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  • : PPP, le blog intégral: tout sur tout et un peu plus que tout, d'avant-hier, d'hier, d'aujourd'hui et peut-être de demain!
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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

Sachez que...

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

24 juin 2010 4 24 /06 /juin /2010 11:55

Un véritable troupeau de cagettes!

Les-cagettes-equipe-de-France.JPGDerrière le bureau des PTT, Place du Marché, Poitiers, Mardi 22 Juin 2010, vers 13H15.


Puisque toute la France en parle, autant que PPP se jette aussi dans la mêlée. Il est vrai qu'en temps de crise, les taux montent (chomage, inflation,...), mais eux au moins finissent par redescendre, ce qui n'est pas le cas du taux de conneries, qui lui, quoi qu'il arrive, ne fait que grimper, franchissant jour après jour des sommets pourtant réputés infranchissables.

En 1969, quand l'Homme a marché sur la Lune, Sud Ouest avait alors titré: "Ils l'ont fait". Ce titre, dans un sens bien moins glorieux, est à attribuer aux chèvres, non pas de feu M. Séguin, mais à celle de l'Equipe de France, qui ont su repousser les limites de la stupidité, après avoir poussé au maximum le niveau de médiocrité de leur jeu: en effet, un bourrin tocard unijambiste à Longchamp a plus de chances de remporter le tiercé que nos 11 chavroux de parvenir à remporter un match lors d'une compétition internationale!

Tout le monde va y passer, car les responsabilités sont partagées entre des irresponsables, qui aux yeux de l'Histoire, resteront comme les coupables.

D'un niveau d'une extrême pauvreté, les dits "joueurs" se sont comportés comme des gamins, même si l'épisode le plus drôle, fut la révolte de dimanche, non pas du Bounty, mais plutôt du Snickers. Et Raymond Domenech a enfin trouvé un rôle à sa taille: celui du petit télégraphiste. Sans doute a-t-il loupé une carrière de lecteur en bibliothèque muunicipale, ce qui nous aurait évité de vivre des années de purges footballistiques.

 

"En attendant la guerre civile footballistique"

 

Le "groupe" ("vit bien" comme disait Papy Henry en Septembre 2009) a trouvé une seule occasion de se souder: contre la fédé, contre Rama Yade (très critiquable, une fois encore qui a démontré l'étendue de son incompétence, qui dépasse en puissance 8000 le sommet de l'Everest), contre le staff. Mais pas contre les adversaires. Ainsi le traître a été éliminé du groupe: c'était la France, dans le groupe A, mardi sur les coups de 17H50. De tous temps, la chasse au traître a été une réussite: on se rappelle l'Inquisition, les purges staliniennes, le MacCarthysme. Et si l'inspecteur Evra avait trouvé le traître, est ce que le Tribunal Révolutionnaire des Bleus, sous le contrôle du Front de Libération Démocratique de l'Equipe de France, aurait pris des sanctions (physiques?), avec en guest star, le petit télégraphiste annonçant au micro (alors tenu par le gérontocrate Escalettes) la sanction encourue?

La dite "mutinerie" de nos millionnaires a fait un flop, aussi efficace que le putsch du Lieuteneant-Colonel Tejero en Espagne en Février 1981. Elle a montré que ces gens ne sont qu'une bande de décervelés, de véritables mercenaires, mais même pas au sens Sergio Leonesque du terme, parce que eux au moins, bien que traîtres, vont toujours au bout de leurs contrats (cf. Sentenza -Lee Van Cleef dans Le Bon, La Brute et Le Truand). La Coupe du Monde est censée être une fête, eux l'ont transformé en cauchemard: bien sûr, il y a des meneurs, mais comment peut-on être solidaire de l'indéfendable?

Chères amies, chers amis, les temps à venir pour l'Equipe de France vont être troubles: chacun à son mot à dire sur le dossier. Ainsi, il y a une sorte de "Libanisation," toute proportion gardée car le sang ne coulera pas, du moins je l'espère, mais chaque camp est en train de préparer ses munitions, et d'ici peu, ça va canarder de partout et dans tous les sens: attaque, contre-attaque, vendetta et coups de putes, on va tout voir et avoir et avec tout le monde: sportifs, journalistes, consultants, peoples, politiques, le pékin de base, et même Il Médiatico, qui est d'un interventionnisme encore plus élevé que Staline sur les plans quinquennaux des années 1930 en URSS!

