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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
Sur une idée originale de Alexandre Lafréchoux.
"Je m'intéresse au passé
car c'est là que j'aurais aimé vivre."
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Le Pourquoipaspédia

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En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!

 

Les Dossiers D'antan...

6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 08:33

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UNE GRANDE FETE AU PLATEAU DES ROCS LE 8 JUIN

 

Le comité d'intérêts locaux "La Roche-La-Cueille" invite la population poitevine à assister à la fête de l'inauguration de la passerelle qui aura lieu le 8 juin 1952.

Tous les habitants des quartiers de la Roche, de l'avenue de Nantes, et du plateau des Rocs ont réuni leurs efforts et ont tout mis en oeuvre pour organiser cette manifestation dont nous rappelons le programme.

Le matin: réception officielle à 10h. avec vin d'honneur, défilé de musique et lâcher de pigeons; l'après-midi: ouverture de la fête foraine à 14h par un défilé de musique. Grande course cycliste organisé par l'UVP. "Premier grand prix de la passerelle", épreuve de marche de 12kms, boulevard des Rocs, avec le concours des clubs de Civray et de Poitiers.Guignol gratuit, concours de bicyclettes fleuries et de voitures fleuries d'enfants; attraction diverses; bal de jour et de nuit; buvette; feu d'artifice à 22h.

D'autre part, les promeneurs pourront admirer du haut du plateau des Rocs de jolis sites sur la vallée de la Boivre et un panorama de toute beauté sur la vallée du Clain.

Poitevins, venez tous aux Rocs dimanche prochain, vous ne serez pas déçus.

 

Centre Presse, Vendredi 8 Juin 1952.

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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 11:28

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Royal entre dans sa voiture

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21 mai 2012 1 21 /05 /mai /2012 08:55

Passation de pouvoir avec M. Giscard d'Estaing, discours du Président Mitterrand, défilé sur les Champs-Elysées, cérémonie à l'Hôtel de Ville de Paris, défilé populaire, cérémonie du Panthéon, bals populaires,...

 

 
Soir 3 sur FR3, présenté par Dominique Baudis. Jeudi 21 Mai 1981.

 

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11 mai 2012 5 11 /05 /mai /2012 08:03

Bien que frappées en 1998, les premières pièces en euro furent datées de 1999

Durant 3 ans et demi, l'usine de frappe de Pessac (Gironde) fut un véritable fort Knox français!

 

 

Patrick Chêne, France 2, 13H, Lundi 11 Mai 1998.

Marc Authemann (oui, le mec de BFM TV), France 3, Soir 3, Lundi 11 Mai 1998.
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10 mai 2012 4 10 /05 /mai /2012 08:33

"  Le 14-Juillet de la gauche"

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En Une de la Nouvelle République, Lundi 11 Mai 1981.

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La Nouvelle République, Lundi 11 Mai 1981.

 

Le "changement" passait l'autre soir par la fête populaire...

 

Dans bien des villes dimanche soir, à l'annonce des résultats que l'on sait, c'est toute une foule en liesse qui s'est retrouvée pour célébrer l'évènement. Poitiers, sous sa banière socialiste, n'a pas échappé à la règle et en quelques minutes un véritable concert de cris, de klaxon et de sifflet s'est improvisé place d'Armes. D'abord des automobilistes, ensuite de nombreux motards, venus exprmier leur contentement en réalisat qu'ils échappaient à la fameuse vignette "deux-roues" et enfin tous les autres, investissant progressivement la place.

Les manifestations de joie, d'enthousiasme débordant, se traduisaient un peu plus tard par la mise en place d'un bal populaire tandis que le député-maire Jacques Santrot et quelques-uns des conseillers municipaux étaient félicités chaleureusement.

Etait-ce bien possible? Pour tous ceux qui espéraient un changement, et c'est à l'évidence ce qui réunissait toute une jeunesse dimanche soir, le vent du renouveau commençait à souffler.

"Enfin, la fête promise, jubilait un garçon d'une vingtaine d'année, en jean délavé, nous la tenons et il faut en profiter". Dans un élan unanime, tout le monde se retrouvait au pied de la sono, pour rire, "s'éclater", se rapprocher, sans se connaître. Dans une bonne humeur contagieuse on sautait, on dansait, et certains pleuraient...

Si quelques fois, au milieu d'une cohue, au cours d'un bal, on craint les mauvais coups, il n'était pas question de ça dimanche. Même si deux sympathisants empoignaient une fille ou un garçon, il s'agissait juste de les porter à bout de bras, pour peu qu'ils brandissent le portrait du nouveau président.

Ambiance bon enfant, vent du changement et vent d'une folie somme toute contenue, c'était le climat de rigueur ce soir-là! Derrière toute une jeunesse qui soufflait, chahutait, s'éveillait, les sihouettes habituelles de militants habitués, prenaient alors une autre dimension. Sans forfanterie, l'air juste satisfait, tous ces artisans, à leur mesure, d'un changement, regardaient dans l'arène....

