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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

16 novembre 2013 6 16 /11 /novembre /2013 07:54

Rassemblement pour la contraception & l'avortement libres & gratuit.e.s !

Voici une quarantaine d'années, le mouvement de libération des femmes s'est battu pour obtenir le droit à disposer librement de son corps, notamment en maîtrisant sa fécondité. Sous la pression de la rue, et malgré l'opposition d'une bonne partie de la classe politique et du corps médical, la contraception a ainsi été libéralisée et remboursée par la Sécurité sociale en 1974 ; et, l'année suivante, la loi Veil a dépénalisé l'interruption volontaire de grossesse (IVG). Mais depuis les conditions d'accès à l'avortement sont devenues de plus en plus difficiles, tant par le manque de centres d'IVG que par leur qualité et par les délais pratiqués.

Le rapport rendu par le Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes, le 7 novembre dernier, sur l'accès à l'IVG met en évidence le parcours de la combattante par lequel les femmes doivent passer pour un avortement. Dans le Poitou-Charentes, un tiers seulement des établissements pratiquant l'IVG prennent en charge cette intervention sur une patiente entre la dixième et la douzième semaine de grossesse. Pourtant, selon le code de la santé publique, « les établissements publics […] qui disposent de lits ou de places autorisés en gynécologie-obstétrique ou en chirurgie ne peuvent refuser de pratiquer des interruptions volontaires de grossesse ».

Divers obstacles jalonnent le parcours de soins, causant parfois des situations dramatiques. Les chiffres (sous-estimés) montrent que, dans notre région, 86 IVG n'ont pas été prises en charge en 2012, obligeant les femmes concernées à s'orienter vers une autre région ou à renoncer à l'IVG. Comme le souligne le rapport du Haut Conseil, la loi n'est pas pleinement appliquée « compte tenu du refus de certains médecins et établissements de santé de pratiquer certaines IVG ». Des professionnel.le.s de santé n'hésitent en effet pas à remettre en cause la décision des femmes, à les culpabiliser, voire à refuser délibérément de les prendre en charge. Oubliant toute éthique, piétinant la santé, c'est-à-dire le bien-être et le respect de ces personnes.

Face à la toute-puissance du corps médical, les gouvernements successifs ont laissé faire, et c'est ainsi que la situation s'est très rapidement détériorée. Même le Haut Conseil « s'étonne vivement que ce dysfonctionnement qui contrevient aux obligations légales fasse l'objet d'une tolérance » de la part des pouvoirs publics. À la vérité, le refus de pratiquer l'IVG est sans doute bien moins dû à la « liberté de conscience » derrière laquelle se retranchent nombre de chirurgiens, et les pouvoirs publics avec eux, qu'au faible intérêt financier représenté par une telle intervention. En avril 2013, son tarif a certes été revalorisé de 50 %, comme le demandaient depuis des années des associations de défense de l'avortement pour inciter les établissements de santé à le pratiquer - mais il est peu certain que cela suffise à inverser le cours des choses, « l'affaire » n'étant sûrement pas assez juteuse.

De plus, dans le même temps, les centres de Planning familial luttent pour leur survie face à la suppression chronique des subventions de l'État, alors qu'il s'agirait d'assurer une meilleure information sur la sexualité des femmes et des hommes dès le plus jeune âge. Et, comme le soulignait déjà le MLAC (Mouvement pour la liberté de l'avortement et la contraception) dans les années 70, le seul moyen de faire disparaître les fortes inégalités existant entre les femmes sur la question de l'avortement consiste à pouvoir recourir à cet acte sans qu'il dépende de leurs revenus et de leur couverture sociale. Or, si les frais de soins, de surveillance et d'hospitalisation liés à une IVG sont enfin, depuis avril dernier, intégralement pris en charge par l'assurance maladie (ils ne l'étaient jusque-là qu'à 70 ou 80 % pour les assurées majeures), les femmes non couvertes par la Sécurité sociale ne peuvent en bénéficier… et de toute façon, en l'état actuel du dispositif de santé et face à l'incurie du secteur public, le recours aux cliniques privées ici comme ailleurs reste conditionné au règlement de dépassements d'honoraires et autres frais qui ne sont pas à la portée de toutes les bourses.

La retombée du mouvement des femmes a de plus permis aux catholiques intégristes de reprendre du poil de la bête à travers des mouvements anti-IVG menés essentiellement par des hommes.