Alors la vérité va sortir: mais le problème, c'est qu'il y en aura plusieurs sur ce qu'il s'est passé dans le groupe, hors du terrain, mais pas contre il y en a une qui ne trompe pas, c'est celle du terrain:

DES TOCARDS!  270 minutes de foot résumées en 2 mots!

 

En Equipe de France, on savait qu'on avait des chèvres, des manchots, des bourricots, on a appris grâce à Evra, qu'il y avait une taupe: ce n'est pas une équipe de foot, c'est le Zoo de Vincennes!*

 

Evidemment, nos chavroux sont les premiers responsables du tragicomique de ces derniers jours: la France est en ce mois de juin la risée du monde entier, ce dont nous remercie le président de BP qui peut se faire un peu oublier, mais aussi Kim Jong Il, qui en parlant de notre oeuvre, va pouvoir masquer 20 ans durant la branlée, oups, la non-victoire de la Corée du Nord sur le Portugal (7-0). Mais comment voulez-vous qu'un orchestre réalise une bonne production quand le chef d'orchestre est en bois et que les instruments fournis sont en mousse? Il est vrai que la nullité de Raymond Domenech en matière de choix sportifs, de gestion d'un groupe rivalise avec l'incompétence générale de Rama Yade, qui est aveuglée uniquement par sa soif de pouvoir.

Raymond la science a donc réussi à marquer l'histoire: 79 matchs en tant que sélectionneur (un record), et aussi et surtout un ridicule historique qui restera dans les mémoires d'un amnésique! Homme le plus détesté de France, il a tout fait pour, en se foutant de la gueule de tout le monde depuis ses quatres dernières années, ce qui représente la bagatelle d'environ 1400 jours. Et évidemment, avec Raymond, je fous dans le même sac l'ensemble de son staff.

Reste encore a évoquer les fans de l'URSS des années 1970: les gérontocrates de la Fédération. Tout le monde voyait le bide venir, mais ils furent les seuls à y croire: "vous allez voir ce que vous allez voir, rendez-vous en Afrique du Sud en 2010". On a vu et on l'a dans le cul. La Fédé s'est tirée, non pas une balle dans le pied, mais une rafale sur tout le corps: elle a détruit le foot français, elle a ruiné l'Equipe de France en laissant Raymond poursuivre son oeuvre de destruction en menant tout le monde en bateau: RESPONSABLES, IRRESPONSABLES, COUPABLES: DEMISSION!

Bachelot quant à elle, a brillé une fois encore par son ridicule et a réussi l'exploit d'élargir les frontières du pathétique: 2010 n'est pas son année, après le bide historique de la grippe A. "Il faut faire bloc derrière notre équipe" avant de déclarer une fois le drame survenu que " ce désastre était prévisible". Il n'y pas de doute possible, Roselyne Bachelot est bien française, elle sait parfaitement retourner sa veste. Et n'oublions pas que Rama Yade est l'incompétence incarnée, rappelons nous sa sortie sur l'Hotel des Bleus, puis sa virée payée mais non effectuée dans l'Hotel de luxe: faites-ce que je dis, pas ce que je fais. Rama Yade redort le blason de la politique...

Il y a quasiment un mois jour pour jour, la France et le foot étaient à leur apogée: la France décrochait l'Euro 2016 aux dépens de la Turquie (soulagement à l'Elysée), et les Bleus avaient vaincu la terrrrrrrible équipe du Costa Rica, l'autre Brésil d'Amérique! Vous imaginez, à un mois près, l'Euro 2016 nous serait sans doute passé sous le nez, à la vue de notre prestation internationale de ces derniers, mais aussi, à la vue des révélations hebdomadaires du Canard Enchainé, assez décrédibilisantes pour notre pays. Bon le seul problème, c'est que l'Etat n'a pas d'argent pour construire ou retaper les stades: ira-t-on vers la création d'un impôt "Euro 2016"?

