23 février 2009
1
23
/02
/février
/2009
19:00
Monsieur Carnaval en construction, Parvis Notre Dame, Poitiers, Samedi 21 Février 2009.
Publié par Ludovic Bonneaud
-
dans
Pourquoi Poitiers
22 février 2009
7
22
/02
/février
/2009
21:44
Une action ensoleillée, suivie et réussie,
rappellant les grandes heures du mouvement anti-CPE!
Enfin, elle est arrivée! Une action, une vraie! Plus original que la gare, plus éloignée que le rectorat, l'aéroport de Biard Poitiers: une cible interéssante et médiatiquement forte!
Et une symbolique comme il fut entendu là-bas: "il n'y a plus que le ciel qui nous entend!".
Retour en images sur cette promenade en Pictavie sous un magnifique soleil de février, comme on aime à le savourer à une terrasse la bière à la main, où au cours d'une action politique.
Amphi J 14H15. Grand Départ de l'Opération Ecureuil Glacé. Les voitures sont bien remplies (4 au minimum) pour cette petite promenade en Pictavie, l'absence de la police étant remarquée au abords de l'amphi J. Etrange car en temps normal, ils sont tout le temps présents dans ce genre de coup. 
Au Sud Sud de Poitiers (carrefour ex RN 10 vs D151),vers 14H45 le petit cortège étudiant est devnu grand par diverses jonctions, pour ne former plus qu'un long, très long serpent automobilistique. L'une des rares occasions pour les poids lours d'utiliser la voie de gauche pour doubler... Info pour la DDE:l'un des panneaux directionnels du carrefour se barre en sucette...A bon lecteur, merci. 
Poitiers Sud-Ouest. Sur une très belle portion de l'ex RN 10, le serpent étudiant se laisse glisser sur de belles courbes goudonnées...Autant de véhicules devant que derrière la voiture dans laquelle je siégeais. 
Les polices ne sont pas en guerre, mais elles sont présentes, municipales et nationales, une apparition survenue à partir de Lawson-Body. Manque de pot, l'étudiant pictave n'a pas pour habitude de pénétrer dans un lieu par la porte d'entrée...Après filer à l'anglaise... 
...bienvenue à s'introduire à la pictave! Un petit comité d'accueil pour bloquer une barrière, que l'on peut simplement contourner par un vaste champ sans cloture! 
Deux images me faisant penser...à des assauts de l'armée française en 1914 face aux Allemands: course dans les champs avec butte à franchir, le sifflet et les fusils à baïonnette manquant. La police ne peut que constater les résultats de l'invasion. 
Après une longue, très longue, interminable marche, nous voilà enfin devant les batiments de Poitiers-Biard. Avec ce message en carton: "Université en danger à qui faut il le crier?"
Et aussi avec un petit chant à l'attention du président, enfin plus exactement àla mère Carla, que je peux me permettre de restituer en intégralité, tout en saluant les auteurs de ce couplet original: "Carla, Carla,
On est comme toi,
On s'est fait baiser
Par le Chef de l'Etat!"
15H43. L'heure du retrait a sonné après cette action couronnée de succès. Petit hic, car quoi qu'il arrive il y a toujours un hic: l'absence remarquée de FR3 Charentes Poitou. Dommage, ils auraient eu matière à faire un bon sujet...
Ils feront mieux la prochaine...
Only for you, Ladies and Gentlemans bonus video, la vidéo de Centre Presse, by Antoine Victot sur le déroulement de l'Opération Ecureuil Glacé.
Publié par Ludovic Bonneaud
-
dans
Pourquoi Poitiers
21 février 2009
6
21
/02
/février
/2009
21:00
Dans un bus de Poitiers, Vendredi 20 Février vers 10H30. Etant bénévole au service de Poitiers Jeunes pour cette édition 2009 du Carnaval Pictave, il n'y aura donc pas de reportage photo sur les déambulations joyeuses de la population, ou encore sur les derniers instants de la vie de Monsieur Carnaval. Pour les lectrices et les lecteurs interessé(e)s, voici un très bref compte rendu de l'édition 2008, la dernière sous l'ère Santrot la première sous l'ère Sarkozy.
Publié par Ludovic Bonneaud
-
dans
Pourquoi Poitiers
13 février 2009
5
13
/02
/février
/2009
17:30
Poitiers, Samedi 9 Février 2008 vers 15H30.
