24 avril 2008
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Ces photos constituent une première salve des faits qui se sont déroulées dans la capitale pictave, le jeudi 24 avril 2008: un manifestation de 350 personnes environ, l'invasion de la Fac SHA ex pharma et de la gare, usage de la lacrymo, une interpellation et un sit-in devant le commisariat de police.
Invasion express de la fac de SHA ex-pharma, lors d'un jeudi de cours banalisé.
Le cortège sur le Boulevard du Grand Cerf. Avec cette image, les bons yeux peuvent jouer à "Qui est où?", un "Où est Charlie?" revu et corrigé.
Les ouvriers du chantier de la Gare, observant les évènements.
La BAC, opérant une surveillance..éloignée.
Pour la première fois depuis un bon bout de temps, les voies de la gare sont occupées, perturbant le trafic ferroviaire.
Un manifestant...pencarte en berne.Enormément de bouchons sur les rails: le TGV de 15H57 accuse à 16H03 un retard de...50 minutes.
Et puis à 16H20, les hostilités commencent: la police, qui n'avait pas fait le déplacement en mode "Comité d'accueil pour Didier Porte" est plus que généreuse sur la lacrymo. Le gazage est long et important si bien que la foule évacue les quais quelques secondes plus tard, pour respirer un air moins impur. Scène étrange que de voir des gens de tout milieux et de toutes origines sociales effectuer le même geste, cherchant désespérément à trouver une issue.
Invasion express de la fac de SHA ex-pharma, lors d'un jeudi de cours banalisé.
Le cortège sur le Boulevard du Grand Cerf. Avec cette image, les bons yeux peuvent jouer à "Qui est où?", un "Où est Charlie?" revu et corrigé.
Les ouvriers du chantier de la Gare, observant les évènements.
La BAC, opérant une surveillance..éloignée.
Pour la première fois depuis un bon bout de temps, les voies de la gare sont occupées, perturbant le trafic ferroviaire.
Un manifestant...pencarte en berne.Enormément de bouchons sur les rails: le TGV de 15H57 accuse à 16H03 un retard de...50 minutes.
Et puis à 16H20, les hostilités commencent: la police, qui n'avait pas fait le déplacement en mode "Comité d'accueil pour Didier Porte" est plus que généreuse sur la lacrymo. Le gazage est long et important si bien que la foule évacue les quais quelques secondes plus tard, pour respirer un air moins impur. Scène étrange que de voir des gens de tout milieux et de toutes origines sociales effectuer le même geste, cherchant désespérément à trouver une issue.