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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

8 mars 2008 6 08 /03 /mars /2008 19:31
Un article tombé sur le Monde.fr et qui peut susciter de très, voire trop, nombreuses interrogations:
TF1 avait demandé à l'Elysée la suppression de la publicité sur les chaînes publiques fin 2007
LEMONDE.FR | 07.03.08 | 14h04  •  Mis à jour le 07.03.08 | 15h40
T
F1 avait plaidé fin 2007 auprès des pouvoirs publics pour la suppression de la publicité sur les chaînes publiques, avant que le président Nicolas Sarkozy n'annonce cette mesure début janvier. Cette demande figurait dans un livre blanc que le groupe a remis à l'Elysée quelques semaines avant l'annonce du président Sarkozy, rapporte, vendredi 7 mars, le quotidien Les Echos.

Le financement du service public "uniquement par des fonds publics" figure en quatrième position parmi les huit propositions du livre blanc de TF1, rapporte le quotidien. Citant en exemple le modèle britannique, le groupe de Martin Bouygues fait valloir que cette mesure "aurait le mérite d'assainir le marché publicitaire, soumis enfin aux seules lois de l'offre et de la demande". Aux yeux de TF1, les chaînes publiques opèrent "une ponction très significative sur le marché publicitaire" et "mènent une véritable politique de dumping, entraînant une pression artificielle à la baisse du coût des écrans", tirant l'ensemble du marché publicitaire vers le bas.


Le 8 janvier, jour de l'annonce de Nicolas Sarkozy, l'action de TF1, qui devrait être le principal bénéficiaire de cette mesure au regard de sa part de marché prépondérante, avait bondi de 9,47 %. "Très vite, la chaîne a cherché à corriger l'image d'un 'cadeau' qui lui serait ainsi fait par le président de la République", expliquent Les Echos. Le 27 février, le principal actionnaire de la chaîne, Martin Bouygues, avait ainsi assuré avoir "découvert" l'annonce présidentielle lors de sa conférence de presse. 

 


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7 mars 2008 5 07 /03 /mars /2008 11:15
La liste de gauche d'Alain Claeys "Poitiers Grandeur Nature" a tenu son dernier meeting d'avant premier tour aux Salons de Blossac, avec Aurélien Tricot, candidat PS aux cantonales, comme animateur de soirée. Belle affluence (la NR affirme 700, sachant que le Modem en avait fait 400 et l'UMP a fait 400 personnes aux Arènes), même si Jacques Santrot se dit être le seul à connaître le nombre de chaises.

Jacques-Santrot-Discours-6-Mars.JPGSalons de Blossac, Jeudi 6 Mars 2008, 20H50.
D'ailleurs c'est le maire de Poitiers qui a ouvert le bal des discours durant cette réunion de plus de 2H, en revenant sur les propositions de la droite, ainsi que les critiques émises par Dominique Bussereau concernant le nouvel amènagement de la gare: "c'est complètelment raté" a-t-il déclaré en arrivant à Poitiers et accueili par Stéphanne Braconnier, ce qui est toujours fin de la part d'un ministre. Jacques Santrot a vanté les qualités de la liste "Poitiers Grandeur Nature" ainsi que le projet municipal qu'elle propose pour 2008-2014.
Discours-Santrot.JPG

Dix sept intervenants se sont ensuite succédés, soit à la tribune, soit par vidéos: ainsi ont pu s'exprimer Philippe Raby, un enseignant d'écoloe primaire, une responsable d'association pour handicapé,...,ainsi que le scientifique et Président d'Université Axel Kahn, qui connait Alain Claeys pour avoir travaillé avec lui sur les questions de bioéthiques.
A la tribune, divers visages de Poitiers: enseignant, étudiant, salarié, monde de la culture,...Tout y était. Ainsi, Arnaud Chevrier, ex SFR qui remercie la Gauche et LCR pour leur soutien durant de difficlies mois (SFR bénéficie d'aides de la part de l'Etat et du département...), mais pas la droite "car ils ne nous ont pas aidé!"
Sacha a pour sa part développé l'idée des transports à Poitiers et dans la Vienne:
Discours-Sacha.JPG
Enfin, vers 23H, Alain Claeys a pris brièvement la parole, revenant sur cette campagne qu'il a voulu "utile" et souhaite que "chacun trouve sa place dans cette ville".
Discours-Claeys.JPG

