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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

17 avril 2010 6 17 /04 /avril /2010 06:37

LE DEBUT DU MARTYRE CAMBODGIEN!

Dans le même temps, les Nord-Vietnamiens se rapprochent furieusement de Saïgon

Phnom-Penh-est-tombee.JPG

Chute-de-Phnom-Penh.JPGLa Une et la page internationale de la Nouvelle République, Vendredi 18 Avril 1975.

 

Et dans le même temps, les armes ont du mal à se taire à Beyrouth, malgré le cessez-le feu de la veille: le bilan humain s'alourdit encore...

Reprises-fusillades-a-Beyrouth.JPGLa Nouvelle République, Vendredi 18 Avril 1975.

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16 avril 2010 5 16 /04 /avril /2010 11:15

FIN DU PREMIER ROUND APRES 4 JOURS DE COMBATS ACHARNES!Treve-a-Beyrouth.JPG

Cessez-le-feu-a-Beyrouth.JPGEn Une et en page International de la Nouvelle République, Jeudi 17 Avril 1975.

Combats dans BeyrouthClichés de Claude Salhani et de Arnaud Borrel (mi-Avril 1975), page 39 de l'ouvrage de Joseph Chami: "Liban, Jours de Misère, 75-76".

 

Dans ce même ouvrage,on apprend dans la chronologie de fin d'ouvrage (il date de 1977):

16 Avril 1975: Premier cessez-le-feu (il y en aura 55) de la guerre. Les écoles, les banques et les cinémas rouvrent le 19. Bilan du premier round: 156 tués, 291 blessés, 400 millions de livres libanaises de dégâts.

 

Par ailleurs, dans le hasard de mes recherches, je suis retombé sur un numéro de L'Histoire de l'été 2006 (N°311), numéro spécial "Guerre civile", qui à mon grand regret, ne consacrait rien au Liban, pour l'une des guerres civiles les plus plus folles, les plus dures de notre époque contemporaine.

Mais au détour d'une interview de Jacques Sémelin sur les massacres en Ex-Yougoslavie, j'ai pêché une explication sur la guerre civile et sa dureté.

"Par définition, la guerre civile est une guerre de proximité, c'est-à-dire une guerre qui implique un face-à-face, un corps-à-corps, où vous êtes proche physiquement de votre ennemi. Cette proximité profuit de l'atrocité du massacre. Parce que celui qui est en face de vous, que l'on vous a présenté comme un ennemi, a terriblement face humaine, et vous ressemble. Alors vous en rajoutez dans l'horreur pour détruire au plus vite ce qu'il y avait d'humain dans l'autre. Le processus de destruction est une mise à distance de l'humanité de l'autre. Tout cela, on le retrouve en Croatie et en Bosnie dans la destruction des non-combattants."

 

Complément du 14 Avril 2011: présentation par TF1 (émission Satellite, 17 Avril 1975) des Phalanges libanaises de Pierre Gemayel.


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15 avril 2010 4 15 /04 /avril /2010 07:31

L'Orient-Le Jour

 

Trente-cinq ans après, pourquoi se souvenir ?

Par Michel HAGGI GEORGIOU 13 AVRIL 2010

 

S’il faut se souvenir, c’est pour ne pas répéter les mêmes schèmes. Joseph Eid/AFPS’il faut se souvenir, c’est pour ne pas répéter les mêmes schèmes. Joseph Eid/AFP

Analyse

 

Certes, le canon s'est tu il y a déjà vingt ans au terme de quinze longues années dans les ténèbres, depuis ce funeste 13 avril 1975. Et la tentation est grande, pour tous ceux qui ont tant souffert, de se laisser abandonner à la douce torpeur de l'oubli. Ce ne serait que justice, après tout, selon une certaine logique : pourquoi donc se remettre en situation et revivre ce calvaire innommable, ce déluge de feu et de sang, cette perte de sens psychopathique et collective que fut la guerre libanaise, aussi bien dans sa dimension interlibanaise que régionale ou internationale ?
C'est vrai. L'oubli ne serait que justice. La facilité est toujours à portée de main. L'indolence a toujours un léger, enivrant parfum de séduction. Mais ce parfum couvre en réalité une non-odeur incolore de mort, puisque la mémoire, lorsqu'elle s'endort, assoupit avec les sens. C'est d'ailleurs dans ce sens que l'occupant syrien a œuvré habilement durant sa longue période d'hégémonie sur le pays. Il a empêché tout travail de mémoire, toute entreprise de retrouvailles nationales au-delà des lignes de démarcation créées par la guerre, un chantier qui aurait nécessairement débouché, eut-il eu lieu, sur la cautérisation, par des mécanismes rationnels, et non par voie émotionnelle, de toutes les plaies libanaises, et, partant, sur l'unité et, par transitivité, le retour de la souveraineté du pays. Faut-il se souvenir dans ce cadre de la manière avec laquelle l'appareil sécuritaire libano-syrien avait réagi à la réconciliation de la Montagne, en août 2001, ou encore lors de la tenue, courant 2003, d'une rencontre entre intellectuels musulmans et chrétiens autour de l'Appel de Beyrouth, une initiative de Samir Frangié visant à refaire l'unité du pays autour de sa souveraineté ? Et puis tout le refoulé a soudain ressurgi lors de l'assassinat de Rafic Hariri le 14 février 2005. Un exorcisme collectif, fondé sur la force de la mémoire, l'exigence de la vérité et de la justice, ainsi que le rejet de la violence, et qui a ouvert la voie et un instant fondateur de pardon sociétal, le 14 mars 2005.

