Jeudi 12 Janvier 2012: encore 1829 jours à attendre!
Mais J-3 avant l'Euro 2012 de Handball en Serbie!
Pris sur le site de la fédération française de handball, Dimanche 8 Janvier 2012.
En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!
Jeudi 12 Janvier 2012: encore 1829 jours à attendre!
Mais J-3 avant l'Euro 2012 de Handball en Serbie!
Pris sur le site de la fédération française de handball, Dimanche 8 Janvier 2012.
Les tenants du titre vont devoir relever un nouveau défi intense en Serbie à quelques mois des Jeux Olympiques!
Messieurs les Experts, continuez de nous faire rêver!
Claude Onesta, Espelette, Dimanche 30 Octobre 2011, vers 13H30. Après la Bénédiction des Piments d'Espelette, il a reçu le Prix du Piment 2011 (la médaille).
Voici la sélection rendue publique par le sélectionneur national Claude Onesta en Décembre 2011 dans la perspective de l'Euro 2012 qui se déroule en Serbie.
Gardiens : Thierry Omeyer, Daouda Karaboué, Cyril Dumoulin
Arrières : Nikola Karabatic, Daniel Narcisse, Jérôme Fernandez, Guillaume Gille, Sébastien Bosquet, William Accambray, Xavier Barachet, Kévynn Nyokas.
Ailiers : Samuel Honrubia, Michaël Guigou, Guillaume Joli, Luc Abalo, Arnaud Bingo
Pivots : Bertrand Gille, Didier Dinart, Cédric Sorhaindo, Grégoire Detrez.
Cependant, le samedi 7 janvier, nous avons appris le forfait de Samuel Honrubia pour la compétition.
Les matchs du 1er tour:
France - Espagne (Lundi 16 Janvier 18H15)
Russie - France (Mercredi 18 Janvier 18H15)
France -Hongrie (Vendredi 20 Janvier 20H15)
Règlement: les trois premiers sont qualifiés pour la poule suivante et conservent leurs points. La dernières équipe est éliminée de la compétition.
Par ailleurs, le vainqueur de la compétition sera automatiquement qualifié pour les J.O. 2012 (la France l'est déjà) ainsi que pour l'Euro 2014 au Danemark.
En 2010, alors que l'équipe de France avait remporté le Mondial 2009, l'équipe de France démarre en douceur, en finissant seconde de sa poule (nuls contre l'Espagne, la Hongrie, victoire contre la République Tchèque).
Au second tour, la France a pris la première de la poule, après avoir dominé l'Allemagne, la Slovénie et la Pologne.
En demi-finales, la France élimine l'Islande (36-28), son adversaire de la finale des J.O. de Pékin de 2008.
En finale, la France avait vaincu la Croatie (ah, Vori, Balic,...la caresse croate), sur le score de 25 à 21, tout comme lors de la finale du Mondial 2009...en Croatie (24-19).
Il est évident, qu'une finale France - Croatie serait idéale. D'une part car la France est toujours la meilleure équipe de hand du monde, et d'autres part, la Croatie a soif de vengeance contre les Experts. Par ailleurs, en pareille circonstance, il serait interressant de voir de quel côté va pencher le coeur des supporters serbes
Mais que l'on ne s'y trompe pas: toutes les grosses nations européennes (et on peut affirmer que ce sont les meilleures du monde) sont là: Allemagne, Danemark, Suède, Norvège, Islande, Croatie: bref, ils sont tous là pour deux semaines de compétition de très haut niveau.
04/12/2011
Capture d'écran sur Youtube, Mardi 25 Octobre 2011, 0H30.
Alors que je me préparais à aller me coucher, j'ai eu la malheureuse curiosité de voir ce que je n'aurais pas du voir. Une simple vidéo revenant sur la pénalité de Stephen Donald, celle qui, "marquée" à la 45ème minute, permit aux Blacks de compter 8 points (la France était encore à zéro jusqu'à l'essai de l'Héroïque Dussautoir à la 47ème), et de s'imposer avec ce même nombre de points.
