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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
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Le Pourquoipaspédia

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Les Dossiers D'antan...

3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 08:23

Marianne-et-Elysee-1981.JPG

La Nouvelle République, Samedi 25 Avril 1981.

 

Dans moins de 20 jours aura lieu le premier tour de l'élection présidentielle. Elle est inscrite dans la Constitution depuis la révision constitutionnelle de 1962 (à la suite du référendum voulu par le Général de Gaulle), peu en vogue dans les démocraties d'Europe de l'Ouest (hormis le Portugal).

La première présidentielle a eu lieu en 1965. En 2012, c'est le neuvième scrutin présidentiel qui a lieu. Cela reste encore le scrutin le plus populaire, de par les taux de participation enregistrés.

Voici quelques chiffres (uniquement pour le premier tour) qui retracent l'histoire de cette élection qui est désormais déterminante sur la vie politique de notre pays.

 

La plus grande participation: 84,75% le 5 Décembre 1965. Soit 4.410.465 abstentionnistes.

 

La plus forte abstention: 28,40% le 21 Avril 2002.Soit 11.658.956 personnes.

 

Le plus fort vainqueur d'un premier tour: Nicolas Sarkozy le 22 Avril 2007 (11.448.663 voix). Devant François Mitterrand en 1974 (11.044.373) et Charles de Gaulle (10.828.523). En pourcentage, c'est le Général de Gaulle qui réalise le meilleur score (44,65%), devant Georges Pompidou en 1969 (44,47%) et François Mitterrand en 1974 (43,25%).

 

Le plus petit vainqueur d'un premier tour: Jacques Chirac le 21 Avril 2002 avec 5.665.855 voix (19,88% des suffrages).

 

Le meilleur second: Ségolène Royal le 22 Avril 2007 avec 9.500.112 voix (25,87%). En termes de pourcentage, c'est Giscard, en 1974, qui obtient le meilleur résultat (32,60%).

 

Le plus petit second: Jean-Marie Le Pen avec 4.804.713 voix (16,86%) en 2002. Il devance Alain Poher (5.268.651 le 1er Juin 1969) en termes de voix, et Jacques Chirac sur le pourcentage (19,88% en 2002).

 

L'élection avec le plus grand nombre de candidats: en 2002, 16 candidats (Gluckstein, Besancenot, Taubira, Laguiller, Mamère, Hue, Jospin, Chevènement, Boutin, Chirac, Bayrou, Saint-Josse, Madelin, Mégret, Le Pen et Lepage). C'est paradoxalement l'élection où le plus de candidats étaient présents qui a vu le plus fort taux d'abstention jamais réalisé pour une présidentielle sous la Vème République.

 

L'élection avec le plus petit nombre de candidat: en 1965, 6 candidats (De Gaulle, Mitterrand, Lecanuet, Tixier-Vignancourt, Marcilhacy et Barbu).

 

La plus petite "lanterne rouge*": Guy Héraud, le 5 Mai 1974, avec 19255 suffrages (0,08% des voix).

 

La plus grosse "lanterne rouge": Huguette Bouchardeau le 26 Avril 1981 avec 321.353 voix (1,11%).

 

Le plus grand nombre de tentatives: 6. Arlette Laguiller, en 1974, 1981, 1988, 1995, 2002 et 2007. C'est en 2002 qu'elle réalise son meilleur score (1.630.045 voix, 5,72%). Et en 2007 son plus médiocre résultat: 487.857 (1,33%).

 

Le plus grand nombre de bulletins "Nuls": le 21 Avril 2002 avec 997.262 votes nuls. Soit 3,38% des votants. En France, ce vote n'est comptabilisé que dans la catégorie "participation".

 

Le plus petit nombre de bulletins "Nuls" le 5 Mai 1974, 237.107 votes nuls. Soit 0,92% des votants.

 

Quelques brefs constats:bien qu'étant l'alpha et l'oméga de la vie politique française, une tendance se dégage: l'élection présidentielle séduit de moins en moins. Hormis l'heureux accident de 2007 (83,77% de participation), une tendance à la hausse de l'abstention se dégage depuis 1988. Les premiers chiffres indiquent, hélas, qu'elle se situera environ entre 25 et 30%.