Applaudissements-fin-meeting.JPGFin de meeting, Jeudi 6 Mars 2008, 23H15

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4 mars 2008 2 04 /03 /mars /2008 18:02
Pub-minitel-municipales-1995.JPGCentre Presse, Juin 1995

Pour ces municipales 2008, nous allons essayer de vous donner le maximum de résultats à partir de 20H, à Poitiers ainsi que les grandes tendances dans le pays.
PLUS SYMPA QUE FEU LE MINITEL, ET GRATUIT!
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1 mars 2008 6 01 /03 /mars /2008 15:09
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Pour cette dernière semaine de campagne (d'avant premier tour) d'élection municipale 2008,la liste d'union de la gauche d'Alain Claeys proposera à 3 jours du premier tour:

GRAND MEETING

SALONS DE BLOSSAC
JEUDI 6 MARS 2008 20H30
LISTE POITIERS GRANDEUR NATURE

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1 mars 2008 6 01 /03 /mars /2008 14:22
Depuis près de 15 jours, il est l'homme par qui la polémique est arrivée à Poitiers. 1200 signatures contre sa venue à dans la cité universitaire et beaucoup d'interrogations sur sa personnalité, ses idées, ses actes.
Après avoir renié son passé de dirigenat du GUD, BenoitFleury a livré un entretien avec Jean Michel Gouin, à lire dans les colonnes de La Nouvelle République du Samedi 1er Mars 2008.
Voici l'intégralité de l'entretien, qui choquera moins que celui de l'Echo des Savanes de Mars 1999:
Benoit Fleury:"Je demande à être jugé sur mon enseignement"
Ex-dirigeant d'un groupe universitaire d'extrême droite, reçu récemment major à l'agrégation d'histoire du droit, Benoît Fleury a choisi Poitiers pour enseigner à la rentrée 2008, suscitant une levée de boucliers dans le monde étudiant.
 

L'annonce de votre arrivée à Poitiers a suscité bien des réactions. Que dites-vous à ceux qui mettent en avant votre passé, incompatible à leurs yeux avec l'enseignement du droit ?

« Le passé reste le passé et j'ai pris officiellement position sur le sujet. Après, il y a des règles qui s'appliquent à tous. Je rappelle que j'enseigne depuis six ans. La teneur de mon enseignement n'a jamais suscité la moindre difficulté. En 2000, j'ai obtenu un DEA mention très bien, ensuite une thèse. J'ai d'abord été tuteur à Paris V puis attaché temporaire d'enseignement et de recherche à Tours, à Rouen, puis maître de conférences. J'ai soutenu ma thèse à Paris II en 2006, j'ai demandé un poste de maître de conférences et j'ai été pris à Montpellier pour l'année 2007-2008 ».

Allez-vous venir à Poitiers pour vous expliquer avec les instances dirigeantes de l'université ?

« J'ai eu plusieurs fois au téléphone le président de l'université et le doyen de la faculté de droit et leur ai fait part de mon souhait de venir m'expliquer. Naturellement, nous envisageons très prochainement de nous retrouver, et pourquoi pas aussi avec les représentants étudiants s'ils le souhaitent, y compris les représentants des personnels Iatos. Pour m'expliquer et dialoguer. Aujourd'hui, dix ans plus tard, il y a quelqu'un d'autre ».

Que répondez-vous à ceux de l'ultra droite qui, sur le Net, se réjouissent de votre brillante admission au concours de l'agrégation ?

« Je ne m'en réjouis absolument pas et n'en tire aucune satisfaction. Si j'avais encore des liens avec ces personnes et ces groupes, vous vous doutez bien que je demanderai à ce qu'on ne fasse pas de publicité autour. La communauté universitaire a eu une inquiétude légitime au regard du portrait qu'on a pu dresser de moi, pas toujours exact. Elle s'est exprimée au travers d'un vote (ndlr : lundi le conseil d'administration de l'université avait voté à l'unanimité une motion demandant au président de la république de ne pas affecter M. Fleury en tant que professeur à Poitiers). Je demande à être jugé sur mon enseignement et non sur des faits vieux de dix ans. On parle beaucoup du rayonnement de la faculté. Elle rayonne par ses publications scientifiques. Je publierai en tant que professeur à la faculté de droit de Poitiers. Si je suis un mauvais chercheur, attendons…. Il y a dans cette ville une très belle section d'histoire du droit avec à sa tête Jean-Marie Augustin, un homme très solide. On peut lui faire confiance pour que tout se passe très bien ».

Aujourd'hui, après toute cette agitation à votre sujet, dans quel état d'esprit êtes-vous ?