Ainsi, l'association SOS tout-petits qui, en 1986, « consciente du caractère sacré de la vie humaine de la conception à la mort naturelle », s'est donnée « pour but de la sauvegarder par la prière ». Il s'agit pour ces intégristes de « protéger la vie » par tous les moyens : prières anti-IVG devant les cliniques, actes d'intimidation et de culpabilisation envers les patientes du Planning familial, affiches de fœtus ensanglantés ou commandos anti-IVG dans des blocs opératoires. Depuis la loi de 1993 sur le délit d'entrave à l'IVG, ils ont dû revoir leurs méthodes à la baisse. En 2012, une patiente du Planning familial a par exemple reçu d'eux... une paire de chaussons en tricot avec une médaille représentant la Vierge Marie. Mais le ridicule de tels « cadeaux » ne saurait faire oublier la violence de ces mouvements, sur lesquels plane évidemment l'ombre du FN - qui considère le Planning familial comme une incitation à l'IVG et préconise le déremboursement de cet acte...

Nous revendiquons le droit des femmes à choisir si elles veulent un enfant, et quand. Le droit d'être accompagnées dignement et gratuitement dans toutes leurs décisions, avec des moyens en réponse à leurs besoins, quels que soient leur âge et leur condition.

Samedi 16 novembre 2013, nous nous rassemblerons à 11 heures devant l'église Notre-Dame, à Poitiers, pour réaffirmer notre volonté de choisir et de disposer librement de nos corps et de nos vies.

Puis, à 14 heures, nous accueillerons comme il se doit les intégristes de SOS tout-petits et leurs sympathisant.e.s, toujours devant l'église Notre-Dame. Rejoignez-nous !

Un groupe d'autodéfense antisexiste

P.-S. : Nous profitons de l'occasion pour lancer un appel à témoignages auprès de toutes les femmes qui se sont fait avorter à Poitiers. Écrivez-nous à faispasgenre [arrobase] riseup [point] net

 

Pris sur poitiers.demosphere.eu

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 09:00

Poitiers en 1978, c'est 84.000 habitants, c'est 56 millions de Francs d'impôts locaux payés par les particuliers et 1400 agents municipaux

 

Comprehension: 1 Franc 1978 correspond à 52 centimes d'euro 2012

 

TF1, 28 Novembre 1978.

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4 novembre 2013 1 04 /11 /novembre /2013 08:59

Eclairage en chaîne rue Descartes

santrot-nouvel-eclairage-rue-descartes.JPG

Dans les rues de la Chaîne et René-Descartes, l'éclairage joue désormais au centre!

 

Hier soir, queslques élus dont le maire, Jacques Santrot, l'adjoint à la voirie, Bertrand Royer, un conseiller municipal du quartier, Philippe Phin, et "monsieur éclairage" de la ville, M. Granger, se sont rendus sur placepour apprécier les nouveles lanternes en services depuis avant-hier.

Auparavant, les deux rues qui sont bordées de maisons du moyen-âge étaient éclairées par des lampadaires tout à fait ordinaires, en lumière blanche. La ville, en refaisant totalement l'éclairage des deux rues en prolongement l'une de l'autre, a revu en misant sur la qualité et l'esthétique. Une quinzaine de belles lanternes, accrochées au milieu par des chaînes fixées aux maisons. L'éclairage ainsi centré apporte d'une part plus de clarté et d'autre part, met en valeur quelques-unes des magnifiques façades - dont celle de l'Hôtel Fumé qui sera prochainement réhabilitée - médiévales.

En parallèle, un trottoir est en cours de réalisation - il était quasiment inexistant - sur le côté impair et sera réalisé en petits pavés nettement plus décoratifs. Enfin, au cours de l'été prochain, c'est le revêtement de la chaussée qui sera refait. Coût des deux opérations: 110.000F pour l'éclairage et 180.000F pour le trottoir qui sera terminé à la mi-décembre. Un seul petit regret alors que l'éclairage est vraiment chouette: on jurerait que les télécoms se sont vengées à passer des câbles aériens dans tous les sens!

 

La Nouvelle République, Jeudi 4 Novembre 1993.

 

NdPPP: 110.000F de 1993 valent 22.736€ de 2012 et 180.000F correspondent à  37204€.

 

Rue-de-la-Chaine.JPG

La rue de la Chaîne, Lundi 31 Décembre 2007.

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29 octobre 2013 2 29 /10 /octobre /2013 08:58

Peut-on faire une meilleur vidéo de promotion de la ville de Poitiers?

Une oeuvre de Stéphane Méril


 
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25 octobre 2013 5 25 /10 /octobre /2013 07:59

Un monde fou à Collection Passion

Inauguration-salon-collectioneurs-Poitiers-1993.JPG

 

Raz de marée aux Arènes pour la neuvième édition d'un salon très prisé des collectionneurs et passionnés de choses anciennes.

 

Le lieu idéal pour chiner par une journée de pleine grisaille! Moyennant une réputation qui a largement dépassé les murs de Poitiers, le salon Collection Passion, neuvième du nom, a fait le plein, samedi et dimanche, au parc des expositions.