Par ailleurs, une extrême diversité de candidatures ne favorise pas la participation, la preuve par les faits en 2002. Pour autant, il est difficile de croire aujourd'hui qu'un nombre minime de candidats, comme en 1965, permettrait à nouveau d'avoir une forte participation.

Enfin, même s'il est fondamental de basculer en têteau premier tour, cela ne constitue pas une garantie de victoire finale. Ainsi en ont fait l'expérience Mitterrand en 1974, et Giscard en 1981. Le premier tour sert à rassembler, le second à élargir. Mais tout dépend au final des fameuses "réserves de voix" dont personne n'ose se dire "propriètaire" sans au fond véritablement le penser...

 

NB: les pourcentages ici fournis sont proposés en tant que "suffrages exprimés".

*: la lanterne rouge désigne en cyclisme, et plus particulièrement dans le Tour de France, le dernier du classement général.

 

Source: france-politique.fr

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 08:50

SAVIEM SC10-U PF 244D: 1978 -2002

Un grand merci à Poitiers.transbus.org

Bus-plate-forme-a-Poitiers-1979.JPGEn Une de Centre Presse, Mi-Avril 1978.

Un bus à plate-forme SAVIEM utilisé dans le cadre d'une manifestation en faveur du Burkina-Faso, Poitiers, le 16 Mai 2002.

Source: http://poitiers.transbus.org/dossier_reforme.html

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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 08:46

Starring Joakim Noah, Nicolas Batum,...

 


 
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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 08:02

LOGO NR JUIN 1980

Le sang d'un président

 

Le président Reagan a la baraka. Après deux semaines d'hôpital et "quelques mois"  de convalescence, il devrait être complètement rétabli.

Son courage tranquille, sa crânerie, son humour autant que sa résistance physique - qui ne pouvait être mieux prouvée - devraient finir de réconcilier le peuple américain avec la fonction présidentielle si décriée depuis Watergate. M. Reagan n'était qu'un cow-boy de cinéma, mais il a su montrer qu'il était un homme de caractère en qui les Américains se retrouvent sublimés.

M. Giscard d'Estaing venait de regretter que les journalistes qui suivent ses pas l'empêchent de se mêler à la foule. C'est pourtant grâce aux journalistes qui entouraient M. Reagan - aussitôt relayés par les télévisions et radios du globe - que le monde a pu suivre le drame à mesure de son déroulement aussi bien que s'il était outre-Atlantique.

Non par curiosité morbide. Mais comme citoyen d'un monde où les Etats-Unis sont une superpuissance et leur président le deux ex machina du monde libre.

Instant après instant, se révèlèrent les rouages du mécanisme prévu pour qu'à aucun moment le géant américain ne soit privé de ses organes de direction. Le président était à l'hôpital mais s'y présentait debout, conscient, ayant à proximité la mallette contenant la "clé" de l'arme atomique. Le vice-président Bush était au loin dans le Sud. Il rentrait par le premier avion. Durant ce temps, le secrétaire d'Etat Haig veillait à la Maison-Blanche. On devinait dans l'ombre d'autres personnalités hierarchiquement prêtes si nécessaire à prendre le relais.

Aucune panique, aucune parenthèse qui puisse autoriser une attaque surprise ou une aventure intérieure contre la démocratie américaine.

Avant l'attentat, le monde s'inquiétait pour la Pologne fourbissait des menaces, des ripostes et se posait de sérieuses questions sur la réalité de la détente et de la paix.

Quelques coups de feu tirés par un détraqué faisaient l'effet d'un électro-choc. De toutes les capitales, notamment du Kremlin, partaient des flots d'indignation contre un acte criminel et des messages de voeux au président Reagan.

C'était comme si tout à coup chefs d'Etat, diplomates, militaires et peuples de tous pays se rendaient compte que leurs politiques, leurs calculs, leurs rêves d'expansionnisme, de nationalisme, de militarisme, n'étaient pas que des concepts abstraits, des statistiques des budgets, des dossiers froids. La politique, c'est aussi et même avant tout les hommes.

Puisse le sang versé par le président américain pour rappelé les horreurs de la violence et de l'intolérance, avoir la vertu d'éviter que beaucoup d'autre coule.