J'allais l'oublier, mais Magic Nico, l'homme du Quick et de la réplique la plus célèbre de 2010 a pris une terrible leçon de vie, par le biais d'un autre Nico: en effet, c'est l'homme, l'auteur du "Cass' toi pôv con!" qui donne des leçons de politesse et de courtoisie, en direct de la Russie. Il est vrai que pour les enfants (ah, les gamins, que du rêve sur pattes à coup de 120 décibels de cris de douleurs), le serial tireur dans les tribunes, aurait du dire "Allez vous faire sodomiser malpropre héritier de péripapéticienne". Et du coup on aurait évité l'incident...

L'Equipe...très finement joué le coup de la Une de Samedi: un scoop bien gardé, un gros titre légèrement incliné en forme de couperet de cette chère guillotine, un montage bidon qui pique les yeux comme un vieux pull over multicolores des années 1990, et un propos, synthétisés en 8 mots, qui, comme l'analysé un ami, peut aussi s'interpréter comme un message du journal aux restes du selectionneur national. Tiré sans doute à plus de 600000 exemplaires, le journal, 13h passées, était introuvable: L'Equipe a réalisé un joli coup financier, en piétinnant une certaine idée de l'éthique: ce n'est pas la place d'un journal de sports de faire sa Une grâce à un flot de jurons. Je ne parle pas des enfants, dont je me fous complètement d'ailleurs: mais en faisant cela, le quotidien du sport, de l'auto et du mother fucker a atteint le niveau intellectuel des tabloïds rosbeefs, style The Sun. Et c'est malheureux. "Anelklash" m'aurait plu comme titre, avec ensuite les révélations à l'intérieur (il était très drôle de voir la vidéo d'Escalettes ce samedi en s'improvisant rédac' chef du journal: fais ton boulot à la fédé papy, on a assez de soucis comme ça...). J'espère que L'Equipe va faire  ses Unes sur du sport, le vrai, celui de la noblesse et de l'élégance de l'effort, et non pas sur la cellule d'aide psychologiques à nos 23 révolutionnaires. D'ailleurs, j'en profite pour écrire ce long papier avant que le "feu à volonté" en vienne à inonder les fil des dépêches AFP: la guerilla civile et verbale va bientot débuter, protégeons les femmes les enfants et le houblon d'abord car il y en aura partout sur les murs! Et que le mâle assoiffé de foot se rue dans la bataille!

Les sponsors des Bleus: il est vrai que ces derniers pourraient assombrir leur image. Bon, entre les placements hasardeux du Crédit Agricole et autres rémunérations dantesques ou encore Carrefour payant ses salariés à coups de lance-pierre, ou enfin GDF Suez qui pour se refaire une santé va annoncer des hausses du prix du gaz: vraiment, ils n'avaient plus grand chose à perdre. Par contre, et à ma grande joie, TF1 va perdre bien plus d'argent que prévu (10 millions d'euros de plus aux pertes initialement prévues du fait l'élimination prématurée des Bleus), et rien que pour ça, je parviens à trouver des motifs de satisfaction dans un Mondial qui reste dans l'ensemble bien terne, fade et pauvre en jeu. Le Mondial 2006 en Teutonnie semble bien loin...

Et enfin, les supporters: je pense aux pigeons qui ont fait un crédit pour aller voir les Bleus sur les terres de Nelson Mandela. Je pense à ceux qui ont payé pour voir déjouer l'équipe de France: peut-être auraient-ils (et elles) vu des buts lors d'un match au sommet au stade Jean Laville de Gueugnon entre nos chavroux et l'Amicale des unijambistes du Kosovo!? Je pense, et j'en suis, à celles et ceux qui se sont tapés les matchs du XI de France: d'interminables purges, à coté desquels du Vincent Delerm, c'est du hard rock brut! Je pense enfin, et j'en connais un, mais je ne dénoncerai pas, aux soutiens (je le mets au pluriel...) de Raymond Domenech, qui selon les rumeurs ont demandé l'exil politique en Corée du Nord.

On disait en France, dans les années 1976-1977 qu'on avait pas de pétrole mais qu'on avait des idées. Je suis heureux de vous annoncer qu'en Equipe de France, on a plus d'idées, mais que l'on est les rois du pétrole, pour avoir réussi l'exploit de creuser plus profondément que n'importe qu'elle compagnie de pétrole!