C'est là que réside la force du devoir de mémoire. S'il faut se souvenir, ce n'est pas pour répéter les mêmes schèmes, mais pour savoir, et pour empêcher que l'avenir ne ressemble en rien au passé, à ce passé-là en tout cas. L'oubli ouvre la voie à l'ignorance, et l'ignorance peut facilement se laisser manipuler par la violence. Or la force de la violence est sa capacité sournoise à pouvoir changer de visage et de forme. L'oubli, qui a été imposé par le pouvoir de fait durant des années, a ouvert la voie à l'établissement d'une violence symbolique, ritualisée, structurée, institutionnalisée. Des perceptions imaginaires et mensongères ont été solidement ancrées dans les esprits à coups de slogans, de propagande. Plusieurs réalités alternatives ont donc été soigneusement élaborées, étudiées et assénées à l'aide d'un discours et de pratiques politiques, durant des années. Ce système était fondé principalement sur deux constantes : cultiver la peur de l'autre et nourrir la haine. Et, pour paver la voie à la violence réelle, il ne restait plus qu'un maillon à mettre en place pour que la machine infernale soit parfaite : la violence morale et psychologique. Cette dernière n'a pas besoin d'être ritualisée : pour être efficace, elle doit être frontale. Elle doit détruire l'autre dans le discours politique, l'annihiler, le « tuer » moralement, pour mieux ouvrir la voie ensuite à son élimination physique. Cette violence morale est entrée aujourd'hui dans certains usages médiatiques. Trop sournoise et habile pour tomber sous le coup de la diffamation, elle s'emploie à détruire, par la désinformation, le sarcasme, ou encore par la menace directe, dont l'objectif doit être de provoquer la peur, la résignation, la soumission chez l'autre. Il s'agit, à travers des manœuvres parfaitement pernicieuses, de créer de nouvelles « lignes rouges » dans les esprits... sinon, le cas échéant, la campagne de discréditation doit aboutir à de la violence physique, pure, brute. Samir Kassir n'avait-il pas été victime d'une campagne bien étudiée de discrédit, qui n'a suscité quasiment aucune solidarité journalistique au Liban, avant d'être pris pour cible ? L'agression courant 2008 contre Omar Harqouss, journaliste, n'a-t-elle pas été rendue possible par une légitimation de l'usage de la violence contre lui, lorsqu'un manifestant l'a traité de « sioniste » en pleine rue, « institutionnalisant » ainsi son passage à tabac par la foule ? Il s'agit là de deux exemples parmi des milliers d'autres, et cette machine de production de la violence œuvre sans relâche et sans garde-fous, distillant son venin à foison, pour embrigader les esprits, en attendant l'occasion qui permettra de passer à l'action, et d'éliminer l'autre. Et elle opère indifféremment à tous les niveaux : politique, social, culturel, économique, etc.
L'oubli, l'ignorance, la violence. À ce triptyque, il faut répondre par une troïka formée du devoir de mémoire, de la recherche de la connaissance, et de la paix. Dans ce cadre, il reste nécessaire, vingt ans après la fin des combats, de structurer le chantier qui doit mener à la paix, la justice, la vérité et la réconciliation. C'est-à-dire que si le 14 mars 2005 a été symboliquement le temps d'une réconciliation, il a en fait cristallisé une volonté de tourner la page. Mais les nombreuses bombes à retardement laissées derrière lui par le tuteur, la violence symbolique qu'il a instituée durant trente ans à petit feu, ainsi que les querelles internes de chefferie et l'ambiance entière de violence totale dans laquelle la région est plongée - tout cela a considérablement ralenti cette progression. Ou bien même a-t-il ouvert la voie à une régression notable - les victimes innocentes de mai 2008 (ainsi que les nouvelles lignes de démarcation qui en ont découlé, aussi bien sur le terrain que dans les esprits) sont là pour nous le rappeler.
Structurer ce chantier, c'est ouvrir la voie, au niveau de la société et par le biais des associations des droits de l'homme spécialisées, à une justice réparatrice, qui puisse ouvrir la voie à une réconciliation en profondeur, sans que la mémoire de la guerre ne soit utilisée à des fins politiciennes - comme c'est le cas sans cesse actuellement - pour créer de nouvelles fissures et provoquer, au final, de nouvelles éruptions de violence. C'est enfin et surtout, établir des « actes concrets de dialogue », comme le fait, par exemple, Offre-Joie et son infatigable et extraordinaire coordinateur Melhem Khalaf, sur le plan social, depuis des années, pour exprimer une aspiration collective à construire l'avenir.

