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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 00:28
Poitiers, Parvis Notre-Dame, Samedi 10 Octobre 2009, vers 18H40.

A la Une
Violences à Poitiers : beaucoup de bruit pour 18 vitrines
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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 23:05
ET POURQUOI PAS DES 35 HEURES TANT QU'ON Y EST?!
Les violences à PoitiersLes violences à Poitiers, crédit LCI.


LCI.fr
  • Le ministre de l'Intérieur a écrit au maire de Poitiers, théâtre le week-end dernier d'une manifestation violente, disant "regretter (son) attitude non coopérative".

  • Selon lui, la mairie a opposé une "fin de non recevoir" à l'aide prévue par les services de renseignement, alors que "les renseignements faisaient état (...) d'individus susceptibles de troubler l'ordre public".

D.H. (avec agence) - le 16/10/2009 - 16h09
Mis à jour le 16/10/2009 - 16h12

Après la manifestation organisée par un collectif anti-carcéral qui a dégénéré en violences samedi à Poitiers pendant un festival culturel et les poursuites envers les fauteurs de trouble, vient le temps des recherches de responsabilités... Et pour le ministre de l'Intérieur, c'est la faute de Poitiers. Brice Hortefeux a même envoyé un courrier mercredi au maire PS de la ville, Alain Claeys, pour le lui dire et reprocher. "Les renseignements transmis faisaient état d'un rassemblement, le dimanche 11 octobre, d'une cinquantaine d'individus susceptibles de troubler l'ordre public".
 
Alors "qu'à ce titre, une force de renfort avait été prévue", poursuit Hortefeux, "le directeur régional du renseignement intérieur s'est adressé deux jours avant la manifestation au ‘délégué à la tranquillité' de votre municipalité pour disposer d'un ‘point haut' (pour) une observation de l'événement et la réalisation de prises de vue". Or, regrette le ministre, "son interlocuteur l'a rappelé pour lui opposer une fin de non recevoir, en lui indiquant qu'il agissait ainsi ‘sur instructions du directeur du cabinet du maire'". "Je ne puis que regretter cette attitude non coopérative, qui n'a pas permis à la police de disposer de l'appui qu'elle (avait) explicitement sollicité", ajoute Brice Hortefeux.
 
Néanmoins, "face à l'évolution de la situation (...) l'après-midi du samedi, les services de police ont fait preuve de réactivité, de professionnalisme et de courage", estime le ministre dans ce courrier. Il rappelle également qu'il y a eu "une centaine d'interpellations, dix-huit gardes à vue et près d'un millier d'objets saisis en cours d'exploitation par la police technique et scientifique". Enfin, il assure prendre "en considération le comportement de plus en plus violent d'une certaine frange de la mouvance d'ultra-gauche" et invite "à nouveau (M. Claeys) à (s')associer à la défense républicaine en (lui) apportant (son) entier soutien au Parlement, notamment lors du vote de la proposition de loi" contre les bandes.


"Instrumentalisation de la justice", selon les syndicats

Le Syndicat de la Magistrature (SM) et le Syndicat des Avocats de France (SAF) ont dénoncé vendredi un "nouvel épisode d'instrumentalisation de la justice", en réaction au traitement judiciaire des violences de samedi dernier à Poitiers. Le ministre de l'Intérieur avait souhaité que la justice "sanctionne et durement" les casseurs. "Manifestement, le message a été parfaitement entendu par le parquet de Poitiers qui a immédiatement déféré en comparution immédiate les quelques manifestants interpellés", ont souligné le SM et le SAF dans un communiqué commun. "Le choix de cette option procédurale - singulièrement expéditive mais particulièrement adaptée pour surfer sur l'émotion - caractérise la soumission de plus en plus fréquente des autorités de poursuites aux injonctions de l'exécutif", ont-ils estimé. "Au-delà de ce nouvel épisode d'instrumentalisation de la justice, cette affaire pose également la question de la surenchère sécuritaire", ont ajouté les deux syndicats. Ils ont dénoncé une "exploitation idéologique des faits divers et son corollaire insupportable : la mise au pas de l'institution judiciaire".