Le succès de ce salon lancé par une poignée de mordus avec Christian Dudognon à leur tête, s'explique par cet amour fou pour les choses anciennes. Cette passion se double chaque année de coup de coeur pour les collections, toutes plus folles les unes que les autres. Qui aurait osé imaginer, il y a dix ans, que l'on puisse sa salle à manger de ronds de bière, de serviettes en papier ou de boîtes de camembert?

Grâce à la persévérance de quelques amoureux du temps passé, le salon Collection Passion confirme au fil des ans que le plus fol n'est pas celui que l'on croit. A l'heure de la fermeture ce dimanche, les records sont tombés au micro: Maître Tétrault, huissier à Poitiers, a compté les serviettes en papier collectionnées par Chantal Terrasson de Châtellerault et les briquets de Robert Lanterne, salarié agricole à Angoulême, pour les faire inscrire au Guiness des records.

Gendarme-pipe-collection-1993.JPG

Autre performance, renouvelée celle-là, l'attribution du premier prix du concours de fumeurs organisé sous la présidence de M. Deschamps (Le Vizir à Poitiers), au maréchal-des-logis-chef Gérard Dez, de la brigade de gendarmerie de Saint-Julien l'Ars. Un concours âprement disputé autour d'une longue table, en présence de nombreux curieux, ce dimanche après-midi. Cette atmosphère conviviale s'est retrouvée le samedi et le dimanche à proximité des innombrables stands envahissant le corps principal des arènes.

La passion des visiteurs s'est très nettement portée vers les collectionneurs, qui ont carrément tourné le dos au côté mercantile des choses. Purs et durs, ils vivent la collection à un rythme boulimique. Prenez le cas de Patrick Génis, instituteur près de Montluçon. Il avait amené à Poitiers plus de quatre cents bouteilles sérigraphiées, dont certaines décorées par des dessinateurs célèbres: Piem, Trez, Barberousse. Pour lui, la dive bouteille, c'est notre patrimoine. Et de sortir de dessous la table la bouteille d'Evian qui sortira en 1994. Un primeur en quelques sortes.

Juste en face, l'étudiant en archéologie à Tours, Cyrile Chaigneau, alignait les verres à bière et les sous-bock. Avec des pièces rares, comme ces verres émaillés de la brasserie de Montmorillon.

Les collectionneurs ont fait le plein de visiteurs. Henri Audebert de Châteauroux ne savait plus où donner de la tête avec ses locomobiles à vapeur prises d'assaut par les curieux.

Le salon Collection Passion confirme une fois de plus que ce qui est rare et beau n'a pas de prix dans les coeurs.

GEDE

La Nouvelle République, Novembre 1993.

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21 octobre 2013 1 21 /10 /octobre /2013 08:01

Capture-RECHERCHE-BLOG-POITIERS.PNG

Pris sur Google, Samedi 19 Octobre 2013.

Nous avons donc une référence anodine qui ne fait de mal à personne avec "blog pour Poitiers", ensuite "Poitiers les goûts" qui nous renvoie chez lardeau.net en première réponse.

Vient ensuite "Poitiers blog saloppe" (sic). Un truc où t'as l'impression que les mecs rien qu'en tapant ça sont excités à mort, avec une main déjà occupée. Cela nous propose sur google des sites, sur lesquels je n'ai pas cliqué comme salopepoitiers.org, ou encore une vidéo avec "Jess" de Poitiers qui propose un bukkake. Celles et ceux qui ne savent ce que c'est, je les invite à le demander à leur collègue de bureau, à leur compagnon de tablée en terrasse, ou encore à leur camarade de cours à la fac.

On retrouve ensuite une référence "skyblog Poitiers" qui confirme qu'il y a encore des utilisateurs de skyblog dans le Poitou.

Ensuite, eh bien voilà Jules Aimé, qui, il y a fort longtemps de cela, a commencé son oeuvre blogguesque sur skyblog, avant d'émigrer vers Overblog. Il n'a plus rien pondu depuis près de 1000 jours, et il est toujours là. Les connaisseurs de la chose cybernétique comprendront ce que ça signifie.

"Bons plans Poitiers" nous proposent des sites commerciaux comme Groupon en premier résultat. On remarque le simulacre de pléonasme de la formule "bons plans": tu l'as déjà croisé le mec qui cherche sur une ville des "mauvais plans"?!