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 09:59

La peur de l'embrasement général commence à envahir le Liban, alors que dans les grands centres urbains, les combats commencent à faire rage!

"Leur patience a cependant des limites..."

Tuerie-de-Beyrouth-et-tensions-arabes.JPG

Tuerie-a-Beyrouth.JPGEn Une et en pages intérieures de la Nouvelle République, Mardi 15 Avril 1975.

Fichier:Flag of Lebanon.svgLe drapeau de la République Libanaise (الجمهوريّة اللبنانيّة (ar) Al Jumhuriya Al Lubnaniya (ar)).

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13 avril 2010 2 13 /04 /avril /2010 09:15

1975-1990: 15 ans de guerre civile, plus de 150.000 morts

Liban: Une nation meutrie, Beyrouth: une cité détruiteAutobus-mitraille-Beyrouth-1975.JPG

Beyrouth, quartier d'Aïn el-Remmaneh, Dimanche 13 Avril 1975.

Debut-de-la-guerre-civile-Beyouth-Avril-1975.JPG

Quelques heures après la fusillade, Beyrouth, 13 Avril 1975.

 

Ces deux photos sont issues de l'excellent ouvrage (réédité à 3 reprises, en 1977, 1980, 1985) de Joseph Chami (journaliste alors à L'Orient-Le Jour, grand quotidien francophone libanais): "Liban, Jours de Misère, 75-76", un livre de photos et rédigé en franco-anglais.

Voici ce que l'on peut y lire: "L'Histoire retiendra la date du 13 Avril 1975 comme début de la guerre des deux ans libanaise. L'analyste doit remonter plus loin pour en dégager la génèse." Placé sous protectorat français en 1920, indépendant depuis 1943, le Liban est une nation jeune, tout en étant le fruit d'une histoire complexe, Beyrouth étant le symbole même de ce territoire cosmopolite. Mais le problème du Liban, ce sont ses voisins: la Syrie considère le Liban comme son propre jardin, les Palestiniens y trouvent refuge pour lutter contre Israel, ce dernier menant des excursions pour lutter contre eux, surtout dans le Sud Liban.

Le Liban, est un territoire de 10000KM², peuplé en 1975 d'environ 2,8 millions de personnes, très divisé politiquement, mais aussi très complexe au niveau de la religion, mêlée de chrétiens et de musulmans, eux mêmes recoupés pèle mêle en marronites, sunnites, chiites, druzes, catholiques, orthodoxes...

Le conflit de 1975 est le résultat de tout cela, avec en plus des questions économiques: le Liban est un pays riche dont les richesses sont fort mal réparties, hôtels de luxe jouxtant de quelques centaines de mètres des bidonvilles. Enfin, la répartion des pouvoirs poltiques s'est établi sur un pacte non écrit de 1943, selon la représentation démographique de chaque communauté. Mais celle-ci s'est rapidement trouvée être obsolète, les musulmans étant de plus en plus nombreux et n'ayant que peu de pouvoirs par rapport à ce qu'ils représentent. Dans le même temps, les chrétiens ne veulent point céder les pouvoirs qu'ils possèdent. En 1975, avec un Etat central faible, le coktail explosif est réuni, il n'attend plus qu'une étincelle pour s'embraser, et celle-ci se produit à Beyrouth, le 13 Avril 1975.

Cette brève analyse mérite d'être complétée par la lecture de divers ouvrages sur le sujet.

