous inquiéter et nous faire réfléchir. Cra cette fois la rixe entre colleurs a dégénéré au meurtre, touchant un domaine où il n'y a plus des militants mais des asassins.

Passé le réflexe d'horreur on se dit qu'en France, terre des libertés, la campagne électorale a fait une victime inocente alors qu'aucun changement politique, aucune cause intérieure n'expliquent pareille folie.

A ce stade de l'aveuglement qui tourne au drame, certains s'apercevront peut-être que tous les boulevards idéologiques ne sont pas bons à prendre et qu'il est surtout dangereux d'y suivre des gens qui font des arguments d'exclusion l'essentiel de leur discours.

L'heure est, bien sûr, à s'indigner et à condamner la violence et le crime. L'heure est aussi à la lucidité afin que personne n'oublie les vertus qui fondent les démocraties.

Pierre TARIBO

 

Le premier mort de la campagne

Ils étaient 2.000 hier matin, socialistes, mais aussi U.D.F, R.P.R. et barristes, à manifester contre le meurtre de Philippe Brocard par un membre du Front national. Une nécessaire unanimité.

  Philippe-Brocard-Portrait-1986.JPG

PHILIPPE BROCARD était un militant socialiste. Il en est mort, poignardé, vendredi soir à Croissy-sur-Seine (Yvelines), par un militant du Front national, Régis Devaux, 23 ans, sergent de carrière au 5ème régiment d'infanterie, en garnison au camp de Frileuse, sur la commune de Beynes (Yvelines).

Le sergent est passé aux aveux dans l'après-midi, devant les policiers du S.R.P.J. de Versailles. Devaux et huit autres membres du parti de Jean-Marie Le Pen avaient été interpellés dans la nuit, peu après le meurtre, par une patrouille de police mise en alerte dans le département des Yvelines. Régis Devaux a été inculpé hier soir d'homicide volontaire et incarcéré. Il a été également inculpé de coups et blessures pour avoir frappé deux autres colleurs d'affiches du P.S.; de port d'arme de 6ème catégorie (couteau à cran d'arrêt) et de dégradation de véhicule (il avait mis à sac la voiture d'un militant socialiste).

Régis Devaux a été trouvé porteur de l'arme du crime, un couteau à cran d'arrêt et n'a pas pu longtemps nier sa culpabilité devant les questions pressantes des policiers.

Les neuf hommes de main du Front national, répartis dans trois voitures, collaient vendredi soir des affiches de leur parti, dans plusieurs communes des Yvelines. Philippe Brocard, 35 ans, marié, sans enfant, et deux de ses camarades, collaient eux aussi des affiches. Jean-Jacques Gaucher, l'un des mais de Philippe, a raconté le drame: "Nous avons vu un des panneaux du P.S. recouvert par des affiches du Front National. Nous avons tenté de les arracher. Soudain, trois voitures sont arrivés. Un groupe de plusieurs hommes en tenue paramilitaire en est descendu. L'altercation a éclaté très rapidement. : "Elles ne te plaisent pas nos affiches?" Puis tout est allé très vite? Bousculade, pluie de coups, matraques. Nous nous sommes retrouvés à terre, piétinés à coup de rangers. Puis un cri, mon ami Philippe venait d'être poignardé".

 

Unanime condamnation

Philippe Brocard, touché à l'aine, perdait son sang en abondance. Couché dans le caniveau, il était déjà dans le coma lorsque le S.A.M.U. est arrivé. Il est mort à son admission à l'hôpital de Saint-Germain-en-Laye. Le commando du Front national a poursuivi son collage, avant d'être interpellé à un contrôle routier.

Samedi, plusieurs personnalités de la majorité et de l'opposition, le Premier ministre Laurent Fabius en tête, ont publiquement dénoncé le meurtre de Philippe Brocard. M. Fabius à condamné "de la façon la plus ferme" le meurtre de Philippe Brocard déclarant "Je veux vraiement alors que nous sommes dans la dernière ligne droite de la campagne, dire aux Français et aux militants de toutes convictions qu'ils doivent s'abstenir de la violance. Ce n'est pas comme ça qu'on peut faire avancer les choses".

