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PPP, le blog intégral: tout sur tout et un peu plus que tout, d'avant-hier, d'hier, d'aujourd'hui et peut-être de demain!

Noël à Poitiers

080-copie-2.JPGPlace Charles VII, Place de la Liberté, au loin.

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083-copie-1.JPGLa note festive de la journée, qui fait aussi office de publicité.

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F
JE SAIS QU4IL EST TARD, pas de commentaires! C'est juste pour faire une critique, comme d'habitude, jamais satisfait! Sur la vidéo, tu dis qu'il n'y a personne mais je voudrais haut et fort dénoncer la censure qui t'a fait tourner ton appareil audiovisuel vers la droite où se trouve le palais de Justice, endroit où il n'y a habituellement personne les jours fériés comme Noël par exemple, plutôt que tourner ton appareil vidéo sur la gauche en sifflotant pour faire divertion, comme si de rien n'était, où m'est apparue, me semble-t-il, une ombre furtive, à laquelle même auraient, pour pousser tes sarcasmes d'obscurantisme "CSAesques" jusqu'au bout, correspondu des pas ... des talons aurais-je même supputé....? Alors, reconnais-tu, ignorant journaliste sans scrupules d'exhaustivité qu'il y avait bien une personne, ce jour-là, et même cette heure là, à cet instant très précis, qui venait vers toi, ou du moins dans ta direction, peut être même dans le but d'entamer la conversation ou tout simplement pour te dire: "non, Ludovic, tu n'es pas tout seul, je suis là moi aussi et je cherche l'âme soeur"...? Alors, mon malheureux ami, lorsque tu apprendras demain matin, en t'éveillant innocemment avec les yeux aveuglés par des années de mousses lacrimogènes, découvriras-tu enfin la substantifique moëlle de la connaissance et marcheras-tu enfin vers les chemins de la gloire, ceux qui mènent à la liberté? Je te le dis sincèrement, je sais qu'il est tard et que je m'emporte, n'oublis pas, la prochaine fois que tu appuiras sur le bouton on/off de ton vieil appareil de photographie numérique jetable, ton infatigable compagnon de toujours, n'oublis pas, te dis-je, de te demander si tu vas parvenir à transmettre la totalité de ce qui s'est véritablement passé ce jour-là et n'en n'oublier pas le moindre détail pour que ceux qui te liront ou qui te visionneront et qui penseront de toi que tu es leur maître aient, eux aussi, la chance de connaître la vérité -le salut de l'Homme réside en chacune de ses générations - .<br /> Allez, ne m'en veux pas, je suis un peu fatigué mais je te considère comme un preux reporter et t'attribue ma très affectueuse considération. J'aurai le grand plaisir de te revoir j'espère, en attendant bonne route! Un étudiant à la recherche d'un emploi.
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