« Je suis vraiment à la disposition de tous afin de mettre un terme à cette polémique. Vous savez, j'ai 31 ans, je viens d'être agrégé et j'attends mon cinquième enfant. Je viens m'installer en famille et je suis ravi de venir dans une faculté réputée ».

Propos recueillis par Jean-Michel GOUIN

 
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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 13:36
Dans le cadre de la mobilisation contre la venue de Benoit Fleury à l'Université de Poitiers, deux rassemblements unitaires auront lieu:

JEUDI 28 FEVRIER 2008
SHA CAMPUS 10H30
et
12H00 Fac de Droit et Sciences Sociales

Il est important de montrer une mobilisation forte lors deux ces deux rassemblements unitaires!!!

Déjà plus de 900 signatures sur la pétition
poitiersditnon.fr
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25 février 2008 1 25 /02 /février /2008 12:23
EN OPPOSITION A L'AFFECTATION DE BENOIT FLEURY, ex-dirigeant du GUD,
A L'UNIVERSITE DE POITIERS

RASSEMBLEMENT
A LA PRESIDENCE DE L'UNIVERSITE
HOTEL PINET

LUNDI 25 FEVRIER 2008
14H30

Soyons nombreux a démontrer notre opposition a la venue de Monsieur Fleury, en faisant pression sur le président Gesson, ainsi que sur le Conseil d'Administration qui s'y tiendra.
Rassembler, nous pourrons ainsi établir des perspectives de luttes afin que cette affectation soit rejetée!
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23 février 2008 6 23 /02 /février /2008 13:55
Voici se que l'on peut lire dans les colonnes de Libération du Samedi 23 Février 2008,
Lib--Benoit-Fleury.JPGPoitiers Place du Marché, Samedi 23 Février 2008
ainsi que sur Libé.fr, concernant l'affectation de Benoit Fleury à l'Université de Poitiers:


Société
L’ex-chef du GUD, agrégé de droit, trouble l’université
VÉRONIQUE SOULÉ
QUOTIDIEN : samedi 23 février 2008
18 réactions  
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Jamais les résultats d’un concours de l’enseignement supérieur n’avaient provoqué un tel séisme. Le 9 février, Benoît Fleury, l’ex-chef du GUD, violent groupuscule d’extrême droite, a été reçu major de l’agrégation en histoire du droit, le propulsant dans le cénacle universitaire. Passé le choc, la mobilisation s’organise. Fait rare, dans une déclaration publique, douze professeurs de droit s’inquiètent pour «le rayonnement» de leur discipline, tandis qu’à Poitiers, où il devrait être nommé, des étudiants lancent une pétition contre sa venue.

 
  Sur le même sujet  
   
 

Benoît Fleury, 31 ans, s’est fait connaître comme patron du GUD (Groupe union défense ou droit, selon les versions) de 1995 à 2000 à Assas, haut lieu de l’extrême droite universitaire à Paris. Créé en 1968 et dissout au début des années 2000, le GUD est un mouvement ouvertement raciste et antisémite redouté pour sa violence.

«Lord» - le surnom de Fleury - revendique alors haut et fort sa fibre «fasciste, au sens italien du terme» et son admiration pour le national-socialiste belge Léon Degrelle, dans l’Echo des Savanes en 1999. Surtout il aime la baston. Il est à plusieurs reprises exclu d’Assas pour agressions, injures racistes, manifestations antisémites, etc. En 1998, il écope de trois mois de prison pour avoir attaqué d’autres militants d’extrême droite.

Amnistiées. Mais depuis le début des années 2000, il semble s’être rangé, après une ultime bataille, perdue, pour obtenir une bourse et un poste à Assas. Il a fait une thèse sur L’abdication dans le droit public européen de l’époque moderne, sous la direction de Jean-Marie Carbasse, un universitaire respecté et classé à droite. Il est devenu chargé de travaux dirigés à Rouen, puis maître de conférences à Montpellier-I. Ses condamnations ont par ailleurs été amnistiées, lui permettant de présenter un casier judiciaire vierge à l’agrégation d’histoire du droit, un concours qui se déroule tous les deux ans.

Mais pour les étudiants de Poitiers, une université très engagée durant la lutte contre le contrat première embauche et, l’an dernier, contre la loi sur l’autonomie des universités, le passé pèse trop lourd. «Il incarne une droite extrême et nauséabonde», écrit la pétition qui circule sur le Net (www.poitiersditnon.fr), «l’Université de Poitiers et son UFR [ faculté, ndlr ] de droit, le plus vieux de France, tiennent à garder leur honneur et leurs valeurs humanistes et républicaines.»