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16 octobre 2009 5 16 /10 /octobre /2009 00:00

...Tout comme il y a 20 ans!

A l'entrée de ville Pénétrante-Malraux, Jeudi 15 Octobre 2009, 10H20.


La Nouvelle République, Samedi 7 Octobre 1989.
 

Quelle grosse semaine politique judiciaire, médiatique et sociale pour l'ancienne Lemonum!
Donc demain, tout comme il y a près de deux décennies, les agriculteurs vont battre le bitume de cette bonne bourgade de province qu'est Poitiers avec leurs tracteurs. Il y a fort à parier que la ville, ce soir, ne ressemblera en rien à Grozny après le passage des Russes en 1994!
Toujours est-il qu'il y a depuis près d'une semaine que le panneau jaune est installé, mais je ne suis pas sûr pour autant que cela soit une conséquence des évènements de ce samedi.
Et pourtant, sachez qu'il y a un lien entre la manif' de samedi (et ses conséquences) et la manif' des agriculteurs de 1989. OUI! C'est un petit peu capilo-tracté, mais je m'explique: le surlendemain de ce cortège de 89, le 8 Octobre 1989, soit 200 ans, 2 mois et 24 jours après la Prise de la Bastille, venait au monde un petit homme devenu grand, un roux bien aimé qui est depuis lundi dernier en prison: Samuel!
Alors pour l'aider, le soutenir, lui et son pote Jean-Salvy, signez et faites signer LA PETITION
de soutien aux innocents, qui à l'heure, à l'instant où vous lisez ces lignes, sont en prison!

Merci pour eux. 
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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 22:26
Chaque jour serait-il un anniversaire...?Centre Presse, Mardi 13 Octobre 2009.
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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 12:01
VOILA QUI SEME LE TROUBLE PEU DE TEMPS AVANT QUE SOIT DEVOILE
LA CARTE DU TOUR DE FRANCE 2010...


lemonde.fr
Le traitement de faveur d'Astana sur le Tour 2009
Emmené par les coureurs d'Astana, le peloton file vers Verbier, arrivée de la 15e étape du Tour 2009.


"L'équipe Astana a bénéficié d'un traitement privilégié de la part des officiels de l'UCI ." Telle est la conclusion que tire l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) dans un rapport qu'elle vient d'établir sur le déroulement des contrôles lors du Tour de France 2009 et dont Le Monde a eu connaissance.

Il a été envoyé lundi 5 octobre à l'UCI et à l'Agence mondiale antidopage (AMA), aux ministres de la santé et des sports, Roselyne Bachelot et Rama Yade, ainsi qu'à Amaury Sport Organisation (ASO), le propriétaire de la Grande Boucle. Ce document de dix pages, réalisé notamment à partir des journaux de bord scrupuleusement tenus par les deux médecins missionnés par l'AFLD pour réaliser les prélèvements urinaires et sanguins pendant l'épreuve, est accablant pour l'UCI, l'organisation responsable des contrôles sur le Tour 2009 qui, contrairement aux éditions précédentes, n'a été entaché d'aucun cas positif.


ASTANA ÉPARGNÉE


"Toujours les contrôles les plus tardifs le matin, délais pour se présenter au préleveur" : le rapport détaille le régime de faveur dont a bénéficié, selon l'AFLD, l'équipe de Lance Armstrong et du vainqueur Alberto Contador pendant le Tour. Les médecins de l'AFLD notent ainsi que le 11 juillet, au matin, dans l'hôtel de l'équipe Astana, l'obligation de se présenter immédiatement pour procéder aux prélèvements n'a pas été respectée à la suite de l'intervention des inspecteurs de l'UCI qui avaient, de surcroît, refuser la présence des escortes de l'AFLD, pourtant obligatoire afin de veiller à ce que les coureurs ne se livrent à aucune manipulation entre la notification de leur contrôle et le prélèvement.