Toujours dans le même livre, on peut lire un peu plus loin: "Quand la guerre des deux ans a éclaté, la plupart des Libanais s'en sont à peine aperçus. Ou du moins souciés. La nuit, le crépitement des armes automatiques et les doubles déflagrations des lance-roquettes se font entendre à un bout de la ville. A l'autre bout, on se demande "ce qui se passe là-bas." "Là-bas" c'est Chiah et Aïn Remmaneh, deux faubourgs antagonistes depuis longtemps déjà qu'une simple étincelle suffit à embraser. "Là-bas", c'est aussi Sin el-Fil, Dékouaneh ou Tel-Zaatar, autant de quartiers où il ne fait pas bon habiter. "Là-bas", les nuits blanches ont déjà commencé, les cliniques et les hopitaux ne désemplissent pas, l'Etat a pratiquement déclaré forfait."

Le premier compte-rendu de l'actualité libanaise, le début de ce qui n'est pas encore une guerre, mais un simple affrontement, ne fait pas les gros titres de la presse: en Avril 1975, les Unes sont consacrées à l'échec de la tournée de Kissinger au Proche-Orient (sans passer par la case Liban), les combats au Cambodge et au Viet-Namh, avec l'attente quasi imminente des chutes au mains des forces communistes de Phnom Penh et de Saïgon. Et aussi de la crise qui fait ses ravages. Le Liban a alors droit à à peine deux petits colonnes dans les pages internationales de la NR.

J'aurais souvent l'occasion de vous reparler du Liban: je n'ai aucun lien avec ce pays si ce n'est m'être pris de passion pour le Liban il y a environ 8-9 ans, en découvrant le carnage de cette guerre civile, le suicide d'une nation, abbatue à la fois par un empoisonnement interne, mais aussi par un tir à bout portant, notamment des Syriens.

Le Liban de 1975 à 1990, où comment un peuple, une nation est parvenue à se réduire à néant...

Combats-a-Beyrouth.JPG

La Nouvelle République, Lundi 14 Avril 1975.

 

West Beyrouth (Liban-France-Belgique-Norvège, 1998). Un petit film sans prétention (récompensé lors de la Quinzaine des réalisateurs à Cannes en 98) qui revient sur le début du conflit libanais par la focale de gamins étudiant au lycée français de Beyrouth: les musulmans à l'Ouest, les chrétiens à l'Est.

Le film débute le 13 Avril 1975: à partir de la 6eme minute, vous pouvez apercevoir une reproduction de la scène (la fusillade de l'autobus) qui a mis le feu aux poudres au Liban.

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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 23:38

Et la justice espagnole tient à le faire savoir au "super-juge" Baltasar Garzon, un peu trop curieux à ses yeux!

Le juge Garzon au début des années 1990.

 

 

Le juge Garzon devant la justice pour ses investigations sur les crimes franquistes
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11 avril 2010 7 11 /04 /avril /2010 01:02

Costume-du-Printemps-Avril-1975.JPGLa Nouvelle République, vers le 10 Avril 1975.

 

Par ailleurs, sachez que 599F de 1975 équivalent à 382€ de 2009, 1F de cette année valant 0,63811 centimes d'euros.

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10 avril 2010 6 10 /04 /avril /2010 06:37

 

La digue du cul, en revenant de Nantes (bis)
De Nantes à Montaigu, la digue, la digue,
De Nantes à Montaigu, la digue du cul.

La digue du cul, je rencontre une belle (bis)
Qui dormait le cul nu, la digue, la digue,
Qui dormait le cul nu, la digue du cul.

La digue du cul, je bande mon arbalète (bis)
Et lui fout droit dans l' cul, la digue, la digue,
Et lui fout droit dans l' cul, la digue du cul.

La digue du cul, la garce se réveille (bis)
Et dit: "J'ai l' diable au cul", la digue, la digue,
Et dit: "J'ai l' diable au cul", la digue du cul

La digue du cul, non, ce n'est pas le diable ( bis)
Mais un beau dard poilu, la digue, la digue,
Mais un beau dard poilu, la digue du cul

La digue du cul, qui bande et qui décharge(bis)
Et qui t'en fout plein l' cul, la digue, la digue,
Et qui t'en fout plein l' cul, la digue du cul

La digue du cul, il y est qu'il y reste (bis)
Et qu'il n'en sorte plus, la digue, la digue,
Et qu'il n'en sorte plus, la digue du cul

La digue du cul, la morale pour les dames(bis)
Faut dormir le cul nu, la digue, la digue,
Faut dormir le cul nu, la digue du cul

Nous dormirons le cul nu
Vous dormirez le cul nu
Nous dormirons le cul nu
Vous dormirez le cul nu
Le cul nu(x7)

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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

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