On dit qu'en France, de manières quelques peu abusives, qu'il y a 60 millions de sélectionneurs.

En ce piteux mois de juin 2010, il y a plutot 60 millions de cocu(e)s.

Bon courage Messieurs Blanc et Gasset.http://www.lequipe.fr/Medias/Football/201006/430x313/la-une-de-l-equipe-samedi-19-juin.jpg

La Une de l'Equipe dite "polémique", Samedi 19 Juin 2010.

 

*: vanne inspirée de l'excellent Julien Cazzare d'Action Discrète.

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10 juin 2010 4 10 /06 /juin /2010 18:35

L'humoriste de France Inter, au coeur de la tourmente ces temps-ci, ne sait pas de quoi son avenir sera fait

Même ses ex-petits camarades de la matinale le lâchent!

A BAS LA BIENPENSANCE MEDIATIQUE!

 

Les inrocks

 

Didier Porte : "Je suis très attaché à France Inter"

Crédits photo:  Didier Porte lors de sa chronique matinale à 7h55 sur France Inter

Pour une chronique un peu trop chargée, l'humoriste lettré Didier Porte se fait éjecter de la matinale de France Inter et pourrait perdre sa place de bouffon au Fou du Roi. Il réagit à la tempête.

Que s'est-il passé exactement après votre chronique du 20 mai, dans laquelle vous jouiez un Dominique de Villepin survolté qui répète « j'encule Sarkozy »?

Le jour même, j'ai été convoqué par Philippe Val, le directeur de France Inter, pour un entretien assez musclé. J'étais attendu comme un tueur en série... En même temps, je comprends qu'on se fasse engueuler par son patron, je ne vais pas jouer le martyr pour ça. Mais j'ai trouvé l'engueulade un peu disproportionnée : il m'a expliqué que c'était scandaleux de dire « j'encule Sarkozy » à huit heures moins cinq alors que les enfants écoutent la radio, que ça n'avait rien à voir avec Sarkozy mais avec le « j'encule » et que c'était un déshonneur pour France Inter.

Comment avez-vous réagi?

J'ai défendu mon bout de gras, en expliquant que ce n'était pas gratuit. Il y avait un angle : Dominique De Villepin atteint du syndrome de la Tourette, qui jure comme un charretier. Le ton est monté, mais on ne m'a pas prévenu de la suite. On était d'accord pour que cet entretien reste confidentiel. 48 heures plus tard, j'ai reçu un avertissement avec accusé de réception. C'est quand même le premier pas vers un licenciement... Quinze jours après, je découvre dans la presse une exécution un peu sommaire de la part de mes collègues.

Bernard Guetta raconte qu'il a failli se prendre un bus à cause de votre chronique. Ca vous attriste?

(Rires) J'en suis vraiment désolé. Non, sérieusement, je discutais souvent avec lui, il me semblait que nous avions de bonnes relations.

Nicolas Demorand aussi s'est désolidarisé...

Oui... Le jeudi matin, j'ai fait ma chronique, tout le monde a ri. Le soir, je me mets dans mon fauteuil devant Le Grand Journal et je les entends, j'ai trouvé ça difficile et presque surréaliste.

C'était votre chronique la plus méchante?

Je pense que cette chronique n'était pas assez drôle sur le début pour faire passer la transgression finale. Enfin, sur le moment, j'ai eu très peu de réactions des auditeurs, peu de mails, visiblement ça ne les a pas choqués outre mesure. Je suis très attaché à France Inter, ça fait dix ans que j'y suis, quatre ans en quotidienne. C'est peut-être moi qui ai écrit le plus de papiers d'humour de la station. Et on réduit mon travail à une chronique un peu ratée et un peu méchante. Ce n'est pas ma meilleure, j'en ai fait de beaucoup plus cinglantes, beaucoup plus politiques et subversives. Encore récemment, Estrosi a écrit pour se plaindre! Je trouve dommage de partir à cause de celle-là.