Cette vidéo est de bonne qualité, et j'espère que vous pouvez encore la voir. Je l'ai visionnée des dizaines de fois, et surtout l'instant crucial, à savoir quand le ballon franchit les poteaux. Ou plutot les contourne. Car en effet, l'arrêt sur image ci-dessus est le moment (la 42ème seconde) où, et cela j'en sui sûr, le ballon passe...derrière le poteau. Ce qui veut dire que la pénalité n'est pas inscrite. Et je m'engage à penser cela, à le diffuser tant que je pourrais, tant que l'on ne nous aura pas apporté la preuve irréfutable que cette frappe est bien passée entre les barres. Et à ce moment là, et pas avant, je ferais mon mea-culpa. D'ailleurs, il n'y a pas eu de ralenti, ni de vision sous un autre angle. (j'en profite pour affirmer que la réalisation télé du match était d'une qualité plus que médiocre, à commencer par le haka, et son contre par les Français).
Alors si elle ne passe pas, les Blacks n'ont que 5 points. Mais en aucun cas je n'affirmerai que la France allait gagner à coup sûr. Car c'est tout le court du match qui s'en trouve modifié. A commencer par un renvoi aux 22 plutot qu'un engagement. Cette erreur a tout changé.
Non, il n'y a pas de complot!
Je ne crie pas au complot, cela est idiot, bien que mon avis soit mitigé sur l'arbitrage de Monsieur Joubert. J'accepte la victoire néo-zélandaise: c'était la meilleure équipe de la compétition, mais pas de la finale. Et si on veut procéder comme cela, pour désigner un vainqueur c'est un systême de notation qu'il faut mettre en place. Le monde entier du rugby était contre les Bleus, finalistes par hasard. Mais qui a sorti le grand match à ce moment là, et n'en fut hélas point récompensé. Et le "beau et noble rugby" des néo-zed sur ce match me fait rigoler: faire 4 minutes de pick and go en fin de renctontre digne d'un petit match de Top 14 pour assurer sa victoire, ce n'était pas ce que l'on était en droit d'attendre des favoris de la finale, du Mondial. Toujours est-il que c'est grâce à une erreur d'appréciation que la Nouvelle-Zélande a remporté sa seconde Coupe du Monde, après celle de 1987.
Alors, peut-être peut on considérer ce coup du destin comme une vengeance? Car il ne faut pas oublier que nous avons éliminé ces Blacks en 2007 grâce à un essai marqué avec un gros en avant. 4 ans après, la facture est dure à payer. Et l'enjeu était davantage plus élevé ce 23 Octobre 2011: nous étions en finale, et non en quart comme ce 6 Octobre 2007 à Cardiff.
La victoire des Blacks est entérinée. Mais à tout jamais, elle sera entâchée du doute, le même que celui qui pèse contre l'Angleterre sur sa victoire en finale de Coupe du Monde de football en 1966 contre la RFA (on ne sait pas si le ballon a franchi ligne). Pour les Bleus, il est clair à mon sens que ce match figure déjà dans l'anthologie de l'Histoire du XV de France.
La gloire plutôt que la victoire. Un jour, lorsque l'on retrouvera les Blacks en finale, nos vaillants et courageux Bleus s'en souviendront. Que ce soit dans 4 ou dans 40 ans. L'Histoire de la Coupe du Monde n'est pas finie. Elle ne fait que commencer.
Victoire des All Blacks à domicile, chose qui n'arrivera pas cette année, du moins je l'espère!
2011
Je ne sais vraiment quoi penser de ce XV de France cuvée 2011. Et les amateurs de rugby aussi. En effet, à la suite de la victoire miraculeuse contre le Pays de Galles, les avis étaient mitigés, entre ceux qui pensaient que la France n'avait pas sa place en finale (mais qui la regarderont quand même) et ceux pour qui seul le résultat compte.
Des matchs de poule très moyen, une victoire contre une Angleterre maladroite et dilettante (mais battre l'Anglais au rugby est toujours une source de plaisir), et une demie-finale où les faits de jeu ont volé au secours du XV du Coq, et voilà que se dresse devant nous les impitoyables et assoiffés de vengeance, les All Blacks de Graham Henry, qui lui comme ses joueurs, n'ont pas digéré la défaite de 2007 aidée par un essai inscrit grâce à une passe reçue par Michalak, passeur décisif, tâchée d'une gros en-avant.
Coté néo-zed, bonne entente, décontraction et foutage de gueule contre la France. Côté frenchie, mésentente, querelle, et rivalité avec les journaleux. A chacun sa recette. Mais lorsque dans l'Hexagone résonneront les 12 coups de midi, l'un des deux aura eu raison.