Lionel Jospin, le premier secrétaire du parti socialiste, qui participait à un "grand déjeuner républicain" à Vitrolles (Bouches-du-Rhône), a demandé à l'assistance une minute de silence pour "Olof Palme et pour celui qui est un inconnu pour vous et presque pour moi, notre camarade Philippe Brocard". M. Jospin, très ému par la mort du jeune militant P.S., a ajouté "j'ai du mal à comprendre la violence, la sauvagerie qui animent ceux qui assassinent à coups de couteau, un jeune homme qui colle ou décolle des affiches".

Le premier du R.P.R., Jacques Chirac, s'est de son côté déclaré "horrifié du développement de la violence, voire de la criminalité". Michel Rocard a parlé "d'acte ignoble", ajoutant que "ceux qui distillent une idéologie de violence portent la culpabilité d'orientation,la culpabilité dans le façonnage des mentalités, dans le fait de laisser croire que la violence règle quoi que ce soit en politique". La C.G.T. et la C.F.D.T. ont également condamné en termes vifs "cet acte de barbarie".

Georges Marchais a condamné, lui aussi "ce lâche attentat". "L'extrême-droite avec ses mensonges, sa démagogie effréfée, son racisme et sa violence, c'est tout ce qui nous fait horreur à nous communistes", a ajouté le secrétaire général du P.C.F.

 

Deux mille manifestants

Rocard-depose-gerbe-sur-lieu-mort-Brocard-Philippe.JPG

Près de 2.000 personnes, avec en tête du cortège Michel Rocard, député des Yvelines et maire de Conflans, accompagné de son épouse, ont manifesta silencieusement, hier matin à Croissy-sur-Seine (Yvelines), pour protester contre ce meurtre. En tête du cortège, on notait la présence des députés sortants du P.S. dans les Yvelines: Martine Frachon, Bernard Schreiner, Guy Malandain, mais aussi de Jean-Paul Bachy, secrétire national du P.S. et de Daniel Mayer, ancien président de la ligue des droits de l'homme. Alain Krivine était également dans le cortège. En revanche, la famille de la victime, Philippe Brocarc, ne participait pas à cette manifestation.

Des représentants des listes du R.P.R., de l'U.D.F. et de la liste barriste dans les Yvelines ont participé à cette marche silencieuse.

Les manifestants se sont arrêtés symboliquement devant l'endroit, encore marqué à la craie sur le macadam, où Philippe Brocard a été poignardé à coups de couteau. Puis Michel Rocard a déposé une gerbe d'oeillets roses et de roses rouges devant le panneau électoral où le colleur d'affiches avait été agressé. Son compagnon, Jean-Jacques Gauchern conseiller municipal socialiste de Croissy, qui collait des affiches avec lui, et Daniel Roquette, secrétaire général de la confédération des cadres C.F.D.T, dont faisait partie la victime, ont collé symboliquement sur l'affiche de Le Pen le portrtait de Philippe Brocard.

 

-DEUX MILITANTS du R.P.R. ont été attaqués et poursuivis jusque chez eux, à Alfortville (Val-de-Marne), où leurs agresseurs, armés de manches de pioches, ont commis des déprédations, vendredi soir. Dans un communiqué, MM. Vivien et Giraud, s'inquiètent " de la tournure que prend la campagne dans le département" et notent que "le R.P.R. s'avère chaque jour davantage l'ennemi à abattre, pour cela tous les moyens sont bons".

 

La Nouvelle République, vers le 10 Mars 1986. Pour info, les élections législatives 1986 se déroulaient le 16 Mars. C'est le seul cas d'élections proportionnelles législatives sous la Vème République.

 

Le 20H du Samedi 8 Mars 1986

Antenne 2, Claude Sérillon


 


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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 08:01

Annonce-visite-de-Gaulle-dans-le-Poitou.JPG

Le général de Gaulle prendra mercredi prochain 12 juin, pour la dix-neuvième fois depuis son accession à la présidence de la République, le chemin de la province. Au cours de ce voyage, le Président de la République visitera les département de la Charente, de la Charente-Maritime, des Deux-Sèvres et de la Vienne.

 

M. Roger Frey, ministre de l'Intérieur, sera comme toujours aux côtés du chef de l'Etat pendant les cinq journées du voyage de la semaine prochaine, tandis que plusieurs membres du gouvernement se "relaieront". M. Alain Peyrefitte, ministre de l'Information, accompagnera le général de Gaulle durant les deux premiers jours, mercredi et jeudi, M. Raymond Marcellin, ministre de la Santé publique et de la population, vendredi et samedi, M. Christian Fouchet, ministre de l'Education nationale, samedi et dimanche.