C'était la surprise de Petit Poitiers aujourd'hui, quelque peu inattendu dans ce contexte: la grande passerelle qui relie le Plateau à Poitiers Ouest et enjambant les voies ferrés et l'ex Nationale depuis la décénnie 1950 va être "démolie puis reconstruite". L'ouvrage, dont la solidité est remise en doute depuis quelques années, compte déjà plus d'un demi-siècle au compteur. Son héritier, devra permettre le passage du busway, l'une des propositions phares de la liste de gauche d'Alain Claeys aux municipales de Mars 2008. Le futur pont-passerelle devrait être utilisable à partir de 2012, et durer pas moins de 50 ans, c'est à dire jusqu'à l'année de 2062. PourquoiPasPoitiers fêtera cette année là ses 55 bougies. Pour plus d'informations, voici l'article de Centre Presse.
Publié par Ludovic Bonneaud
-
dans
Pourquoi Poitiers
9 février 2009
1
09
/02
/février
/2009
11:10
Une rue piétonne au niveau de la Médiathèque, Mercredi 4 Février 2009, vers 11H30.
Publié par Ludovic Bonneaud
-
dans
Pourquoi Poitiers
5 février 2009
4
05
/02
/février
/2009
20:07
Rue Drault, Mardi 3 Février 2009, vers 15H30.
Si l'on considère que les historiens furent les premiers à émigrer de l'Hotel Fumé en prévision du second semestre de l'année universitaire 2006-2007, il aura fallu donc deux ans entre les premiers départs et les premiers grands travaux. Pour infon, pas la peine de vouloir du tourisme à l'Hotel Fumé, tout le secteur est bouclé, plus moyen de traverser les batiments et espaces verts d'est en ouest.
Il faudra encore attendre queqlues années afin de voir l'Hotel Fumé mode XXI eme siècle. Tot ou tard, les nostalgiques finiront par en s'y retrouver!
Publié par Ludovic Bonneaud
-
dans
Pourquoi Poitiers
3 février 2009
2
03
/02
/février
/2009
18:30
Campus de Poitiers, Vendredi 16 Janvier 2009, vers 16H45.
Le campus de Poitiers a déjà une particularité qui est celle de méler allée américaine et architecture soviétique voire est-allemande.
Ainsi, à mi chemin entre le pole Droit-AES et Bibiothéque style Brejnev la pyramide sans pointe de l'IPAG, et sur l'un des deux murs de son entrée, deux panneaux publicitaires guères utilisés ces dernières années; en effet, ces pub pour les Renault Twingo datent...du 1er semestre 2004! Pour ma part, je n'étais que simple lycéen à cette époque.
Encore une curiosité supplémentaire du campus pictave, après le coup du lampadère qui plie sous les coups de 35 ans de rouille!
Photo de Jules Aimé, Janvier 2009, au niveau de l'amphi J.
Publié par Ludovic Bonneaud
-
dans
Pourquoi Poitiers
30 janvier 2009
5
30
/01
/janvier
/2009
10:09
Boulevard Victor Hugo, 29 Janvier 2009.
Légende: "Yes we Can (Obama); No week end (Sarkozy)
On peut l'affirmer haut et fort désormais: le jeudi 29 janvier 2009 est à inscrire dans la droite lignée des rendez-vous sociaux réussis, pour la première fois depuis le mardi 4 avril 2006, la dernière des grandes manifs s'étant déroulée sur Poitiers, et en France. Ils étaient nombreux dans la rue, hier. Les couches professionnelles étaient représentaient de manière diverses et variées tout au long des cortèges. "Public, privé, solidarité", l'un des très nombreux slogan que l'on a pu entendre dans les rues de Poitiers hier. Et il faut bien le dire, le privé était plus présent, plus représenté que lors des manifs précédentes en nombre et en proportion ce qui prouve bien que les choses vont vraiment pas bien du tout. Impossible par ailleurs de définir la manifestant type: du jeune au vieux, du chomeur au travailleur, de l'étudiant au précaire, du militant politique et syndical au citoyen lambda en colère, hommes femmes, de tout de tout. Un slogan à la mode dans l'Héxagone en ce 29 janvier 2009:
En France aussi, les piétons de janiver était de sorti: Jules pensait à 5000 sur Poitiers, on a 4 fois plus de personnes que ce seuil plancher. Sur PPP, je disais 1 million en France selon les syndicats, c'est la police qui reprend ce chiffre. Et maintenant, que faire? Les syndicats ont remporté la première bataille de la rue. Le gouvernement et l'Elysée prennent acte, sans sucsiter d'autres réactions. Poursuivre la grève, ou attendre pour voir ce que ça donne. Chaque décision, chacune des phrases des divers communiqués des chapelles confédérales devra être pesées: le mouvement d'hier est une poule aux oeufs d'or. Il va falloir en prendre le plus grand soin. Comme on dit en Bourgognie:
"C'est à la fin de la foire que l'on compte les bouses."