 

Michel GUERIN

 

Une-NR-1er-avril-1981-ROC-REAGAN.JPG 

Une-NR-1-avril-1981.JPG

Un garçon insignifiant, dont ses relations ne gardent que peu de souvenirs mais atteint de problèmes psychologiques certains: tel est John Warnock Hinckley l'auteur de l'attentat contre le président Reagan.  Ce fils de bonne famille, ancien membre d'un mouvement néo-nazi s'est glissé dans un groupe de journalistes pour attendre la sortie du président américain. Il a eu le temps de tirer six fois, de toucher quatre personnes avant de recevoir la meute des agents secrets sur lui en formant ainsi cette tragique mêlée au milieu de hurlements et d'une confusion extraordinaire. Mais déjà la limousine du président fonçait ver l'hôpital Georges-Washington. (Photo U.P.I. et A.P.)

 

Bonne-sante-de-Reagan.JPGPortrait-de-John-Hincley.JPG

 

La-scene-de-l-attentat-Reagan-1981.JPG  

"On ne peut pas réagir plus vite qu'une balle"
La-securite-aux-USA-et-malediction-annee-en-zero.JPG 

La Nouvelle République, Mercredi 1 er Avril 1981.

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 10:22

LOGO NR JUIN 1980

Une-NR-attentat-reagan-1981.JPG

Quelques secondes après les coups de feu, deux agents des services secrets entraînent le président Ronald Reagan dans la Limousine blindée qui filera vers l'hôpital (photo du haut). Das un premier temps, on avait annoncé que le président n'était pas blessé, mais très vitre on devait apprendre qu'il avait reçu une balle dans le poumon gauche. Dans les secondes qui ont suivi les coups de feu, et qui ont été filmées par une télévision, une extrême confusion a marqué la scène de l'attentat. On a vu des agents de la sécurité, arme dégaînée, courir en hurlant des ordres. plusieurs policiers se sont littéralement jetés sur l'assaillant, qui a disparu sous eux (photo du bas). (A.P et U.P.I.)

 

ATTENTAT CONTRE REAGAN

 

Le président touché au poumon

Trois autres personnes blessées

 

Le président Ronald Reagan a été touché au côté gauche par une balle tirée contre lui hier soir à Washington.

Le président, 70 ans, se trouvait à l'hôpital, conscient et dans un état "stationnaire" avec sa femme à  ses côtés une heure après l'attentat.

Il était environ 14H30 locales lorsque M. Reagan, qui sortait d'un grand hôtel de Washington où il venait de prononcer un discours devant les syndicalistes, a été pris pour cible, à trois ou quatre mètres de distance, par un homme blanc.

Entre quatre et six coups de feu ont claqué. En l'espace de trois secondes, le président était poussé dans sa limousine noire par les agents de la sécurité, tandis que trois blessés s'effondraient à quelques pas de M. Reagan sur le trottoir.

Le poumon gauche du président Reagan a été touché par une balle qui l'a blessé, a indiqué un médecin de l'hôpital George Washington.

L'auteur de l'attentat contre le président Reagan s'appelle John Warnock Hinckley, a annoncé le service secret de la Maison-Blanche. Il est âgé de 22 ans et il est originaire d'Evergreen, dans le Colorado.

Selon un caméramen qui se trouvait à proximité, l'assaillant a tiré à un peu plus de trois mètre de M. Reagan. M. Brady, le porte-parole de R. Reagan, a été touché au front.

L'examen d'une bande vidéo tournée pendant la scène montre M. Brady étendu sur le sol à quelques mètres de l'entrée de l'hôtel. Il a du sang près de sa tête.

Le vice-président George Bush, qui se trouvait au Texas, a pris l'avion pour rentrer d'urgence à Washington. Ala Maison-Blanche, des membres du personnel ont pleuré en apprenant l'attentat.

Dans les secondes qui ont suivi les coups de feu et qui ont été filmés par la télévision une extrême confusion a marqué la scène de l'attentat. On a vu des agents de la sécurité, arme dégaînée, courir en hurlant des ordres.

Plusieurs policiers se sont littéraleemnt jetés sur l'assaillant, qui a disparu sous eux.

Selon les premières informations, provenant du proche collaborateurs du président américain, un agent des services de renseignements et un policier ont également été atteints.

Le président Reagan est sorti de la salle d'opération sans que la balle ait été extraite de son poumon gauche.