Mais ce XV de France est imprévisible. Mais pas favori. La meilleure chance des Bleus en somme. Il est vrai qu'avec la pancarte de "looser chanceux" qui colle au dos de troupes de Mac Liévremont, tout est possible (bon OK on ne leur mettra pas 80 pions non plus). Cependant, on a pu constater des faiblesses du côté du buteur néo-zed, Weepu, manquant des pénalités "passables" contre l'Australie. Et contre les Blacks, les stats sont en faveur...des Bleus, en Coupe du Monde, cela s'entend. Oui la France a perdu la finale de 87, mais a su battre par deux fois l'ogre de l'hémisphère sud, bien entendu avec le mémorable match de 99 (43-31, la France étant menée 17-10 à la pause) et en 2007, lors du quart de finale du mondial français, qui se déroulait...à Cardiff.
En 1987, les Bleus avaient réalisé leur exploit en battant 30 à 24 les Wallabies. Parmi eux, quelques noms connus: Denis Charvet, Philippe Sella, Patrice Lagisquet, Pierre Berbizier, Didier Cambérabéro, Daniel Dubroca, sans oublier le meilleur arrière du rugby français de tous les temps, Serge Blanco. Epuisés contre les Blacks, ils avaient tenu le coup en 1ère mi-temps avant de craquer, et de sauver l'honneur par l'intermédiaire de Pierre Berbizier. Par ailleurs, le score aurait été plus élevé si à l'époque, l'essai aurait valu 5 et non pas 4 points comme c'était alors en vigueur.
Alors faute d'avoir des bières, dimanche matin je carburerai au café dans un canapé pour soutenir nos joueurs qui seraient capables de faire un coup, pour la der de Marc Liévremont à la tête des Bleus.
Avec tous ces nuages noirs au-dessus de leurs têtes, et face à eux, le contexte est idéal! Allez la France!
Bonus-vidéo: parce que ça fait toujours plaisir, le Haka de 2007, où les Bleus avaient commis le sacrilège de s'approcher des Blacks, annonçant alors une sulfureuse rencontre!
Pour la petite Histoire, ce sera le Sud-Africain Craig Joubert qui arbitrera cette septième finale de Coupe du Monde!
Dessin de Harolc (?), La Nouvelle République, Début Mars 1977.
"PB86: l'aventure partagée", la nouvelle devise du clubMardi 10 Mai 2011, 21H44. Les joueurs rassemblés au milieu du parquet après la victoire contre Hyères-Toulon synonyme de maintien dans l'élite.
30 nouveaux matchs de Pro A qui permettront au PB86 d'atteindre le seuil de 90 rencontres dans l'élite du basket français (en ne tenant pas compte des play-offs 2010): c'est que nous réserve cet exercice 2011/2012 de pro A.
Là encore, rien d'évident, le club devant renforcer ses structures (il est passé d'association sportive à Société Anonyme à Objet Sportif cet été, avec un budget qui se situe entre 2,8 et 2,9 millions d'euros (13ème budget de Pro A), quand les gros tournent à près de 5 millions), la concurrence qui elle aussi s'est renforcée (bien que ce soit le tube de chaque rentrée sportive, mais c'est vrai chaque année), et de nouveaux joueurs à intégrer dans l'équipe pro (JJ Miller, Kevin Harley), et les départs à combler (Guillaume Costentin, Carl Ona Embo et Tommy Gunn).
La première année, nous avions bu champagne (8ème, devant l'ASVEL), et l'an passé, c'était plutot du petit cidre (maintien in extremis, 14ème place, malgré 12 victoires alors que normalement 10 devraient suffire). Quelq objectifs cet année? Deux avoués par le président Alain Baudier et par le reste de l'équipe: le maintien évidemment e prime abord, et aussi, et c'est une petite surprise, une virée en Semaine des As (les 8 premiers des matchs aller y sont conviés).
Pour ma part, je suis plutôt optimiste même si je sais que cette saison réservera des coups de colère (attentisme au rebond, problème à la reprise du 3ème quart temps), des désillusions (je me rappelle le 2 janvier dernier d'une défaite à Strasbourg de un ou deux points sur un shoot dans les dix dernières secondes à la suite d'une balle perdue en touche), mais aussi des joies immenses (victoires contre Cholet, champion 2010, victoire sauve-qui-peut à Châlon sur Saône, mais hélas, pas de derby cette année contre le CSP qui a occupé une place dans le corbillard pour la Pro B en compagnie de Vichy, cramée en janvier, et qui est revenue du diable vauvert échouant de peu aux portes du maintien).