Le récit en images de la manif de Poitiers, une promenade sous le soleil hivernal pictave.
Peu avant 15H, Pont St Cyprien. La journée s'annonce belle: un flot continu de manifestant(e)s défilent tandis que la fin ne vient pas...elle ne partira qu'après 15H30! 
Dans la montée de Rivaud...cette fois c'est sur je ne verrai jamais de mes yeux la tête de cortège.
Vu depuis les résidences Rivaud: ce qui semble être, au très loin, la queue du cortège avec une floppée de drapeau rouge, ce qui serait peut-être le secteur du PS, qui avait sorti le matos pour répondre présent au rendez-vous. 
Un compteur au boulot sur les marches de Rivaud...difficiles de dire au service de quel camp se trouve ce comptable des manifs...
La CFDT sort le grand jeu avec drapeau, camionnette et la Mano Negra en fond sonore entre autres!
Les policiers CRS en colère et dans la rue, sans matraque: oui, les choses vont vraiment mal...Cependant, on a échappé au grand classique: "Du blé pour les poulets!"
La MJS Team 86 occupe l'espace: drapeaux affiches, et une baderole reprennant le slogan d'un affiche de 2006, "Coupable d'être jeune", un slogan excellent et très pertinent par ailleurs, qui hélas et de plus en plus tendance dans les fantasmes du choix de société libérale dans laquelle l'UMP tente d'installer la France.
Interminable ou plutot interdébutable cortège: un marée humaine a envahi la descente du Boulevard du Grand Cerf...ah et tout ses usagers automobilistes très gentils victimes de prises d'otages à répétitions à cause de ces gauchistes plaigneurs permanents ascendants terroristes de nos campagnes!
Au niveau de la caserne des pompiers de Pont-Achard à 16H07.
Pas de début, ni de fin: un flot de colère, d'inquiétude, d'espoir qui ne cesse de piétinner le bitume pictave. Pour ceux qui y étaient ou ceux qui achetèrent le supplément de la NR sur le thème du CPE, ce petit cliché a des chances de vous rappeler un vague souvenir, un mardi 28 mars 2006, un image ensoleillée entre deux averses printanières.
Une nouveauté en forme d'avantage: le toit du parking Toumaï permet de prendre, façon de parler, un petit peu de hauteur sur les évènements. Du coup, on peut apercevoir au niveau des feux de Pont-Achard la fin du serpent humain. Et à leurs trousses, une floppée d'automobilistes très joyeux de rouler au pas, et surtout ne sachant pas ce qu'il loupent, sauf si bien entendu (et c'est leur droit) ils jugent que tout va bien en France... 
Gros bouchons en perspectives autour de la Place Leclerc, qui connait sous ce beau soleil une affluence des grand jours de manif'. L'axe Mairie-Préfecture est un corps formé de plusieurs milliers de personnes. Multicolores, multisonores,...multiculturels surout! Banco pour ce jeudi. Les patrons voyous, les banques, le président, le gouvernement fantôme Fillon, Chirac aussi avec le classique "T'en chies, tu raques, c'est la vie avec Chirac!", ont été habillés pour quelques hivers, rien qu'avec ce que l'on pouvait lire et entendre dans cet immense défilé.
Entre 14000 et 30000, il y a 1 chance sur 16000 possibilités d'obtenir le résultat exact concernant l'affluence obtenu par cette manif. 22000, c'est pile au milieu (bon ça fait un peu centriste, mais bon j'ai pas vu tout le cortège en même temps). La presse locale oscille entre 18-20000 pour la NR 25000 pour Centre Presse.
Aux piétons de février de poursuivre le boulot!
Et dire que le nain de l'Elysée raillait la visibilité des grèves en France il y a six mois de celà!
Et maintenant: quitte ou double? A noter que le maire en a aussi pris pour son grade, avec une banderole apposée contre la porte de l'Hotel de Ville: "Alain, met la Claeys sous la porte!".
A noter que quelques affiches du Quick et quelques calicots des Cordeliers furent les victimes colatérales de cette manifestation. Peut-être que pour la première fois depuis l'ouverture de la Galerie commerciale du centre-ville audébut de la décennie 2000, le batiment a été littéralement envahie par de nombreuses personnes mais à priori il n'y eut pas de dégats. 
Au Quick place d'Armes, peu avant 17H. 
Dans les Cordeliers, vers 17H20.
Publié par Ludovic Bonneaud
-
dans
Pourquoi Poitiers
/fdata%2F1393432%2Favatar-blog-1015845903-tmpphpuvg61e.jpeg){kind=avatar}
Le 7 Janvier 2015,
