Poitiers, entre la Place d'Armes et la Place Briand, Mercredi 1er Décembre 2010, entre 09H50 et 10H50.
En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!
Poitiers, entre la Place d'Armes et la Place Briand, Mercredi 1er Décembre 2010, entre 09H50 et 10H50.
"Les journalistes disent qu'on dit que des conneries, alors maintenant je vais dire les leurs, ça va les promener!"
"Mais on s'autorise à penser dans les milieux autorisés..."
Retrouvez les deux précédents articles consacrés à Coluche, avec ICI les militaires et les sportifs (1977), et LA, le sketch de la révélation (C'est l'histoire d'un mec, 1974).
Est-ce pire que la clope-verre de blanc sec dès l'aube?
Poitiers, au Saint-Claude, Vendredi 6 Mai 2011, vers 09H15.
Monsieur Gaston, Samedi 21 Mai 2011, vers 20H45.
J'ai pas dit ça...sur les sportifs
"Sans le doping, le Tour de France pour arriver le 14 Juillet, il faudra qu'ils partent à Noël"
Les militaires
"Les gardiens de la paix, au lieu de nous la garder, ils feraient bien de nous la foutre: envisagé sous cet angle là..."
Et après on nous sort "En Avril, ne te découvre pas d'un fil"! Faudrait savoir à la fin!
Poitiers, le Vendredi 08 Avril 2011, rue Gambetta. 32° au soleil, et à 15H...
03/05/2011
La France métropolitaine a connu cette année un mois d’avril exceptionnellement chaud, sec et ensoleillé. Ces conditions remarquables résultent de l’influence persistante de conditions anticycloniques sur la métropole.
Avec une température moyenne supérieure de 4,0°C à la moyenne de référence (calculée sur la période 1971-2000), avril 2011 se positionne au deuxième rang des mois d’avril les plus chauds depuis 1900, derrière avril 2007 (+4,3°C) et loin devant avril 1945 (+2.8°C), 1961 et 1949 (+2,6°C). Ces écarts sont plus marqués pour les températures maximales de l’après-midi (+5,5°C) que pour les températures minimales de fin de nuit (+2,5°C). A l’exception de quelques jours plus proches de la normale autour du 15 avril, les températures quotidiennes se sont maintenues autour de valeurs bien supérieures tout au long du mois. Entre le 6 et le 11, elles ont même atteint des valeurs sans égal depuis 1947 pour une première quinzaine d’avril. Plusieurs records mensuels de température maximale quotidienne ont été battus dans la moitié sud de la France ainsi que dans les Alpes et localement en Bretagne.
Ce mois d’avril 2011 a aussi été exceptionnel par sa faible pluviométrie. Il se situe parmi les plus secs depuis 1959, à l’image des mois d’avril 1984 et 1982 (les précipitations sur la France n’avaient représenté que 29 % de la moyenne de référence établie sur la période 1971-2000), 1960 (36 %) et 1997 (37 %).
Le début d’année avait déjà été nettement déficitaire sauf sur les régions méditerranéennes. Ce nouveau déficit, conjugué aux fortes chaleurs, a conduit à une sécheresse extrême des sols superficiels pour une fin de mois d’avril sur la majeure partie du pays. La moitié nord de la France connaît ainsi des niveaux de sécheresse des sols superficiels jamais atteints fin avril au cours des cinquante dernières années. Les couches supérieures des sols réagissant vite aux précipitations, cette situation pourrait évoluer en fonction des pluies de ces prochaines semaines.
Indice d’humidité des sols au 30 avril 2011
Ecart pondéré à la moyenne 1971-2000
L’ensoleillement en avril a également été remarquable. Sur la quasi totalité du pays à l’exception de l’extrême sud, les durées d’ensoleillement ont été plus d’une fois et demie supérieures à la moyenne de référence établie sur la période 1991-2000. En Rhône-Alpes et dans quelques régions avoisinantes, des records d’ensoleillement pour un mois d’avril ont été battus sur certaines villes.
Prévisions saisonnières pour les mois de mai, juin et juillet 2011
Selon les modèles de prévisions saisonnières, en métropole, les températures moyennes devraient être plus chaudes que la normale tandis qu’aucun scénario ne se dégage pour les cumuls de précipitations.
