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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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Les Dossiers D'antan...

11 mars 2009 3 11 /03 /mars /2009 02:03

 

Il arrive souvent à Libé de partir en free-style ou en sucette sur certaines thématiques d'articles. Le 2 mars dernier, le journal de Sartre a récidivé, en se lançant sur un article concernant le poil facial comme expression de...l'antisarkozysme moderne. Ben tiens rien que ça. En 2008 déjà, Libé avait pondu un article sur le grand retour de la moustache, en prenant pour exemples deux trois stars d'Hollywood; Guy Lacombe a du être heureux ce jour là car surnommé Moustache dans le milieu footballistique, en plus d'être à l'UMP ce qui lui permettrait de créer un courant genre "Poil et Libéralisme"...
Bref en lisant cet article, j'ai compris que sans le vouloir, je suis devenu "contestataire" un beau matin d'octobre 2001, en me disant que ce lundi là, je ne me raserai pas le bouc, que depuis
j'ai gardé.
Mais un article de ce type correspond parfaitement à un Edwy Plenel, porteur de moustache et bien portant, ou encore à...ben plus personne médiatiquement parlant vu que tous sont désormais clonés en veste noire chemise blanche sans cravate et bien rasés, Didier Porte et Stéphane Guillon mis à part of course.
Un avantage de ce papier, en plus de m'avoir bien fait marrer, est d'avoir permis de corriger une  erreur grossière de mon vocabulaire: on pogonophobe pour les phobiques du poil, et non pas pilophobe comme je le pensais jusqu'à présent...



 

Vous 02/03/2009 à 06h51
Sarkozy, ton heure est velue

Pilosité. Et si boucs et autres moustaches traduisaient un refus de l’ordre sarkozien ?

 

Que les pogonophobes (non, pas les phobiques de la danse «pois sauteur») se pincent. Franchement pas le moment de faire une allergie aux poils, de fantasmer sur d’imberbes esthètes, et de hurler à sa moitié : «le rasoir, c’est pas que pour les gonzesses». Voici en effet (re)venu le temps des hommes à poils. Des moustachus (avec Brad Pitt en chef de bulbe) depuis un certain temps, des porteurs de boucs (notamment chez les geeks et les footballeurs américains), et comme si cela ne suffisait pas, une armada de barbus hante désormais les rues. En mode super touffue (tendance ours) arborée par des gars mega-costauds dans certains bars gays, ou très tendance, en version gainsbourienne : achhh, Stéphane Guillon et tous ses amis des médias, du ciné, etc.


«Code».Mais pourquoi ? Pourquoi ce regain d’envie du mâle pour ce caractère sexuel secondaire qui se traduit par quelque 500 poils au cm² ? Débroussailler cette importante affaire tient d’une partie de coupe-coupe dans la jungle. En vrac, quelques hypothèses : une chabalmania persistante, un enrobage anticrise, un gros coup de flemmingite quand ça gueule de partout «faut travailler plus, les gars»Libération a très sérieusement posé la question à des scientifiques de renom.

«Difficile de se prononcer en l’absence de visibilité statistique» , bat d’abord en retraite le sociologue Jean-François Amadieu (1). Avant de se lancer : «la moustache a un côté années 30-40. Mauvais garçon. Avec réappropriation de leurs codes par les élites. Peut-être assiste-t-on plus globalement à un retour à la virilité ?»

Autre piste, celle d’un autre confrère sociologue, Jean-Claude Kaufmann (2), aussi connu que sa paire de moustaches. Formel, il balaie une envie de poils baba «nature» façon années 70 : «Les moustaches d’aujourd’hui sont davantage années 30. C’est un peu comme le renouveau de la DS. Il y a aussi la mode de la barbe de trois, quatre jours, alors qu’il y a dix ans, il ne fallait pas un soupçon de poil. C’est un code, une mode, comme le petit pull noir.»

A ce stade, on dégaine le philosophe du corps, professeur à la faculté du sport de l’UHP Nancy-université, Bernard Andrieu (3), qui pratique lui-même, à ses heures, le look pas rasé de près. Et affirme enseigner à des étudiants qui tous «portent une barbichette». Plein d’audace il se lance : «Cela fait penser à ce mouvement de femmes à Lyon en 2004 qui refusaient l’épilation et entendaient ainsi lutter contre les standards industriels de la consommation. Il y a là aussi chez certains, une revendication anticonsumériste. Et un côté respecter le cycle de la nature, l’écologie de la peau.» Pas mal la piste verte.