Les coureurs ont bénéficié d'un délai d'au moins 45 minutes : "Une telle tolérance accordée sans véritable justification (…) ne permet pas, en l'absence d'escortes, de s'assurer de la parfaite régularité de la procédure, notamment qu'aucune manipulation n'est effectuée", pointe le rapport. L'AFLD déplore en outre que les prélèvements sanguins prévus sur des coureurs de la formation kazakhe n'aient pu être réalisés le 25 juillet, car le temps de transport jusqu'à leur hôtel (environ 60km) avait été sous-estimé par les inspecteurs de l'UCI.

L'agence souligne également que l'UCI a bien transmis des informations sur la localisation des équipes lors de la préparation d'avant Tour afin de pouvoir diligenter des contrôles… à l'exception d'Astana. "Une rétention d'information qui ne va pas dans le sens de la lutte contre le dopage", commente l'AFLD.

Concernant Lance Armstrong, le rapport révèle par ailleurs que le 24juillet un photographe, sans autorisation, a pris des clichés pendant le contrôle du septuple vainqueur du Tour dans sa chambre d'hôtel, "au risque d'invalider la procédure".


DES CONTRÔLES PAS VRAIMENT INOPINÉS


Selon l'AFLD, les inspecteurs de l'UCI n'ont pas pris toutes les précautions pour préserver la confidentialité des contrôles, notamment pour ceux réalisés dans les hôtels des coureurs avant ou après la course. "Il n'est en effet pas très professionnel d'échanger à [très] haute voix sur ces sujets dans une salle de restauration où sont présents des coureurs, notamment la veille d'un contrôle comme ce fut le cas à Barcelone le 7 juillet au soir", note le rapport.

La publication du nom des coureurs désignés pour les contrôles a souvent été effectuée 30 minutes avant l'arrivée, déplore également l'AFLD. Un laps de temps trop important qui peut, selon l'agence, donner la possibilité aux directeurs sportifs d'avertir les coureurs via les oreillettes et "favoriser ainsi des manipulations sur les paramètres des échantillons devant être prélevés". D'autant que le rapport note que les vainqueurs d'étapes et les coureurs en tête des différents classements se présentaient régulièrement une heure voire 1 h 30 après l'arrivée. Lors du contre-la-montre par équipes du 7 juillet, un coureur s'est même vu remettre sa notification de contrôle par son directeur sportif avant le départ !


UNE CONSERVATION ARTISANALE DES ÉCHANTILLONS


Les médecins de l'AFLD déplorent qu'aucun matériel de type glacière permettant de conserver et de transporter les échantillons à une température garantissant leur intégrité (4°C) n'ait été mis à leur disposition par l'UCI. Des échantillons urinaires et surtout sanguins ont ainsi parfois été stockés plusieurs heures dans le coffre de véhicules exposés au soleil sur un parking avant d'être transportés au laboratoire sans protection, pointe le rapport qui prend l'exemple de ceux de l'équipe Milram, le 12 juillet. "Un manquement grave aux règles de bonne conservation des échantillons qui auront à n'en pas douter pour conséquence de rendre difficile des analyses en raison de leur détérioration", commente l'AFLD.

L'AFLD relève enfin que les inspecteurs de l'UCI ont qualifié, à tort, de "contrôles hors compétition" ceux pratiqués le matin ou le soir dans les hôtels. "Cette erreur est bien entendu lourde de conséquence", juge l'autorité antidopage française, car la liste des substances interdites "hors compétition" est beaucoup plus restreinte que celle des produits prohibés "en compétition" et exclue ainsi de fait la recherche des stimulants ou des corticoïdes.