 

La première journée

 

C'est à 9h55, mercredi matin que l'avion présidentiel décollera de Villacoublay pour la base militaire de Cognac où il est attendu à 11H20. La Charente sera le premier département visité. Après avoir, à Cognac, reçu le conseil municipal et les notabilités locales et prononcé la première allocution du voyage, le général de Gaulle gagnera par le train Roumazières puis, par la route, Confolens où il prononcera une nouvelle allocution.

 

Après des arrêts dans plusieurs localités - dont celle de Chasseneuil où le général de Gaulle déposera une gerbe devant le monument à la mémoire des résistants du Sud-Ouest - le cortège présidentiel arrivera à 18H à Angoulême. Ce seront dans cette ville les cérémonies habituelles, aux préfectures : honneurs militaires, revue des troupes, réception à l'hôtel de ville du conseil municipal des notabilités locales et des maires des départements, discours devant la population, réception à la préfecture, des parlementaires, du conseil général, des corps constitués et enfin grand dîner officiel.

 

En Charente-Maritime

 

Les principales étapes de la matinée du jeudi 13 juin seront Barbezieux puis, en Charente-Maritime, Jonzac où le chef de l'Etat s'adressera à la population et Pons où il prendra le train pour Royan. L'arrivée dans cette dernière ville est prévue à 14H40. Le général de Gaulle prononcera son allocution sur l'esplanade du Front de Mer. Après une nouvelle série d'arrêts dans les localités du parcours, le général de Gaulle gagnera Rochefort puis La Rochelle où se dérouleront jusqu'à 20H30 les réceptions traditionnelles aux préfectures. Saintes et Saint-Jean d'Angély seront les principales étapes du vendredi matin.

 

Les Deux-Sèvres

 

Dans l'après-midi le président de la République commencera la visite du département des Deux-Sèvres. Après s'être arrêté dans plusieurs localités, le cortège présidentiel arrivera à 17H15 à Saint-Maixent puis à 18H à Niort, préfecture du département.

 

Et la Vienne

 

Samedi matin, Parthenay et Bressuire et, l'après-midi, dans la Vienne, Châtellerault, puis Poitiers seront les principales étapes.

Le lendemain dimanche, le général de Gaulle, après avoir assisté à la messe à la cathédrale de Poitiers, quittera la préfecture de la Vienne à 10H15, pour Montmorillon où il arrivera à midi après s'être arrêté dans les communes qui jalonnent le parcours. Pour la première fois, le voyage ne se poursuivra pas dans l'après-midi du dimanche. Le général de Gaulle prononcera à Montmorillon, son dernier discours du voyage, puis à 12h50, prendra son train spécial pour Paris.

Le chef de l'Etat, qui prendra la déjeuner dans le train doit arriver à la gare d'Austerlitz peu avant 17h.

 

Centre Presse, Jeudi 6 Juin 1963.

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4 juin 2013 2 04 /06 /juin /2013 07:47

Bien plus sympathique que le traditionnel et très populaire : "Tu vas la pousser ta poubelle, connard!"

cONSEIL ROUTIER CENTRE PRESSE DépassementCentre Presse, un petit filet (publicitaire ou "citoyen"?) pêché par le plus grand des hasards, Juin 1963.

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 08:51

Sauf que sa capitale, c'est MarseillePub-Ricard--deCENTRALISATION-1982.JPGCentre Presse, Mai 1982.

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11 mai 2013 6 11 /05 /mai /2013 09:08

Et prochainement, un recueil des plus beaux discours de Bruno Mégret, avec en bonus, un poster de Christine Boutin!

photo-copie-3.JPG

Tonnay-Charente, Charente-Maritime, Vendredi 10 Mai 2013.

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7 mai 2013 2 07 /05 /mai /2013 08:21

Léonardo était-il un coq de combat dans une vie antérieur?

cOQ-DE-COMBAT-TUE-UN-ARBITRE.JPGEn Une de Centre Presse, Vendredi 17 Août 1973.

On remarquera que Centre Presse ne manquait pas d'humour, comme le montre la dernière phrase: "Aux Philippines, les coqs de combat ne manquent pas de punch".

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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

http://images.forum-auto.com/mesimages/518416/vignette81B.jpg

http://images.forum-auto.com/mesimages/64646/80.JPG
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