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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 07:39

Audience : 4.5 millions de personnes, 77000 personnes au Stade de France, 5 buts :

Que la finale fut superbe!

Finale Coupe de France - Bordeaux/Evian TG (3-2)

Vendredi 31 Mai 2013

Une grande Coupe de Bordeaux

Et de quatre ! Bordeaux a remporté ce soir la 4e Coupe de France de son histoire, grâce à son succès sur le fil en finale face à Evian (3-2). Largement dominateurs en première période, les Girondins auront su réagir aux retours savoyards dans le second acte.

Evian TG – Bordeaux : 2-3 (0-1)
Buteurs : Sagbo (51e) et Dja Djédjé (70e) pour l’ETG. Diabaté (39e, 89e) et Saivet (54e) pour Bordeaux.

C’était écrit partout : Eviant TG – Bordeaux, une finale de Coupe de France pourrie. Bah oui, mais non. La Coupe c’est la Coupe, une finale est une finale. Les deux clubs nous ont offert un superbe spectacle, se sont livrés un beau duel, marqué par un suspense intenable. Alors c’est tant mieux,cette finale n’a pas tenu ses (tristes) promesses. Au terme de 90 minutes folles en tout cas, c’est Bordeaux, qui peut se montrer satisfait. Le club aquitain, mieux rentré dans son match, a su réagir par le but à chaque retour savoyard, et ainsi l’emporter à l’arrachée. Evian n’aura pas démérité, mais pourra regretter sa très mauvaise première période.

Un Bordeaux confiant, des Savoyards tendus


Alors, pas sexy, cette affiche en finale de Coupe de France ? Les premières secondes indiquent déjà le contraire. Parce qu’on assiste vraiment à une belle entame de match entre les deux équipes. D’une volonté commune de se projeter vers l’avant, on attend seulement trois minutes, avant d’entrevoir une occasion. Celle de Diabaté, qui pousse Laquait à la parade avec une tête sur coup-franc. Ce même Diabaté qui manque de peu de se présenter face au portier quelques secondes plus tard, étant rattrapé de justesse par Dja Djédjé. Deux occasions bordelaises, des indicateurs de tendance. Car la suite se résume à une grosse domination des Girondins. Ballon au pied, ils font tourner, et n’ont aucun mal à s’approcher des cages de Laquait. Aussi, parce que les Savoyards sont sacrément crispés. On pourrait dire que Dupraz a foiré son approche tactique, avec la mise en place d’un inhabituel 4-2-3-1. Mais on tablerait surtout sur le poids de l’enjeu et l’inexpérience. Cet ETG, si séduisant en fin de saison, apparaît paumé tant tactiquement que techniquement : les attaquants ne touchent pas une bille, le milieu est inexistant, les défenseurs souvent en retard… C’est presque un miracle, de voir cette arrière garde tenir le coup pendant presque 40 minutes. Car les Girondins réussissent finalement à concrétiser : lancé par Mariano dans la profondeur, l’omniprésent Diabaté efface tranquillement le gardien avant de pousser le cuir au fond (0-1, 39e). Logique. Saivet manquera même de peu de doubler la mise avant la pause, d’une sublime reprise de volée. Au coup de sifflet, on peut dire qu’Evian s’en tire bien.

Des Girondins à réaction face à un meilleur ETG

On attend donc logiquement une réaction savoyarde à la reprise. Une réorganisation tactique, un changement d’attitude, quelque chose. Mais ce n’est pas ce que l’on voit en premier lieu. Plutôt un grossier tirage de maillot de Ninkovic sur Diabaté dans la surface, et donc, l’occasion pour Bordeaux de s’offrir un double avantage quasi-décisif. Seulement voilà, le buteur bordelais, désireux de s’offrir un doublé, bute sur un Laquait qui avait bien lu ses intentions. Un tournant. Parce que trois minutes plus tard en effet, l’ETG égalise. Sur la première action construite des Savoyards, Wass file côté gauche et adresse un centre à ras de terre pour Sagbo, lequel trompe Carrasso (1-1, 51e). Un nouveau tournant. Là encore, trois minutes plus tard, c’est un nouveau but. Un but des Bordelais, qui ne se sont pas laissés le temps de douter. Sur un coup-franc de Sertic frappé sur le côté gauche, Saivet a surgi à bout portant pour surprendre le portier (1-2, 54e). Le terme de six minutes de folie. Ou plutôt, le début de la vraie folie. Le match se fait en effet plus débridé encore, les offensives fusant d’un but à l’autre. Pendant un temps, on semble plus proche du 3-1 que d’un 2-2 : il faut un grand Laquait pour stopper une nouvelle tentative de Saivet, et un Cambon vigilant pour sauver un ballon sur sa ligne devant Diabaté. Mais cette finale est décidément surprenante. Sur le même modèle d’action que pour son ouverture du score, avec cette fois-ci Barbosa dans le rôle du passeur et Dja Djédjé à la finition, l’ETG va relance la rencontre (2-2, 70e). Une rencontre qui se fait dès lors plus tendu, à l'approche des prolongations. Sans compter sur ces Girondins à réaction. A une petite minute du terme, Diabaté, profitant du bordel après un corner et surtout d’une merveille d’ouverture de Maurice-Belay, se présentera à nouveau face à Laquait pour inscrire le but de la victoire (2-3, 89e). Les Girondins remportent une Coupe de France qui les fuyait depuis 1987, et sauvent leur pâle saison en championnat en accrochant l’Europe. Du côté de l’ETG, ne reste que les larmes…


par Alexandre Pauwels

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