Stéphane Mandard

 

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13 septembre 2009 7 13 /09 /septembre /2009 23:30
MALGRE UN SOUTIEN OFFICIEL DE L'ELYSEE, DU GOUVERNEMENT ET DE L'UMP, L'ENTOURAGE DU CHEF DE L'ETAT SEMBLE S'AGACER DE LA "DECONTRACTION" DU MINISTRE DE L'INTERIEUR DANS SON COMPORTEMENT AVEC LES MILITANTS.
UN HUMOUR AUVERGNAT DOUTEUX DE LA PART DE BRICE HORTEFEUX...


SUDOUEST.COM

Samedi 12 Septembre 2009

POLÉMIQUE.
Le ministre de l'Intérieur affirme ne pas avoir tenu des propos sur l'origine ethnique d'un militant. Tout indique qu'il répondait pourtant à une remarque sur ce thème

 

La défense Hortefeux se heurte à une petite phrase
De gauche à droite Jean-François Copé, Amine Benalia-Brouch, Brice Hortefeux et en arrière-plan un cameraman filme la scène qui a été diffusée sur Internet. (photo le deodic sud ouest)Seignosse (Landes), Samedi 5 Septembre 2009.

Ce ne sont que quelques secondes. Mais elles vont peut-être peser sur l'avenir d'un ministre. Quelques secondes d'une vidéo qui fait l'un des plus gros buzz de l'année sur Internet depuis jeudi soir. Des images prises le week-end dernier lors du campus UMP à Seignosse. Cette vidéo diffusée jeudi par lemonde.fr a été filmée par un journaliste de Public Sénat. La chaîne couvrait l'événement avec LCP. Les patrons de LCP et Public Sénat, Gilles Leclerc et Gérard Leclerc, ont seulement admis hier après-midi dans un communiqué commun posséder des images qui « ressemblent » à celles diffusées sur le Web.

Images d'un journaliste

La diffusion tardive, hier, par Public Sénat de l'intégralité de la séquence ne laisse pourtant aucun doute. Il s'agit bien du même film dont l'extrait a été diffusé sur Internet. L'image prise par un photographe de « Sud Ouest » au moment de la scène (voir ci-contre) ne montre d'ailleurs qu'une seule personne en train de filmer. Cela met tout d'abord du plomb dans l'aile à l'hypothèse d'images trafiquées. Nous avons fait examiner ce film par des professionnels, les techniciens de la chaîne TV7 du Groupe Sud Ouest. Ils confirment que rien n'indique le moindre signe de montage dans cet extrait. Cette possibilité de « coupure » avait été évoquée hier dans nos colonnes par le jeune militant UMP Amine Benalia-Brouch, au centre de la polémique (lire son interview ci-dessous).

Ce n'est pas, cependant, la ligne de défense du ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux. Ce dernier a seulement assuré n'avoir voulu faire « aucune référence à une origine ethnique du jeune militant » dans la phrase incriminée : « Il en faut toujours un. Quand il y en a un ça va... (lire ci-contre l'intégralité du dialogue). Il a affirmé dans un communiqué que ses propos portaient sur les Auvergnats, puis à des journalistes qu'il parlait alors des « photos », indiquant que « quelques photos ça allait... ».

« C'est notre petit arabe »

Pourtant, la retranscription du dialogue que nous avons faite avec des techniciens de TV7 est identique à celle du monde.fr et de Public Sénat. Brice Hortefeux répond bien, en la regardant, à une remarque de Marie Apathie, secrétaire départementale de l'UMP des Landes : « C'est notre petit arabe ». On y voit clairement cette dernière dire cette phrase. Il semble donc difficile d'interpréter les propos du ministre autrement qu'en réponse à cette remarque. Interrogé par « Sud Ouest », Marie Aphatie affirme qu'elle n'a jamais employé ces mots et continue à parler de montage. La vidéo et les faits montrent pourtant le contraire. Il va probablement être difficile, pour Brice Hortefeux et la responsable de l'UMP des Landes, de conserver longtemps cette ligne de défense.


