Le plus long 100 mètres de l'Histoire de l'athlétisme!
Championnats du Monde d'Athlétisme Paris 2003, France 2, Bernard Faure et Patrice Montel, Dimanche 24 Août 2003.
En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!
Le plus long 100 mètres de l'Histoire de l'athlétisme!
Championnats du Monde d'Athlétisme Paris 2003, France 2, Bernard Faure et Patrice Montel, Dimanche 24 Août 2003.
L'écrasement du "Printemps de Prague" se solde par plusieurs dizaines de victimes
2ème chaîne de l'ORTF, 26 Septembre 1968.
Le Printemps de Prague : des origines à la "normalisation"
40 ans après l'invasion de 1968
RTBF, 21 Août 2008.
L'ancien constructeur de voitures Lucien Rosengart est mort subitement dans la nuit de lundi à mardi à Villefranche-sur-Mer, près de Nice.
Originaire de Paris, Lucien Rosengart s'était retiré en 1959, fortune faite dans une propriété près de La Darse, à Villefranche où il s'est éteint à l'âge de 96 ans. Il s'adonait à la peinture depuis sa retraite et avait exposé pour la dernière fois à Roquebrune-Cap Martin en décembre 1974.
C'est en 1928 que Lucien Rosengart lança sa petite "4CV" qui conaît un succès foudroyant jusqu'en 1940. Auparavant, il avait commencé à faire fortune en commercialisant une invention pour le chemin de fer métropolitain en 1902. En 1914, il avait perfectionné le système explosif des obus français et s'était associé à Citroën pour en fabriquer jusqu'à cent mille par jour.
Après la guerre, il devint directeur chez Citroën mais dès 1929, il fonda sa propre usine qui sortit la première "Rosengart", la "4CV". En 1954, il créa la traction avant, dont il a eu l'idée, dit-il enétudiant une brouette. On lui doit aussi l'invention de ce qui sera la ceinture de sécurité, le cataphote, la scie à moteur et le jeu de "Baby foot". Enfin, c'est lui qui fut le créateur du Salon nautique de Paris dans les années 20.
(Notre photo A.G.I.P.)
Centre Presse, Fin Juillet 1976.
Le Tourmalet, "mauvais détour" en vieux gascon, fatal à Eugène Christophe (1885-1970)!
Tout premier porteur du Maillot Jaune (crée en 1919) à Grenoble, il n'est jamais parvenu à remporter le Tour de France, bien qu'ayant remporté trois étapes en 1912
Histoires des bords de route, France 2, 2013.
Par curiosité, je me suis permis de jeter un oeil sur la presse locale de la Vienne: rien du tout dans l'Avenir de la Vienne, qui est surtout préoccupé par la politique, la loi des 3 ans (du service militaire), les tensions aux Balkans. Les seuls sport évoqués, après les brèves locales et à proximité des prix des marchés (bétail, céréales,...), sont l'automobile, et surtout l'aviation, dont le quotidien relate alors quasi-quotidiennement des accidents survenus ici et là dans le monde.
Toutefois, chez son conccurent, Le Courrier de la Vienne et des Deux-Sèvres, l'actualité est très semblable (évidemment, pas de photos à cette époque, des Unes là aussi en cinq colonnes), mais tout de même un bref filet dans l'édition du Lundi 28 Juillet 1913 (64ème année, N°174):
"La rude épreuve du Tour de France cycliste a été gagnée par Thys, qui a parcouru les 5.400 kilomètres en 197 heures 54 minutes."
C'est très furtif. L'amateur poitevin de courses cyclistes devait acquérir alors le journal l'Auto (fondateur et organisateur du Tour de France depuis 1903) pour avoir des nouvelles des exploits de ce que l'on nommera quelques années plus tard "les Forçats de la route". A signaler que des "forçats" sont tout de même évoqués: mais il s'agit des...bagnards qui s'apprêtent à prendre e chemin de Cayenne.