Aux accents d'une musique aigrelette s'ajoutaient le ronron interminable des gros-cubs, les coups de klaxon tombant à chaque instant, pour ponctuer l'évènement. Oui, c'était la fête place d'Amres, toute modeste dans sa tenue, mais toute efficace dans son symbole. Pour une fois, la province se mettait au diapason de la capitale, mais gageons que même au siège du Parti socialiste (10, rue de Solfériono), le bonheur n'était pas plus grand, pas mieux partagé que dans ce petit coin du Poitou gagné lui aussi par cette fièvre du changement.

 

Gens-sur-drapeau-10-MAI-1981.JPGLiesse-a-Poitiers-1981.JPGFoule-danse-et-Santrot-Poitiers-10-MAI-1981.JPG"On a gagné!..". De 20 heures à l'aube, dimanche, place Leclerc, des centaines et des centaines de Poitevins, surtout des jeunes, rejoints un moment par l'équipe municipale, ont célébré dans la liesse "le 14 juillet de la gauche".

La Nouvelle République, Mardi 12 Mai 1981.

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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 14:23

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NOTRE TEMPS

 

EN MAI 1945

 

Un Châtelleraudais, Maurice Lhuillier "crapahutait" à Berchstesgaden (le nid d'aigle du Fürher)

 

Le 8 mai 1945 a été diversement vécu. L'ivresse de la liberté était quasi-générale. Les déportés retrouvaient le goût de vivre. Le sprisonniers réintégraient leur foyer. Avec une soif de fraternité telle que les liens "de maître à escalve" (selon la formule du philosophe) se sont bien souvent transformés en lien d'amitié.

En mai 1945 existait encore une autre France: la France combattante engagée dans la lutte ultime et marchant le front haut vers la victoire. Et c'est celle-ci qui va aujourd'hui retenir notre attention grâce au témoignage de Maurice Lhuillier qui dissimule derrière sa profonde modestie et ses occupations de paisible retraité de la résidence Gauguin, un ardent patriotisme affermi au coté des grands "capitaines".

Article-Maurice-Lhuillier-Mai-1981.JPG

 

Napperon-nazi.JPGMaurice-Lhuillier-Fanion-hitler.JPGLa Nouvelle République, Vendredi 8 Mai 1981.

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31 mars 2012 6 31 /03 /mars /2012 08:02

LOGO NR JUIN 1980

Le sang d'un président

 

Le président Reagan a la baraka. Après deux semaines d'hôpital et "quelques mois"  de convalescence, il devrait être complètement rétabli.

Son courage tranquille, sa crânerie, son humour autant que sa résistance physique - qui ne pouvait être mieux prouvée - devraient finir de réconcilier le peuple américain avec la fonction présidentielle si décriée depuis Watergate. M. Reagan n'était qu'un cow-boy de cinéma, mais il a su montrer qu'il était un homme de caractère en qui les Américains se retrouvent sublimés.

M. Giscard d'Estaing venait de regretter que les journalistes qui suivent ses pas l'empêchent de se mêler à la foule. C'est pourtant grâce aux journalistes qui entouraient M. Reagan - aussitôt relayés par les télévisions et radios du globe - que le monde a pu suivre le drame à mesure de son déroulement aussi bien que s'il était outre-Atlantique.

Non par curiosité morbide. Mais comme citoyen d'un monde où les Etats-Unis sont une superpuissance et leur président le deux ex machina du monde libre.

Instant après instant, se révèlèrent les rouages du mécanisme prévu pour qu'à aucun moment le géant américain ne soit privé de ses organes de direction. Le président était à l'hôpital mais s'y présentait debout, conscient, ayant à proximité la mallette contenant la "clé" de l'arme atomique. Le vice-président Bush était au loin dans le Sud. Il rentrait par le premier avion. Durant ce temps, le secrétaire d'Etat Haig veillait à la Maison-Blanche. On devinait dans l'ombre d'autres personnalités hierarchiquement prêtes si nécessaire à prendre le relais.

Aucune panique, aucune parenthèse qui puisse autoriser une attaque surprise ou une aventure intérieure contre la démocratie américaine.

Avant l'attentat, le monde s'inquiétait pour la Pologne fourbissait des menaces, des ripostes et se posait de sérieuses questions sur la réalité de la détente et de la paix.

Quelques coups de feu tirés par un détraqué faisaient l'effet d'un électro-choc. De toutes les capitales, notamment du Kremlin, partaient des flots d'indignation contre un acte criminel et des messages de voeux au président Reagan.

C'était comme si tout à coup chefs d'Etat, diplomates, militaires et peuples de tous pays se rendaient compte que leurs politiques, leurs calculs, leurs rêves d'expansionnisme, de nationalisme, de militarisme, n'étaient pas que des concepts abstraits, des statistiques des budgets, des dossiers froids. La politique, c'est aussi et même avant tout les hommes.

Puisse le sang versé par le président américain pour rappelé les horreurs de la violence et de l'intolérance, avoir la vertu d'éviter que beaucoup d'autre coule.