En bonus, le soutien en bois d'Amine Benalia-Brouch ET SURTOUT le verbatim de l'échange au coeur de la polémique de la rentrée!

Amine Benalia-Brouch : « Un coup monté »
Amine Benalia-Brouch.()
Amine Benalia-Brouch.()

« Sud Ouest ». Comment vivez-vous cette tempête médiatique qui s'est abattue sur vous jeudi soir ?

Amine Benalia-Brouch. Je la vis bien, à part que je trouve que c'est une polémique qui n'a pas lieu d'être. Il y a des sujets bien plus importants en ce moment en France qu'une vidéo sur Brice Hortefeux et moi-même.

Dans la vidéo mise en ligne, Brice Hortefeux déclare : « Il ne correspond pas au prototype ». Est-ce une allusion à vos origines ? Ou a-t-on mal compris ?

Je pense que ça a été mal perçu et mal compris parce qu'il devait y avoir quatre ou cinq discours qui se tenaient en même temps dans la foule. Or, on entendait bien Brice Hortefeux parce qu'il était à côté de ce monsieur qui prenait cette vidéo, mais bizarrement mes propos à moi on ne les entend pas. Et pourtant je n'ai fait que parler.

Et vous, comment comprenez-vous ce terme « prototype » ?

Il répondait à une autre personne. Il ne me parlait pas à moi. Je ne connais pas les discours périphériques qu'il y avait autour. On ne peut pas se permettre de dire que c'était par rapport à mes origines, parce que sinon ce serait prendre parti et on ne peut pas non plus lui mettre toute la faute dessus.

Toujours sur la vidéo, on entend Brice Hortefeux déclarer : « S'il y en a un, ça va, c'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes. » Là encore, il s'agirait d'une mauvaise interprétation ?

C'est ça. Je l'avais dit directement au « Monde » après la mise en ligne de cette vidéo qui a fait le buzz : il parlait des photos parce que quand je me suis mis entre les deux (NDLR : Brice Hortefeux et Jean-François Copé) j'ai demandé : « Bon on peut faire une photo. » Et il m'a dit : « Quand il y en a un, ça va, mais quand il y en a plusieurs c'est là où ça va moins bien... » Parce qu'il venait juste de faire des photos avec des Auvergnats et il était pressé de s'en aller.

On entend très clairement la phrase : « Il mange du cochon et il boit de la bière. » Là, il est clair qu'on parle de vous et que c'est une allusion directe à vos origines ?

Mais est-ce que c'est M. Brice Hortefeux qui a tenu ce propos ? Non. Donc, partout en France, on essaie de lui faire tenir des propos qu'il n'a pas tenus. Voilà pourquoi la polémique est née. Ce n'est pas M. Brice Hortefeux qui a tenu ces propos.

Qui les a tenus alors ?

Je ne sais pas. Je ne peux pas vous dire.

On croit reconnaître la voix de la secrétaire départementale de l'UMP.

On croit, mais je ne pense pas que ça soit sa voix parce qu'elle ne m'a jamais manqué de respect.

Pour vous, est-ce que tout ça est un coup monté ?

Oui. C'est ce que je dis depuis le début. Oui, c'est un coup monté pour créer cette polémique. Et du coup, on oublie tous les sujets essentiels qu'il y a en France.


Verbatim de l'échange filmé

Voici le verbatim, publié par « Le Monde », à l'origine de l'information, de la vidéo dans laquelle le ministre de l'Intérieur fait une réflexion équivoque sur un jeune militant UMP. La scène met en présence des militants UMP, dont un jeune homme appelé Amine, qui se fait prendre en photo avec Jean-François Copé, chef de file des députés UMP, et le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux.

Jean-François Copé (JFC) : « N'oubliez jamais un truc, il est auvergnat.

Brice Hortefeux (BH) : Je suis auvergnat.

JFC : Il est auvergnat, c'est un drame, c'est un drame.

BH :... enfin bon, je vais faire une exception.