Savez-vous déjà si vous êtes seulement viré de la matinale ou si vous allez aussi quitter le Fou du roi? Vous paraissez indéboulonnable dans l'émission de Bern.

Pour la matinale, c'est quelque chose dont je me doutais depuis longtemps. La direction de France Inter pense que ce n'est pas une heure pour l'humour. Je ne sais pas encore en ce qui concerne le Fou du roi, mais personne n'est indéboulonnable. Je peux très bien être complètement viré.

Qu'est-ce que vous allez faire le jeudi matin maintenant?

Je me levais à 2 heures du matin, je vais peut-être me lever à 4 heures si je n'ai plus que le Fou du roi. Ou à 8h si ne n'ai plus rien du tout!

Vous mettriez qui à votre place?

Je dirais Laurent Violet, dont personne ne parle plus alors qu'il a un humour au vitriol. A huit heures moins cinq, je le verrais bien.

Vous êtes conscient que vous ne recevrez pas la Légion d'honneur cette année?

Putain, je suis effondré.

Imaginez que vous êtes Dominique de Villepin. Répétez après moi : « j'encule Sarkozy, j'encule Sarkozy ».

(Rires) Je crois que je me suis assez mis dans la peau de Dominique de Villepin...

Allez, au fond, vous l'aimez bien Sarkozy...

C'est sûr que je lui dois beaucoup depuis trois ans, pour alimenter six chroniques par semaine... C'est un bienfaiteur, il serait juste qu'il ait ma tête.

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4 juin 2010 5 04 /06 /juin /2010 16:22

Encore une très curieuse histoire!

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La Nouvelle République, page Centre-Ouest , mi-Mars 1975.

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1 mai 2010 6 01 /05 /mai /2010 11:46

Voiturette de cagette, créneau de cageot!

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Poitiers, Rue de l'Université, Samedi 30 Janvier 2010.

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3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 10:04

Pour faire un plan média bidon, elle n'en loupe pas une!

Plaque-de-la-Fraternite.JPGPoitiers, Quartier St Eloi, Avenue de la Fraternité (ou de la Fraternitude), Mercredi 23 Septembre 2009, vers 19H.

 

 

Ségolène Royal dépose les marques "Fête de la fraternité" et "ordre juste"
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11 mars 2010 4 11 /03 /mars /2010 02:00
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La boîte à idées planétaire de Dominique Strauss-Kahn
Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI), Dominique Strauss-Kahn, a proposé, lundi 8 mars à Nairobi (Kenya), de créer un "Fonds vert" capable de mobiliser pas moins de 100 milliards de dollars (73 milliards d'euros) par an d'ici à 2020. Objectif : que les pays en développement puissent investir dans des technologies économes en gaz à effet de serre.

L'équipe dirigeante du FMI a constaté que le sommet de Copenhague, en décembre 2009, avait échoué faute de pouvoir partager équitablement le fardeau financier de l'urgence environnementale. Elle réfléchit à la possibilité de trouver de nouveaux moyens – et notamment des DTS (droits de tirage spéciaux), la "monnaie" du Fonds – pour lever les sommes nécessaires, en attendant que les taxes carbone et la générosité des pays riches permettent de subventionner ces équipements "propres" mais onéreux.

Ce "Fonds vert" soulèvera des réticences car la lutte contre le changement climatique ne fait pas partie des compétences du FMI. Et parce que l'injection de ces 100 milliards de dollars risque d'accélérer l'inflation mondiale de 1 % à 2 %, perspective qui horrifie les banques centrales.

"Les experts nous disent que le temps nous est compté", a plaidé M. Strauss-Kahn à Nairobi. Autrement dit, que préfère la communauté internationale ? 1% d'inflation supplémentaire ou bien 2°C de température moyenne de plus avec les catastrophes climatiques qui s'en suivront ? Un sommet de chefs d'Etat dans les règles de l'art – mais aléatoire – sur le financement de la lutte contre le réchauffement ou bien une réponse collective et rapide à un danger non moins collectif et inexorable ?