Follicule. A croire que le poil serait presque une lutte. On ne croit pas si bien dire. «Je crois aussi que c’est une façon de lutter contre le standard de l’imberbe qui fait de nous des clones identitaires. En effet, se raser reste la norme. Et c’est la première chose que l’on fait avant un entretien d’embauche. Le poil est une forme de résistance. A l’esthétique. A une société très uniformisée, coercitive, hyperstandardisée. C’est même peut-être une façon de lutter contre le corps sarkosien, lisse, athlétique, qui veut effacer toutes les aspérités et conflits, sans voir un poil dépasser.»

De là à crier au poil citoyen, il n’y a qu’un follicule. Mais on se calme : «Ceux qui s’autorisent la barbe de trois, quatre jours sont des gens bien intégrés dans l’entreprise qui justement peuvent se permettre de jouer avec la norme.»

 

CATHERINE MALLAVAL


(1) Le Poids des apparences, éd. Odile Jacob, mars 2002, 224 pp. (2) Quand je est un autre, éd. Armand Colin, août 2008, 264 pp. (3) Le dictionnaire du corps avec Gilles Boetsch, éd. CNRS, 2006, 545 pp. et Bronzage, une histoire de la peau et du soleil, éd. CNRS, 2008

 

Photo of 1979 men moustache hairstyleUne moustache 1979 trouvée par hasard sur le net. Ou l'esprit contestataire et anticonformiste à l'état pur.

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7 mars 2009 6 07 /03 /mars /2009 15:41


Les blogs : info ou influence ?
Ils sortent des scoops, commentent l'actualité, tancent les grands de ce monde. Certains les appellent des "journalistes citoyens". D'autres les affublent du surnom moins flatteur de "journalistes en pyjama". Mais personne ne peut les ignorer. Les blogueurs et autres rédacteurs du Web se sont taillé une place au soleil dans le système de l'information. Les entreprises ont vite compris qu'elles ne pouvaient les ignorer.
Des blogs consacrés à Ségolène Royal en avril 2005.AFP/GABRIEL BOUYS.Des blogs consacrés à Ségolène Royal en avril 2005.

"Nous sommes obligés d'en tenir compte, ne serait-ce que pour éviter un buzz négatif sur le Web, souligne Anne Shapiro-Niel, présidente de l'Association des professionnels des relations presse et de la communication. La difficulté, c'est que les règles ne sont pas les mêmes qu'avec les journalistes. Par exemple, nous ne sommes pas assurés d'obtenir un droit de réponse en cas d'erreur." "Les avis sont très partagés et les pratiques très différentes,avoue Cécile Cornet de l'agence C'est dit, c'est écrit. Doit-on envoyer des produits, des livres aux blogueurs, les inviter aux voyages de presse, en sachant qu'il faudra tout payer, car ils ne sont pas défrayés ?"


Dans certains secteurs, les blogueurs jouent un rôle de prescripteurs décisifs. C'est le cas bien sûr pour les jeux vidéo, l'informatique et le high-tech, mais aussi l'alimentation, la cuisine, la décoration, la médecine, la musique, les loisirs au sens large. Les entreprises ont recours à des agences spécialisées de veille sur les blogs. "Les blogueurs compliquent la tâche des services de presse, explique Ludovic Bajar, directeur associé de Human to Human, l'une de ces agences. Leur pratique est fondamentalement différente de celle des journalistes. Ils ne respectent pas les trois piliers du métier que sont la distanciation, l'objectivation et le recoupement des sources. Ils sont dans une subjectivité totale par rapport à leur sujet. Ils vivent leur activité comme une passion. Ils se racontent. Lorsqu'un blogueur arrive à une conférence de presse, la première chose qu'il fait est de se prendre en photo ou de se faire photographier..."


Les institutions ont appris à composer avec ces nouveaux commentateurs de la vie publique. Pour la rencontre entre Barack Obama et Nicolas Sarkozy, en juillet 2008, l'Elysée avait accrédité une dizaine de blogueurs. "Le critère de base reste la carte de presse, précise Franck Louvrier, responsable de la communication à la présidence de la République. Mais je suis pour ouvrir davantage nos portes aux blogueurs les plus influents. Ceux qui ont une légitimité dans leur métier et dont les blogs sont très fréquentés." L'Elysée a mis en place une cellule de veille des blogs, dirigée par Nicolas Princen. A Matignon, le service de presse s'en tient au critère de la carte professionnelle. "Pour des raisons de sécurité", souligne Myriam Lévy, sa responsable.