Dans le hall d'entrée de l'Hôtel de Ville de Poitiers, Lundi 23 Mai 2011.
Le supplément de la Gazette des Communes, 9 Mai 2011, n°2077. Les Prix Territoriaux ont récompensé la ville de Poitiers concernant la mise en place de cette action en 2010.
PS: j'adresse mes félicitations à toutes celles et tous ceux qui ont participé et participeront à la bonne tenue de cette initiative, et plus particulièrement, à Abderrazak Halloumi, conseiller municipal délégué à l’accessibilité, au handicap et à la sécurité des établissements recevant du public.
Sport, expositions, ateliers, contes… pour sa deuxième édition, les Accessifs vont de nouveau investir la ville pendant quatre jours, du 25 au 28 mai, pour mettre, de façon festive, le handicap au coeur de la cité. Si cette année un accent particulier est mis sur la jeunesse, ce rendez-vous affiche toujours la même philosophie : aborder les questions de la prise en compte du handicap sous toutes ses formes et du rôle que chacun peut jouer.
Une trentaine de temps forts, notamment le mercredi à Blossac ou place Le Petit, animeront Poitiers et plusieurs communes de l’agglomération. L’occasion de valoriser les initiatives des acteurs de terrain qui agissent au quotidien pour favoriser les rencontres et changer le regard sur le handicap.
Erratum dans la programmation
Le 27 mai, Handicap : changer de regard, changer d’image… organisé par l’association “Dominer son handicap” aura lieu de 17h à 19h, au salon d’Honneur de l'Hôtel de Ville.
Contact :
Service Solidarité et cohésion locale Mairie de Poitiers
Tél. : 05 49 52 35 35
La Nouvelle République, vers la mi-janvier 1977.
Etait-ce le seul dossier du Président contre l'ancien boss du FMI?
Nicolas Sarkozy a-t-il en sa possession des missiles sur l'ensemble du personnel administratif et politique?
La pression des dossiers, la nouvelle terreur médiatico-politique, plus forte que la menace du contrôle fiscal!
| 24.05.11 | 11h29 • Mis à jour le 24.05.11 | 11h31
L'Elysée, bien plus que les médias, n'ignorait rien de la vie privée de Dominique Strauss-Kahn. Le pouvoir, alimenté par ses relais dans la police, sait tout des secrets les plus intimes des hommes politiques, jusqu'à user des informations graveleuses dont il dispose.
Ainsi, des proches de Nicolas Sarkozy avaient pris soin de laisser "fuiter" auprès du Monde, ces derniers mois, l'existence d'une note, rédigée peu avant la présidentielle de 2007, par un policier de la base. Quelques lignes signalant la présence de M. Strauss-Kahn, surpris en fâcheuse posture dans une voiture, à l'ouest de Paris, dans un haut lieu des rencontres tarifées, à l'occasion d'un banal contrôle.
Sollicités, ni la Préfecture de police de Paris ni le ministère de l'intérieur n'ont souhaité confirmer – ou démentir – l'existence de cette note. Trois sources différentes ont pourtant assuré au Monde que ce rapport avait existé, et qu'il avait été porté à la connaissance de l'entourage de M.Sarkozy.
Selon l'une de ces sources, l'original de cette note a été passé au broyeur. A l'époque des faits, il fut décidé, en haut lieu, de ne pas donner de suites à cette affaire sur le plan pénal – ou médiatique. Candidat malheureux à la primaire du PS fin 2006, DSK ne présentait pas alors le même enjeu pour le pouvoir. Et c'est en parfaite connaissance de cause que M. Sarkozy, une fois élu, le propulsa à la tête du Fonds monétaire international (FMI).
Mais ces derniers mois, au fur et à mesure de la progression de DSK dans les sondages, des hommes de confiance de M.Sarkozy se sont vantés devant des journalistes de "tenir" le patron du FMI, dont ils menaçaient de révéler les frasques. C'est ainsi que cette note a refait providentiellement surface. Au même moment, le chef de l'Etat se posait en "moine trappiste", par opposition à la réputation de coureur de jupons de DSK.