Prudents, les douze professeurs d’université (1) qui ont signé une déclaration (voir Libération.fr) soulignent qu’ils ne remettent nullement en cause le jury du concours qui a décerné la première place à Fleury. Mais ils rappellent que la loi «réprime les actes et discours racistes, antisémites et négationnistes et que les enseignants d’une discipline à la fois historique et juridique doivent se sentir particulièrement responsables du respect des dispositions destinées à protéger la dignité humaine contre la haine et le mensonge». Ce qui inquiète le plus est le silence de Benoît Fleury, que Libération a cherché à joindre. Les sites d’extrême droite ont salué sa réussite à l’agrégation, comme s’il restait l’un des leurs. Lui-même ne s’est jamais dédit. En 2005, il contestait encore auprès du Conseil d’Etat - qui l’a débouté - le refus de la présidence d’Assas de lui décerner une allocation de recherches.

Veto. «Nous ne deviendrons pas un deuxième Lyon [Lyon-III fut un bastion universitaire du révisionnisme, ndlr] , assurent les étudiants de Poitiers. Lundi, la question doit être évoquée lors d’un conseil d’administration. Le représentant étudiant, Stéphane Séjourné, va demander au président de s’opposer à la nomination de Fleury. «La nouvelle loi nous donne bien un droit de veto, mais pas sur les postes des agrégés du supérieur comme lui», explique le président Jean-Pierre Gesson. «Nous aurions préféré qu’il aille ailleurs», poursuit-il, allusion au fait que Fleury avait d’abord songé à Nîmes, et aux tensions au sein de son université, «mais je ne peux rien faire si ce n’est rappeler que nous avons des règles et qu’en cas de dérapage, je recourrai au conseil de discipline». Fleury devrait être reçu jeudi par le doyen de la fac de droit, s’il ne s’est pas découragé d’ici là.

(1) P. Arabeyre, J-M. Augustin, M. Bouvet, C. Bruschi, D. Deroussin, N. Dockes, F. Garnier, E. Gasparini, J-L. Halperin, C. Lauranson-Rosaz, C. Leveleux-Teixeira, J. Poumarede.


«Attachés à leur discipline et à son rayonnement...»
LIBERATION.FR : samedi 23 février 2008
0 réaction  
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Déclaration collective

Attachés à leur discipline et à son rayonnement, des historiens du droit souhaitent, par cette déclaration, rappeler:
1. que l’indépendance et la liberté d’expression ont pour corollaire le respect de principes déontologiques et méthodologiques;

2. que la loi française, en accord avec le droit européen, réprime les actes et discours racistes, antisémites et négationnistes. Les enseignants d’une discipline à la fois historique et juridique doivent se sentir particulièrement responsables du respect de ces dispositions destinées à protéger la dignité humaine contre la haine et le mensonge. La liberté d’expression ne peut être invoquée pour justifier des actes et des discours incriminés par la loi, ces derniers n’ont pas plus droit de cité dans l’université qu’en dehors de l’université;

3. que l’histoire du droit est susceptible de s’appliquer à toutes les périodes du passé, des plus reculées aux plus proches et constitue une discipline ouverte à une pluralité de méthodes et de points de vue, naturellement tournée vers la comparaison des droits et la dimension internationale. Les évolutions de ces dernières décennies, en matière de recherche et d’enseignements, ont très largement répondu à ces orientations partagées par l’immense majorité des historiens du droit.

4. que le principe de la souveraineté d’un jury de concours ne saurait être mis en cause.

Ils espèrent, enfin, qu’une telle déclaration recueillera le plus grand écho au sein de leur discipline et, plus largement, de l’Université.

Premiers signataires:
Patrick ARABEYRE (Ecole des Chartes, Paris)
Jean-Marie AUGUSTIN (Poitiers)
Marc BOUVET (Angers)
Christian BRUSCHI (Aix-Marseille III)
David DEROUSSIN (Lyon III)
Nicole DOCKES (émérite, Lyon III)
Florent GARNIER (Clermont-Ferrand)
Eric GASPARINI (Aix-Marseille III)
Jean-Louis HALPERIN (ENS, Paris)
Christian LAURANSON-ROSAZ (Lyon III)
Corinne LEVELEUX-TEIXEIRA (Orléans)
Jacques POUMAREDE (Toulouse 1)
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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

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