De son côté, le Parti socialiste a accrédité des blogueurs lors du congrès de Reims. "L'inflation des sites Internet et des blogs nous pose un problème, admet Alain Clergerie, coordinateur du service de presse du PS. Nous avons pour habitude de demander la carte de presse, ou sinon de vérifier que le site ou le blog sont reconnus et ont une bonne réputation." La porosité entre le métier de journaliste et celui de blogueur bouscule les habitudes. "Nous sommes dans une situation comparable à l'époque des radios libres, dit Benoît Raphaël, rédacteur en chef du site LePost. Les blogs permettent de faire émerger des nouveaux talents qui pourront faire d'excellents journalistes par la suite."


Eric Marquis, vice-président de la Commission de la carte d'identité des journalistes, est moins indulgent : "A force de dire que tout le monde peut être journaliste, on dévalorise ce métier et on occulte le fait que la bonne information a un coût. Après tout, on ne parle pas de "chirurgien citoyen". Le terme de "citoyen" ne sert qu'à habiller une dévalorisation de l'information et une précarisation de la profession. Nous sommes déjà descendus très bas dans les critères d'attribution de la carte de presse, jusqu'à la moitié d'un smic pour les revenus tirés du journalisme."Pour ce syndicaliste SNJ,"les termes du débat sont exactement les mêmes que dans les années 1930, lorsque Georges Bourdon a posé les bases du statut de journaliste. A l'époque, il tenait un discours très dur, en affirmant qu'il fallait distinguer les professionnels des amateurs"


Pourtant, la plupart des blogueurs ne se considèrent pas comme journalistes. Leur pratique inclut même souvent une critique implicite de la presse. "L'espace public numérique joue un rôle de complément, il est donc assez logique qu'il soit en réaction et en correction, explique Nicolas Vanbremeersh, alias Versac, qui a tenu un blog politique de 2003 à 2008. Moi-même, je n'ai pas de rapport professionnel à l'information. J'ai ma propre hiérarchisation. Le blog reste un plaisir et une activité annexe dans ma vie."

Si l'on s'en tient à un critère purement statistique, l'avantage est du côté des blogs. Selon la Commission de la carte de presse, il y aurait 37 000 cartes de presse et, selon Wikio, 60 000 à 70 000 blogs.

Xavier Ternisien
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2 mars 2009 1 02 /03 /mars /2009 01:42
Marianne de 1975 trouvée sur blog-philatelie.com

Soldats allemands en Alsace

"De Gaulle avait dit: "Les Français ont la mémoire courte". Et voilà qu'on signe u accord à Munich pour installer les soldats en Alsace! Ce président est donc ignorant de l'histoire avec un grand "H", oublieux des exactions et des crimes commis e presque un siècle de guerres, indécent à l'égard des victimes et de leurs familles toujours vivantes!
Comment vont réagir les Alsaciens devant les soldats parlant la même langue et portant les mêmes insignes qu'il y a 60 ans? Que vont penser ces jeunes Allemands, forcément innocents des crimes de leurs grands-parents de l'accueil peut-être "un peu froid" qu'ils vont recevoir?
Quel affront pour l'Alsace!
Quelle honte pour la France!
L'amitié retrouvée entre les Français et les Allemands d'aujourd'hui a heureusement d'autres moyens de se manifester. Plus de la moitié des électeurs français ont élu ce Président...Faudra-t-il boire le calice jusqu'à la lie?"

Un courrier des lecteurs de la NR, autour du 10 Février 2009.

Logo de la NR du 7 Mars 1983.

Et comme dans la vie il y a des choses qui ne s'inventent pas, ce courrier des lecteurs de la NR n' a pour autre auteur que...Monsieur POUJADE résident à Poitiers!
Le courrier des lecteurs, ça reste assez fréquemment un lieu de bonnes perlouses. Même si l'un de mes préférés, parce que hilarant, n'est autre que celui de Valeurs Actuelles, où comme qui diraient, les lecteurs du Bigaro ne sont que de sales gauchistes au couteau entre les dents et à ascendants étatistes et kholkhoziens!

J'aime bien le coup du un peu froid...les jets de cailloux, ça réchauffe pourtant non?
Trêve de plaisanteries.
Quitte à jouer à l'historien en herbe, je tiens à présicer que l'armée allemande n'était as vraiment en Alsace il y a 60 ans, mais plutot 65 ans minimum (à moins que la guerre ait duré jusqu'en 1949?), et par ailleurs, les insignes de l'armée  allemande, la Bundeswerh  ( et non la Werhmacht comme le croyait il y a encore quelques semaines TF1, lors d'une boulette au cours d'un reportage) ne comportent plus vraiment d'appellations de type SS ou oberstumfuhrer et autres conneries de ce genre.
Enfin, oui ils portent les mêmes noms, Muller et compagnie, mais en même temps il faudrait être un peu couillons pour changer de langues après une guerre perdue....