ÉQUIPE LA MIEUX RENSEIGNÉE DE FRANCE
C'est un fait : M.Sarkozy, depuis 2002, connaît certains aspects de la vie privée des personnalités susceptibles de présenter un jour un danger électoral. A son arrivée au ministère de l'intérieur, il a constitué une équipe de fidèles qui lui doivent tout. De Bernard Squarcini, patron de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI), à Claude Guéant, ministre de l'intérieur, en passant par Alain Gardère, directeur adjoint du cabinet de ce dernier, ou Michel Gaudin, préfet de police de Paris, cette équipe est la mieux renseignée de France.
Fin avril, DSK avait d'ailleurs identifié le danger, comme l'a rapporté Libération : son appétence pour les femmes, certes, mais surtout les méthodes supposées de M. Guéant, à l'origine selon lui de la propagation des rumeurs sur sa vie intime.
De tout temps, la police a été l'instrument du pouvoir. Avant d'accéder à la présidence de la République, François Mitterrand, Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy sont tous passés par la Place Beauvau. Lors de son retour à l'intérieur, en juin 2005, M.Sarkozy avait confié : "Je serai mieux protégé."
De fait, il en profita pour retourner l'affaire Clearstream en sa faveur, et surtout placer ses hommes aux postes clés. L'une de ses premières mesures fut de renvoyer Gérard Dubois, un conseiller du préfet de police – chiraquien – Philippe Massoni, accusé de s'être répandu sur la liaison de son épouse de l'époque, Cécilia, avec Richard Attias.
Il est vrai que les policiers, qu'ils appartiennent aux renseignements généraux (RG, désormais fondus dans la DCRI), à la sécurité publique, voire à la brigade de répression du proxénétisme, reçoivent des renseignements ultrasensibles. Ainsi, les patrons de boîtes échangistes ont pour coutume de signaler à la police – avec qui ils soignent leurs relations – la présence de personnalités politiques dans leurs soirées.
Etablissement connu du centre de Paris où le libertinage se célèbre au quotidien, Les Chandelles ont ainsi inspiré plus d'un "blanc" (note sans en-tête ni signature) aux RG. Les services sont aussi capables d'aller creuser des détails incongrus : durant la campagne présidentielle de 2007, les RG planchèrent ainsi sur le coût de la garde-robe de Ségolène Royal…
MÉCANIQUE EXTRÊMEMENT EFFICACE
Les renseignements les plus "utiles" remontent naturellement à l'Elysée. C'était déjà le cas sous d'autres présidences. Dans les années 1990, les RG enquêtèrent ainsi sur la vie privée de Bertrand Delanoë ou de Jack Lang. Des notes blanches furent même établies. Rien n'était étayé, mais plus d'un journaliste fut bénéficiaire de drôles de "tuyaux"…
Etiqueté chiraquien, Yves Bertrand, patron des RG de 1992 à 2004, joua un rôle central dans ce dispositif. Mis en cause pour s'être intéressé à la vie intime des politiques, il assume ses enquêtes très "privées", se voyant même "réhabilité" par l'affaire DSK, qu'il qualifie de "victoire posthume" ! "Je ne sais rien de l'affaire du Sofitel, mais de manière générale, cela prouve qu'il est légitime de s'intéresser à la vie privée des hommes politiques. D'ailleurs, on me commandait parfois des enquêtes pour savoir si une personne pressentie au gouvernement avait des fragilités", dit-il.
L'un de ses principaux interlocuteurs était Claude Guéant. "Lorsqu'il était directeur de la police (1994-1998) puis du cabinet du ministre (2002-2004), je lui rendais compte de tout. Il notait ce que je lui rapportais, y compris les éléments privés, dans des petits cahiers", affirme-t-il.
M. Guéant avait pourtant assuré en 2008 à Mediapart : "Concernant des éléments de vie privée relatifs à des personnalités, il n'en a jamais été question dans nos discussions." Arme de déstabilisation – ou de dissuasion – contre un adversaire menaçant, la "police des mœurs" sert, parfois, à défendre le président.
La DCRI a ainsi mobilisé ses forces en 2010 pour savoir d'où provenaient les ragots sur le couple présidentiel. Suspectée, Rachida Dati fut mise sous surveillance. Même les plus fidèles des sarkozystes ne sont pas à l'abri de cette mécanique extrêmement efficace.
Gérard Davet et Fabrice Lhomme
RADIO OLD SCHOOL
Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres
perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 (1972)