Dernière ligne surprenante avec "cluri Poitiers" qui renvoie vers sites évoquant ce fameux bar de la Place du Marché, sachant que le Cluricaume n'a pas de site internet. Et enfin, le baroud d'honneur de skyblog avec "blog skyrock", plate-forme de blog, qui permet souvent pour les lycéens (mais pas qu'eux) de parler d'eux et d'abandonner au bout de 15 articles, permettant de peupler le grand cimetière du web, mais aussi et surtout de faire ressortir "les dossiers" de soirées ou de vacances, photo que l'on ne peut parfois supprimer car...on n'a oublié ses codes d'accès et que dans le même temps on a changé de boite mail.

Au final, l'internaute s'interressant aux blogs pictaviens est motivé par des sorties (bar, restaurant,...), et dans une mesure très modérée, par les choses "olé-olé" qu'il pourrait voir ou pratiquer dans cette bonne ville de Poitiers.

PS: quand on tape "blog Poitiers", la première référence qui apparaît, c'est Coccinelle qui récolte la médaille d'or. Bravo!

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13 septembre 2013 5 13 /09 /septembre /2013 07:33

Tache-d-eosine-sur-Notre-Dame.JPG

Parvis Notre-Dame, Jeudi 12 Septembre 2013, vers 11h.

 

C'est aux cris de "Léa, Léa, on t'encule" que les jeunes gens se sont fait remarquer mercredi, à l'occasion d'une soirée d'intégration d'étudiant(e)s en médecine 3ème année.

A la différence de leurs prédécesseurs de la semaine passée qui avait, entre autres, usés de peinture à l'eau, et qui surtout avait nettoyé à la brosse, et à quatre pattes les pavés, le soir, ces individus qui avaient laissé leur cervelle de côté (environ 200-300 personnes), ont voulu à leur façon, laisser une trace dans leur histoire. Ainsi que sur les murs du secteurs, parmi lesquelles, un bâtiment qui va bientôt être millénaire, ayant juste un peu de quoi être classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, mais quand même classé Monument Historique depuis 1840.

Certes c'est un rituel de début d'année universitaire (bien qu'une tradition ait aussi le droit d'être complètement bidon), bien que très localisé sur la médecine: je n'ai pas fait de bataille géante pour mon intégration en SHA, et ça ne m'a pas empêché de passer de superbes années à la fac. Evidemment, il n'y avait pas volonté de dégrader Notre-Dame. Mais franchement, le campus, la ville n'est-elle pas assez grande pour que cette animation de bourricots se déroule ailleurs qu'à proximité d'un monument historique?

Car oui, il n'y avait pas que de l'eau ou de la peinture dans les pistolets en plastique, il y avait la source du problème: l'éosine. Voyons ce que dit le dictionnaire:


EOSINE : Matière colorante rouge, obtenue par bromation de la fluorescéine, utilisée comme pigment dans les encres et dans les fards, comme désinfectant en dermatologie. (souvre: larousse.fr)

 

Maintenant que les faits se sont déroulés, que Notre-Dame est tâchée, que la municipalité a porté plainte, se pose une question toute bête : que fera-t-on face à l'éventuelle dégénerescence d'une prochaine soirée d'intégration de médecine? Très agacé par ce fait, il me semble que ces "animations" devraient être délocalisées hors du coeur de ville. Parce ce que sinon, qu'adviendra-t-il mercredi prochain? Ou l'année prochaine? Devra-t-on voir des policiers dépéchés sur place pour contrôler bidons et autres pistolets à eau? Je ne vois pas pourquoi le contribuable poitevin devrait voir ses impôts (instant démago, c'est pas bien, mais ça soulage) servir à nettoyer les agissements immatures de ce qui formera, à terme une élite, qui elle-même n'hésitera pas à protester à cause d'une fiscalité qu'ils jugeront excessive.

J'espère que la justice agira rapidement et que les responsables paieront financièrement leurs dégradations (sachant qu'à ce moment là, l'esprit de famille de la soirée d'intégration ne sera qu'un lointain souvenir, la solidarité aura ses limites).

Bien à eux de poursuivre une belle et longue carrière dans la médecine. Mais avant d'espérer la poursuivre dans le rôle du praticien, quelques cas présents mercredi soir feraient bien mieux de la pratiquer dans le rôle du patient...
tache-d-eosine-au-sol.JPG

Le parvis de Notre-Dame au lendemain de la bataille.

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9 septembre 2013 1 09 /09 /septembre /2013 08:25

Du parapluie artisanal, 100% français : certes le prix est élevé, mais la haute qualité a un coût!

 

FR3 Poitou-Charentes, Vendredi 31 Décembre 1982.

 

 

La devanture du magasin, 137 Grand'Rue, Poitiers, cliché emprunté au site tourisme-vienne.com

 

Par ailleurs, le magasin de la famille François a un site internet: parapluie-artisanal.com .Le nom du site a le mérite d'être clair sur le fonctionnement de ce commerce!

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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

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