Si dans le mandat de Sarkozy il n'y aurait que ça de déplaisant, les choses iraient pour le mieux dans le meilleur des mondes. Mais le compte est très loin d'y être.
Alors oui, le président est un ignorant de l'Histoire, et vous Monsieur Poujade, vous êtes un  réactionnaire, avec un "R".
Et n'oubliez pas que dans vieux conservateur, il y a aussi servateur!

PS: strictement mais rien de chez rien à voir, mais il y a un an pile
de cela le Dimanche 2 Mars 2008, Bordeaux, par le biais de Wendel, affligeait une sérénnade monumentale au PSG, du côté de Chaban-Delmas.
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27 février 2009 5 27 /02 /février /2009 15:52
Le Canard Enchainé, Mercredi 11 Février 2009, N° 4607, page 2.

Nous sommes au moins sur d'une chose: Jeannot est bien le fils à papa Nico. Le gène de la trahison a bien été transmis, avec 20 centimètres de bonheur sarkozyste en supplément...
En même temps, le papa, tu le peins en vert, il joue les extraterrestres dans Mars Attacks!jean-sarkozy-nouvel-obs-2008.jpgDessin de Plantu paru dans le Monde au cours du mois de Février 2008, trouvé sur le site huuuge.net.


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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 10:24
Logo de la Nouvelle République, Lundi 7 Mars 1983.

MOUVEMENT DIFFICILE A DECRYPTER

"L'une des grandes figures des anti-CPE de 2006 ne porte pas un regard très tendre sur le mouvement qui agite actuellement les campus poitevins. Son analyse est même vacharde. Cette bataille universitaire qui touche les différentes facultés depuis près de trois semaines, souffre surtout d'un mal évident : un manque de lisibilité pour le grand public et même pour certains étudiants.
Si ce mouvement actuel rassemble une immense majorité des enseignants-chercheurs, il ne bénéficie pas, comme en 2006, ou comme lors des manifestations anti-LRU, d'un élan global. Manque de leader, coordination flottante, relais inexistants au sein des mouvements syndicaux traditionnels… le mouvement contre la loi Pécresse a du mal à prendre. La journée de jeudi, avec un appel à la manifestation, sera un bon test. Peut-être l'un des derniers. Le lendemain, l'heure des vacances universitaires aura sonné."



Julien Vialard, Stade Rébeilleau, Mardi 11 Avril 2006.


Julien Vialard :

Le mouvement étudiant est un échec total. Il ressemble à une crevette : tout est bon sauf la tête !


On a l'impression que le mouvement étudiant poitevin peine à naître et à prendre sa vitesse de croisière. Pourquoi ?

« Le mouvement est né d'une façon innovante avec l'occupation de l'amphi J et l'organisation de cours libres. Malheureusement, si la première thématique était bonne, ce qui s'ensuit autour ne l'est pas. Le mouvement est actuellement un échec total. Il ressemble à une crevette : tout est bon sauf la tête ! »


Pourquoi les AG s'enlisent-elles ?

« C'est révélateur du manque flagrant d'organisation. Les AG ne sont pas préparées, ni travaillées en relation avec les enseignants-chercheurs et les personnels. »


Que pensez-vous de l'élargissement des revendications réclamé par certains étudiants ?

« Je crois qu'il y a trop de précipitation dans la volonté d'élargir. Le mouvement n'a pas vocation à constituer une plaquette politique ! Avant d'élargir les luttes, il faudrait déjà arriver à faire converger les luttes entre les UFR de notre université ! »


"L'autogestion, c'est bien pour une soirée ou pour un festival, mais sur un mouvement social, ça a ses limites !"


Que pensez-vous de la tentative de saccage de l'UMP, du défilé chez Leclerc avec des slogans anarchosyndicalistes prônant le vandalisme et occupation de la gare ?

« Occuper la gare pourquoi ? Est-ce qu'il n'aurait pas été plus utile de faire une action devant le rectorat ou la préfecture avec la tenue d'un cours afin de sensibiliser l'opinion publique. Quel intérêt de faire l'apologie du vandalisme devant chez Leclerc alors que l'on veut défendre un service public de l'enseignement universitaire !
Quelle image a-t-on donné ? Quant à l'UMP, je regrette que la coordination n'ait pas condamné cette dégradation ! »


La coordination est-elle trop aux mains des anarcho-syndicalistes de la CNT ?