 

Michel GUERIN

 

Une-NR-1er-avril-1981-ROC-REAGAN.JPG 

Une-NR-1-avril-1981.JPG

Un garçon insignifiant, dont ses relations ne gardent que peu de souvenirs mais atteint de problèmes psychologiques certains: tel est John Warnock Hinckley l'auteur de l'attentat contre le président Reagan.  Ce fils de bonne famille, ancien membre d'un mouvement néo-nazi s'est glissé dans un groupe de journalistes pour attendre la sortie du président américain. Il a eu le temps de tirer six fois, de toucher quatre personnes avant de recevoir la meute des agents secrets sur lui en formant ainsi cette tragique mêlée au milieu de hurlements et d'une confusion extraordinaire. Mais déjà la limousine du président fonçait ver l'hôpital Georges-Washington. (Photo U.P.I. et A.P.)

 

Bonne-sante-de-Reagan.JPGPortrait-de-John-Hincley.JPG

 

La-scene-de-l-attentat-Reagan-1981.JPG  

"On ne peut pas réagir plus vite qu'une balle"
La-securite-aux-USA-et-malediction-annee-en-zero.JPG 

La Nouvelle République, Mercredi 1 er Avril 1981.

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30 mars 2012 5 30 /03 /mars /2012 10:22

LOGO NR JUIN 1980

Une-NR-attentat-reagan-1981.JPG

Quelques secondes après les coups de feu, deux agents des services secrets entraînent le président Ronald Reagan dans la Limousine blindée qui filera vers l'hôpital (photo du haut). Das un premier temps, on avait annoncé que le président n'était pas blessé, mais très vitre on devait apprendre qu'il avait reçu une balle dans le poumon gauche. Dans les secondes qui ont suivi les coups de feu, et qui ont été filmées par une télévision, une extrême confusion a marqué la scène de l'attentat. On a vu des agents de la sécurité, arme dégaînée, courir en hurlant des ordres. plusieurs policiers se sont littéralement jetés sur l'assaillant, qui a disparu sous eux (photo du bas). (A.P et U.P.I.)

 

ATTENTAT CONTRE REAGAN

 

Le président touché au poumon

Trois autres personnes blessées

 

Le président Ronald Reagan a été touché au côté gauche par une balle tirée contre lui hier soir à Washington.

Le président, 70 ans, se trouvait à l'hôpital, conscient et dans un état "stationnaire" avec sa femme à  ses côtés une heure après l'attentat.

Il était environ 14H30 locales lorsque M. Reagan, qui sortait d'un grand hôtel de Washington où il venait de prononcer un discours devant les syndicalistes, a été pris pour cible, à trois ou quatre mètres de distance, par un homme blanc.

Entre quatre et six coups de feu ont claqué. En l'espace de trois secondes, le président était poussé dans sa limousine noire par les agents de la sécurité, tandis que trois blessés s'effondraient à quelques pas de M. Reagan sur le trottoir.

Le poumon gauche du président Reagan a été touché par une balle qui l'a blessé, a indiqué un médecin de l'hôpital George Washington.

L'auteur de l'attentat contre le président Reagan s'appelle John Warnock Hinckley, a annoncé le service secret de la Maison-Blanche. Il est âgé de 22 ans et il est originaire d'Evergreen, dans le Colorado.

Selon un caméramen qui se trouvait à proximité, l'assaillant a tiré à un peu plus de trois mètre de M. Reagan. M. Brady, le porte-parole de R. Reagan, a été touché au front.

L'examen d'une bande vidéo tournée pendant la scène montre M. Brady étendu sur le sol à quelques mètres de l'entrée de l'hôtel. Il a du sang près de sa tête.

Le vice-président George Bush, qui se trouvait au Texas, a pris l'avion pour rentrer d'urgence à Washington. Ala Maison-Blanche, des membres du personnel ont pleuré en apprenant l'attentat.

Dans les secondes qui ont suivi les coups de feu et qui ont été filmés par la télévision une extrême confusion a marqué la scène de l'attentat. On a vu des agents de la sécurité, arme dégaînée, courir en hurlant des ordres.

Plusieurs policiers se sont littéraleemnt jetés sur l'assaillant, qui a disparu sous eux.

Selon les premières informations, provenant du proche collaborateurs du président américain, un agent des services de renseignements et un policier ont également été atteints.

Le président Reagan est sorti de la salle d'opération sans que la balle ait été extraite de son poumon gauche.

L'hémorragie que sa blessure avait provoquée a été stoppée. Les médecins ont toutefois préféré pour l'instant  laisser la balle dans le poumon pour ne pas risquer d'aggraver son état. L'intervention chirurgicale a duré environ une heure et demie.

Les médecins traitant le président ont décrit son état comme "bon". Selon eux, "rien n'indique que le coeur ait été touché".

Alors que les médecins commençaient à opérer le président Reagan, vers 23H15, on apprenait que l'état de santé de M. James Brady, son secrétaire de presse, était considéré comme "extrêmement sérieux".

Dans un premier temps, sa mort fut annoncée puis cette information fut démentie.

 

La Nouvelle République, Mardi 31 Mars 1981.

 

IT1 NUIT

Lundi 30 Mars 1981

Présentation Jean-Marie Cavada

Commentaire Dominique Bromberger

Un direct...décalé d'environ une heure.

 

Antenne 2, 20H
PPDA
Mardi 31 Mars 1981
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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

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