Bref, que de moments intenses à vivre avec le PB86, soit dans nos salles (St Eloi et les Arènes), soit à la radio grâce à la dream team France Bleu Poitou (un régal d'écouter les retransmissions avec Benoit Dujardin chez l'ami Jules), ou encore, en cas de superstition suprême, via les excellents fils rouges de la LNB.
Et puisqu'il faut savoir se mouiller, j'affirme en ce jour de reprise des dribbles, que le PB finira vers la 10 ème place avec entre 12 et 14 victoires au compteur. Et pour la semaine des As, il ne faudra pas attendre aussi longtemps que l'an passé pour lancée la saison (première victoire après 4 maths, contre...les Limougeauds).
ALLEZ POITIERS!
PS: profitez bien de la présence d'Evan Fournier cette année, il y a peu de chances de le revoir l'an prochain. De plus, sachez que l'on ne verra pas Tony Parker à Poitiers: le PB jouera l'ASVEL...le 23 décembre, et il est certain que TP ne fera pas toute la saison dans le club rhodanien. Enfin, j'espère de tout coeur que l'on aura droit aux caméras de Sport +, avec la doublette infernale Cozette/Monclar: "il lui a montré qui c'était Raoul! et autres citations des Tontons flingueurs".
Comme un certain nombre de personnes ce matin, j'ai regardé le match France-Nouvelle Zélande enfin si on pouvait appeler ça un match. En effet, mon prono était que l'on se prendrait 40 pions, et à pas grand-chose près, c'est ce qu'il s'est passé (37-17, 19-3 à la mi-temps).
Les Bleus de Lièvremont inquiètent, et à juste titre. Car contre le Japon, on a pu lire ici et là que la préparation avait été lourde et que les Japonais jouaient leur vatou (47-21). Une semaine plus tard, contre les bûcherons canadiens (46-19), il y avait du mieux, et on parlait d'équipe en rodage.
Et puis vint le temps de la préparation du match contre les Blacks, avec les calculs de petit épicier: en perdant et en finissant second de la poule, on s'ouvrirait un tableau hémisphère nord (Angleterre en quart et ensuite, Irlande ou Pays de Galles). En terminant premier, on rencontrait alors Argentine (notre chat noir), puis ensuite le vainqueur du sulfureux quart à venir Australie Afrique du Sud, les Wallabies étant mes favoris.
Mais les nuages sombrent s'accumulent sur le crâne du XV du Coq. La défaite a laissé des traces: physiques pour certains, mais aussi morales, avec le bricolage de Marc Liévremont décalant Parra de la mêlée à l'ouverture, Yachvili devenant n°9 et Trinh-Duc glissant...vers le banc. Le coaching là aussi a suscité la colère de Traille et de Louis Picamoles. Et enfin, Marc Liévremont, au micro de TF1 de glisser que la France avait perdu "47-17" au lieu de 37-17 (-20 au lieu de -30). Bref, le mélange de tout cela donne à croire que le bateau France n'a plus vraiment de capitaine à son bord: l'entraîneur du XV de France semble à coté de ses pompes, et la Coupe du Monde, qui est un peu la remise finale des devoirs (plan de joueurs, intégration de nouveaux joueurs,...), donne à croire que le travail n'a non pas été bâclé, mais qu'en tout cas, pèse sur lui un certain nombre d'incertitudes, qui à l'avenir (très proches) pourraient s'avérer pénalisantes.
Bien qu'il me semble que le match contre le Tonga permettra à la France d'accéder à un quart de finale sulfureux contre le XV de la Rose, j'ai peur, et plus les jours passent, plus cette idée devient cohérente, que le XV de France n'ai plus que 160 minutes (2 x 80 minutes) à jouer en Nouvelle-Zélande.
Car en effet, les archives sont contre nous: en six coupes du monde, nous avons rencontré trois fois les Anflais en phase finale: 1991, la France s'incline 19-10; 2003: la France s'incline en demie 24-7; 2007: la France s'incline en demie 14-9.
Evidemment, cela ne va pas dans notre sens et rien ne dit à coup sûr que l'on perdra une quatrième fois contre les troupes de la Perfide Albion. Pour cela, il faudra se lever le samedi 8 octobre et regarder la télé à partir de 9H30. Soit pour voir les Bleus faire modifier la destination de leur billet d'avion pour rester une semaine supplémentaire au pays du Long Nuage Blanc, soit pour voir les Bleus embarquer à l'aéroport d'Auckland ou de Wellington direction la France, avec ou sans escale.
RADIO OLD SCHOOL
Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres
perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 (1972)