Jeune militant (Amine Benalia-Brouch) : mais je me mets entre les deux.

BH : Voilà, entre les deux.

JFC : Oui... il n'y a aucun problème.

Des participants : Amine, Amine...

Un participant : Ah ça, Amine, c'est l'intégration, ça, c'est l'intégration.

Une participante : Amine, franchement...

BH : Il est beaucoup plus grand que nous en plus (à propos du jeune homme).

Un autre participant : Lui, il parle arabe.

(Rires de l'assemblée)

JFC : Ne vous laissez pas impressionner, ce sont des socialistes infiltrés.

Une participante : Il est catholique, il mange du cochon et il boit de la bière.

Amine Benalia-Brouch : Ben oui.

BH : Ah mais ça ne va pas du tout, alors, il ne correspond pas du tout au prototype, alors. C'est pas du tout ça.

(Rires de l'assemblée, dont Jean-François Copé)

Marie Aphatie : C'est notre petit Arabe.

BH :... Il en faut toujours un. Quand il y en a un, ça va. C'est quand il y en a beaucoup qu'il y a des problèmes. Allez, bon courage. »

Auteur : Bruno Béziat
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26 août 2009 3 26 /08 /août /2009 23:20
Centre Presse, vers la mi-mai 1979.

La Twingo que l'on connait est un long projet de Renault qui a trainé durant très longtemps dans les bureaux de la marque au losange, à partir de la grande époque de la R5, c'est-a-dire vers 1972.
Cette R2 ne restera finalement qu'à l'état de projet. A la fin des années 1980, les choses repartiront de l'avant, et aboutiront à la présentation de la Twingo lors du Mondial de l'Auto 1992 à Paris.
Révolutionnaire par son style, elle devint la vedette du Salon: Cocorico! Ce véhicule de moins d'une tonne existe uniquement en modèle 3 portes; par ailleurs, elle va devenir l'incarnation parfaite de la citadine, surtout dans les grandes villes encombrées d'auto, avec ses 3,43m de longueur, sa largeur de 1,63m et sa hauteur de 1,42m.
Rapidement cette auto va devenir un grand succès de la firme au losange, subissant un petit restylage en 1998 et un chagement de modèle en 2007, après, comme le veut la formule, 14 ans de bons et loyaux services. Durant de nombreuses années, Peugeot et Citroen vont laisser le monopole de la mini-citadine à Renault, avant de lancer il y a peu de temps la 107 et la C1. Ford, vers 1998, avait répliqué à Renault en lançant la KA.
Lors de son lancement en 1992, la Twingo coutait 55.000 Francs, ce qui représente de nos jours 10450€. Les Twingo neuves en 2009 valent chez Renault, pour l'entrée de gamme, 7990€.

En bonus vidéo, deux anciennes pub pour la Twingo, dont la toute première (1994) de la petite citadine.


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25 août 2009 2 25 /08 /août /2009 09:57
Chaque année, une carte new look, plus chère
et avec de moins en moins de pixels...

Ma carte Vitalis Pass'Jeune 2009-2010, photo d'identité datant de l'été 2008.

Pour cette année, la carte de bus du jeune coute la modique somme de 185,80€., soit l'équivalent de 1218,76F. Allez-y maintenant avant que le flot de jeunes et autres ne gens ne viennent inonder les guichets de Vitalis: ceci vous évitera de contribuer au marronier de la rentrée, rue du Chaudron d'Or, à savoir la queue de Vitalis.

Lundi 1 er Septembre 2008, vers 14H15 devant Vitalis.
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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

http://images.forum-auto.com/mesimages/518416/vignette81B.jpg

http://images.forum-auto.com/mesimages/64646/80.JPG
http://www.forum-auto.com/uploads/200511/vignet_1133117787_1979.jpg

http://www.forum-auto.com/uploads/200504/vignet_1114629809_78fa.jpg
http://www.forum-auto.com/uploads/200512/vignet_1133556357_77.jpg