L'hémorragie que sa blessure avait provoquée a été stoppée. Les médecins ont toutefois préféré pour l'instant  laisser la balle dans le poumon pour ne pas risquer d'aggraver son état. L'intervention chirurgicale a duré environ une heure et demie.

Les médecins traitant le président ont décrit son état comme "bon". Selon eux, "rien n'indique que le coeur ait été touché".

Alors que les médecins commençaient à opérer le président Reagan, vers 23H15, on apprenait que l'état de santé de M. James Brady, son secrétaire de presse, était considéré comme "extrêmement sérieux".

Dans un premier temps, sa mort fut annoncée puis cette information fut démentie.

 

La Nouvelle République, Mardi 31 Mars 1981.

 

IT1 NUIT

Lundi 30 Mars 1981

Présentation Jean-Marie Cavada

Commentaire Dominique Bromberger

Un direct...décalé d'environ une heure.

 

Antenne 2, 20H
PPDA
Mardi 31 Mars 1981
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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 09:36

Coup d'Etat militaire, un grand bond en arrière

Un groupe de soldats mutins s'est emparé du pouvoir au Mali dans la soirée du 21 mars. Ils ont decrété le couvre-feu et fermé les frontières. Le président renversé Amadou Toumani Touré est en fuite.

 

22.03.2012 | Ouestaf News | Ouestaf.com

 

L’annonce du coup d’Etat militaire dans la nuit du 21 au 22 mars 2012 contre le régime du président malien Amadou Toumani Touré a plongé les Maliens dans la tristesse, l'incompréhension ou l'émoi. Ce coup d’Etat, annoncé à la télévision publique malienne par des militaires, a été l’aboutissement d’une journée agitée pendant laquelle on a d’abord évoqué une "mutinerie" de soldats mécontents de l'état de l’armée malienne. Depuis quelque mois, les militaires font face, "sans moyens" selon les "mutins", à une rébellion armée dans la partie nord du pays.

Le coup d’Etat, annoncé et revendiqué par un Comité national pour le redressement de la démocratie et la restauration de l'Etat (CNDRE), survient à un mois et demi de la présidentielle (29 avril). Et met fin à un long processus démocratique entamé il y a plus de deux décennies. "C‘est triste", a affirmé un habitant de la capitale dans un SMS envoyé à un journaliste d'Ouestafnews. Sur les réseaux sociaux, le même sentiment de tristesse et d’incompréhension s'exprime au sujet de ce que certains qualifient d’impasse. "C’est la honte", a commenté Hamane Touré sur Facebook, tôt dans la matinée du 22 mars. Dans un échange électronique "live" avec la rédaction d'Ouestafnews, M. Touré, qui réside dans la capitale malienne, affirme que des "coups de fusil retentissaient toujours en ville", avant de préciser qu’il reste "cloîtré" chez lui, comme la plupart des Bamakois.

Ce coup de force, s’il réussit, ramène le Mali près de vingt ans en arrière, alors que le pays nourrissait l’espoir d’avoir solidement assis sa démocratie et qu'il avait acquis le statut de chouchou des puissances occidentales en matière d’avancées démocratiques. Le président Amadou Toumani Touré, dont le second et dernier mandat arrive à terme, avait à maintes reprises réitéré son intention de ne pas se présenter à la prochaine présidentielle. Il espérait ainsi permettre une nouvelle alternance au sommet de l'Etat, comme le pays en a déjà connu dans le passé.

Enfin, ce putsch vient confirmer la thèse avancée depuis des mois par plusieurs analystes : la chute de l’ex-leader libyen Muammar Kadhafi aura des conséquences néfastes sur la sécurité et la stabilité de l’ensemble des pays de la région du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest. Selon ces analystes, beaucoup d’armes et de combattants ayant servi sous Kadhafi ont traversé les frontières au moment de la chute de son régime.

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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 09:54

L'invention involontaire du "bar-drive"?

Auto-ecole-sur-la-terrasse-du-bar.JPGLa Nouvelle République, début Juillet 1961.

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 09:19

Starring Bruno Salomone et Manu Joucla

 

 


 
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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

http://images.forum-auto.com/mesimages/518416/vignette81B.jpg

http://images.forum-auto.com/mesimages/64646/80.JPG
http://www.forum-auto.com/uploads/200511/vignet_1133117787_1979.jpg

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