INVENTIVITÉ KEYNÉSIENNE


Cette proposition peu orthodoxe est la dernière d'une série que le patron du FMI s'ingénie à enrichir de mois en mois pour envoyer à la réforme certaines "vaches sacrées" mondiales. En 2008, au début de la récession, il avait appelé les gouvernements à pratiquer des déficits budgétaires pour éviter une chute de la demande. Il avait avancé le chiffre de 2 % des produits intérieurs bruts, ce qui a été effectivement réalisé. Jusque-là, les déficits étaient honnis.

En 2009, il a proposé que le FMI devienne le prêteur en dernier ressort mondial et que les banques centrales lui confient une partie de leurs 8000 milliards de dollars de réserve pour mutualiser celles-ci en cas de crise. Jusque-là, le mot d'ordre était "à chacun son magot".

En 2010, lui et son équipe soutiennent que l'objectif d'inflation communément admis de 2 % pourrait être porté à 4 % quand la politique monétaire se révèle inopérante et qu'un contrôle des mouvements de capitaux peut être nécessaire quand ces flux déséquilibrent une économie. Jusque-là, l'inflation et les contrôles étaient voués aux gémonies.

Toujours en 2008-2009, sur les 19 plans de sauvetage élaborés par le FMI en faveur de pays pauvres, 16 ont prévu une hausse des dépenses sociales. Au Pakistan, le Fonds a encouragé le gouvernement à apporter une aide monétaire directe aux plus démunis. Jusque-là, les dépenses sociales figuraient parmi les premiers secteurs sacrifiés pour épurer les comptes.

Quand on lui fait remarquer que cette inventivité de type keynésien met à mal le fameux et très libéral "consensus de Washington", M. Strauss-Kahn répond qu'il a adopté une démarche pragmatique. "Nous subissons une crise sans précédent. Pour éviter qu'elle se reproduise, nous devons en tirer les leçons et réfléchir même aux solutions inhabituelles. Le FMI doit se positionner comme une source de réflexion théorique."

Ce rôle de boîte à idées planétaire n'en est qu'à ses débuts. En avril, M. Strauss-Kahn soumettra aux ministres du G20 une première mouture d'une taxation du secteur financier mondial. Il ne s'agira pas du prélèvement à but humanitaire dont rêve Bernard Kouchner, le ministre français des affaires étrangères, mais d'une sorte de police d'assurance d'autant plus onéreuse pour un établissement financier qu'il prendra plus de risques nécessitant un renflouement plus coûteux en cas de défaillance. Jusque-là, une taxe était inenvisageable.

Enfin, le 3 mai, Zhu Min, actuellement gouverneur adjoint de la Banque de Chine, prendra ses fonctions de conseiller spécial du directeur général du Fonds. Il sera chargé de superviser les pays émergents, mais aussi ce monde bancaire qui a fait tant de mal à l'économie mondiale. Jusque-là, le FMI était considéré comme un condominium américano-européen. Le successeur de M. Strauss-Kahn ne sera donc plus forcément un Occidental.

Alain Faujas
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7 mars 2010 7 07 /03 /mars /2010 14:21
Gaulliste, il fut le présentateur vedette du JT de TF1 au temps des années Giscard!

De 1975 à 1981: "TF1 20 Heures avec Roger Gicquel"
Pub-pompes-funebres-Roger-Gicquel.JPGPoitiers, Route de Chauvigny, 6 Décembre 2007, vers 15H40.

Je serai assez bref sur cette personnalité qui a mon sens devrait faire office de modèle dans la profession. Toujours est-il que n'ayant pas connu son époque de gloire, je n'ai vu de lui que des bouts d'archives, hélas rien de plus. Mais je tiens particulièrement à lui rendre justice sur l'introduction en guise d'éditorial de son fameux journal du 18 Février 1976. "La France a peur" a-t-il déclaré. Oui, mais comme le fut victime par la suite Michel Rocard, on a retenu qu'un bout de la phrase. Et ce propos était en fait à son honneur, et je vous le restitue dans son intégralité.
"La France a peur et nous avons peur et c'est un sentiment qu'il faut déjà que nous combattions je crois, parce qu'on voit bien qu'il débouche sur des envies folles de justice expéditive, de vengeance immédiate et directe, et comme c'est difficile de ne pas céder à cette tentation quand on imagine la mort atroce de cet enfant.".
La France des années 1970 a cette particularité de voir la montée en puissance de la montée en puissance du rapt, du kidnapping, pour divers motifs crapuleux, qu'ils soient politique ou simplement pécuniaires. Ainsi, le rappelle-t-il, 7 enfants ont été kidnappés en 1975 dans l'Hexagone. La mort du petit Philippe Bertrand a fait la Une des journaux, déchaîne les passions, avec une apogée au début de l'année 1977, quand le grand Robert Badinter a sauvé la tête du jeune Patrick Henry lors du procès de Troyes divers, alors qu'indirectement, il a envoyé de par ce fait, Christian Ranucci à la guillotine (verdict de son procès en Mars 76), pour une exécution aux Baumettes un sombre jour de Juillet 1976.
On parle de Seventies et la passion s'empare de moi. L'Esprit de ces années là reconnaîtra les siens, et Roger Gicquel sera parmi eux.