« On a des jeunes étudiants qui, lorsqu'ils étaient lycéens, ont eu un soutien massif de la CNT et surtout du Collectif de révolte anticapitaliste (CRAC). Ces étudiants-là maintiennent cette relation. Les militants CNT ne veulent pas comprendre que le mouvement doit être unitaire car un mouvement unitaire est bien plus pragmatique et efficace qu'un mouvement avec des banderoles. Il faut donc que la CNT mette ses banderoles en veilleuse ! »


L'absence de figures est-elle une cause ou une conséquence de ce que vous dénoncez ?

« C'est une conséquence normale de l'inorganisation ! Il y a des personnalités fortes qui n'osent pas s'affirmer parce qu'il y a un complexe, une paranoïa latente du chefaillon. Certains croient que si un porte-parole se dessine, ce sera un grand gourou qui décidera de tout. Du coup, on n'a pas de chefaillon mais on ne décide jamais de rien ! C'est l'autogestion permanente ! L'autogestion, c'est bien pour une soirée ou pour un festival, mais sur un mouvement social, ça a ses limites ! »


Comptez-vous ce matin faire entendre à Rebeilleau votre petite musique ?

« J'ai envie de le faire, j'ai envie de gueuler mais je ne sais pas si j'ai à le faire. Je le fais durant les coordinations, pas en AG parce que je ne suis pas le chevalier blanc. Il doit y avoir une prise de conscience collective que la coordination fait des erreurs préjudiciables au mouvement. J'attends une réaction forte car sans cela, le mouvement va droit dans le mur ! »
Propos recueillis par Jean-Jacques Allevi

NB: le dossier de la NR sur le sujet est ici.
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15 février 2009 7 15 /02 /février /2009 12:27
Le Canard Enchainé, Mercredi 11 Février 2009, N° 4607.

Voilà une certaine notion du débat d'idées et de la diversité d'opinions!
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10 février 2009 2 10 /02 /février /2009 00:54
...Mais pour une fois, la crise n'y est pour rien!

Poitiers, Jeudi 27 Mars 2008.

Ca tombe bien ce genre de nouvelles à quelques jours de la Saint Valentin.
En même temps, c'est le genre d'études qui permet d'ouvrir des conversations n'en finissant plus, chacune et chacun avançant ses arguments à coup de café-clopes...Logique, quoi!


Une dépêche trouvée sur leMonde.fr.


Les étudiants en couple fument davantage (étude)
AFP, 10 Février 2009, 00H03.

Le tabagisme est plus fréquent chez les étudiants vivant en couple que chez les célibataires, selon une enquête réalisée auprès d'étudiants en première année d'université en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, publiée mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire.


1.723 étudiants (998 filles et 725 garçons âgés de 18 à 24 ans) ont répondu à l'enquête de l'Observatoire régional de la santé de PACA au cours de l'année universitaire 2005/2006.


Parmi eux, 23% des garçons et 25% des filles fument quotidiennement, les usages réguliers d'alcool et de cannabis étant moins fréquents. Toutefois 31% des garçons et 17% des filles rapportent une ivresse au cours du dernier mois.

La consommation d'alcool est significativement plus élevée chez les garçons que chez les filles : respectivement 30% et 14% en ont consommé au moins cinq fois au cours des 30 derniers jours (11% et 5% au moins dix fois).

10% des garçons et 4% des filles déclarent avoir consommé du cannabis au moins 10 fois en un mois.


L'étude montre une stagnation des consommations d'alcool et de cannabis avec l'âge, mais en revanche une augmentation de celle de tabac.

De même, le fait d'être en couple est associé au seul tabagisme. "Au sein de couples de jeunes adultes le statut tabagique de l'un a une influence sur celui de l'autre", soulignent les auteurs de l'étude.


Chez les garçons uniquement, le fait de ne pas vivre dans sa famille pendant la semaine est associé à des usages plus fréquents de cannabis.

Enfin chez les filles uniquement, avoir une activité rémunérée est associée à un usage plus fréquent du tabac et aux ivresses.

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9 février 2009 1 09 /02 /février /2009 13:30
Poitiers, Mercredi 4 Février 2009, vers 17H.

A priori, les choses ne sont pas prêtes de changées!
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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

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