Bonus vidéo: l'introduction du journal de 20 Heures du 18 Février 1976.
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21 février 2010 7 21 /02 /février /2010 11:19
Etrange cette manie de vouloir trouver des prénoms tordus (pour des gamin(e)s) qui n'ont rien demandé

Parents d'aujourd'hui et de demain: RESTEZ SIMPLE!
Si vous ne le faites pas pour vous, faites le au moins pour eux!
TOP-10-prenoms-insolites.JPGLa-loi-sur-les-prenoms.JPGLe Parigo en France, Vendredi 19 Février 2010.

 

 

D'une part, nous apprenons qu'il y a des parents (mais on se demande pourquoi ils font et ont des gosses) pour appeler leur gamine Mégane quand le nom de famille est Renaud: mais il n'y a que deux gros cageots qui peuvent y penser vin diou! Ou à moins de prendre du plaisir à faire souffrir sa progéniture, ce qui est contraire aux affirmations du Seigneur qui a dit, en son temps, au bistrot de la Pointe Romaine à Jérusalem: "Aime ton prochain comme toi-même".
D'autre part, nous pouvons constater que la nouvelle norme est..de ne plus être dans la norme. Ainsi, il est terminé le temps des prénoms classiques du genre Julien Mathieu Thomas Mélanie Elodie (Nicolas est à part car je pense que depuis 2007, les ultrasarkophiles ont du appeler leurs gosses Nicolas, mais aussi Carla, et pour les moins chanceux qui ne l'avaient pas vu venir, Cecilia...).
Tout cela est ringard, il faut du nouveau ou du très très très ancien: par exemple, Abelin est un prénom...tout comme le nom de famille de la dynastie centriste du Chatelleraudais (la Team Abelin avec Pierre jusqu'en 1977 et Jean-Pierre depuis), Guérande, dont je vous laisse imaginer le martyr du gamin, surtout à table,...bref, des milliers de jeu de mots pourris, bidons et ridicules qui ne feront qu'agrandir le calvaire de la génération 2010, après que les parents des années 2000 aient rivalisé d'originalité en appelant quasiment tous leurs drôles Léo, Léa, Théo...Elles vont être sympathiques les séances d'appel des enfants en classe à l'avenir, où la pauvre enseignante devra demander quasiment autant de fois qu'elle comptera d'élève dans sa salle, si elle n'a pas écorché le prénom du chiard en question.
Parents de France: vous êtes les champions d'Europe de la reproduction (si si, avec 2 enfants par femme, on est en tête du classement, mais ne vous relâchez pas: pas de détente!), mais soyez sympas, ne jouez pas aux Shaddocks pour trouver le prénom que portera durant plus de 80 ans (voire jusqu'à l'aube du XXIIeme siècle!) votre enfant.
Ils vous remercieront quand ils en auront l'âge!

 

 

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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
500095 visites.062.JPG

Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

http://images.forum-auto.com/mesimages/518416/vignette81B.jpg

http://images.forum-auto.com/mesimages/64646/80.JPG
http://www.forum-auto.com/uploads/200511/vignet_1133117787_1979.jpg

http://www.forum-auto.com/uploads/200504/vignet_1114629809_78fa.jpg
http://www.forum-auto.com/uploads/200512/vignet_1133556357_77.jpg