Constatons par ailleurs qu'en ces temps de montée en puissance du nationalisme, la patrie d'origine du vainqueur n'est pas évoqué. En effet, Philippe Thys était un coureur...belge. Le second est un Français (à 8 minutes 37): Gustave Garrigou, vainqueur du Tour 1911, devant un autre Belge, Marcel Buysse à 3 heures 30 minutes.
Eugène Christophe est cependant allé au bout de ce 11ème Tour de France. Il termine à la 7ème place, à plus de 14 heures du vainqueur.
Notons pour conclure que sur 140 partants de Paris le 29 juin, seuls 25 coureurs ont rallié Paris le 27 juillet 1913. Dont le malheureux, mais héroïque Eugène Christophe.
Au cours de chacun de ses discours, le général de Gaulle salue la foule de son geste familier. Ici, la décoration florale de la tribibune s'harmonise avec le mouvement des bras. (A.F.P.)
QUELQUES ECHOS
QUE DE ROSES!
Hier, dans de très nombreuses localités traversées, Mme de Gaulle s'est vu offrir des bouquets de roses par des fillettes ou des jeunes filles.
En fin d'après-midi, sa voiture était pleine de ces bouquets...et du parfum subtil qu'ils dégagaient.
DEUX RECORDS BATTUS A NIORT
Niort a certainement battu hier deux records: celui de la densité de la foule sur les lieux où le Président a prononcé son discours et celui du nombre de personnes qui ont repris avec lui "La Marseillaise".
Remarqué, en particulier, au premier rang des spectateurs: six religieuses qui entonnaient de bon coeur l'hymne national.
ST-MAIXENT AVAIT PENSE AUX JOURNALISTES
Pour la première fois depuis le début de ce voyage présidentiel, une municipalité avait pensé que les journalistes sont aussi des automobilistes et que leur métier les oblige, surtout en cette occasion, à des déplacements rapides.
Saint-Maixent avait fait réserver un parking pour les représentants de la presse. Bravo et merci, Saint-Maixent!
OU LOGERONT-ILS?
Le général de Gaulle, Président de la République, à la Préfecture où les appartements de M. le Préfet ont été mis à sa disposition. La chambre à coucher, où a été monté, avant-hier, le lit présidentiel fabriqué spécialement à Bignoux, donne sur les jardins.
M. Frey, ministre de l'Intérieur, sera également l'hôte de M. le Recteur. M. Marcellin, ministre de la Santé publique, aura regagné Paris.
SUR LE LIVRE D'OR
Le Chef de l'Etat apposera son paraphe au-dessous de cette phrase du président Herriot, tirée du Livre III d'"Agir": "Les nations ont le sort qu'elles se font. Rien d'heureux ne leur vient du hasard, ceux qui les servent sont ceux qui développent leurs forces profondes".
(...)
LES VOITURES
Trente "Chambord" noires forment, derrière la voiture présidentielle, le cortège officiel. Mais il y a alternance avec des "D.S.". Ce cortège s'étale sur 3 kilomètres 500.
A NIORT
(...)
Immédiatement, le Président de la République se divise vers elle. C'est alors une véritable ovation. Il sert les mains qui se tendent vers lui. Une femme, qui rompt le barrage des CRS, se précipite sur le Chef de l'Etat et baise sa manche.
Centre Presse, Samedi 15 Juin 1963.
NB: évidemment, tout cela n'est qu'un maigre condensé de tout ce que l'on peut lire dans les très riches archives de Centre Presse, journal totalement...en manque d'objectivité à cette époque. Mais le Général se répète beaucoup (ce que personne ne lui reproche bien entendu), ce qui a pour conséquence d'enchaîner les banalités (la paix, l'Europe, la France, les instituins, l'avenir,...), rythme médiatique qu'il serait très peu évident de tenir de nos jours...
Une tournée franchement populaire pour un président qui commence à se répéter de villes en villes...
A la Une de Centre Presse, Vendredi 14 Juin 1963.
On rencontre tout au long, des haies de population devant lesquelles passe le cortège mais il faut des circonstances assez exceptionnelles pour qu'un côté de la rue soit formé de premières communiantes. C'est ce qui s'est produit, hier à Barbezieux où le Président de la République eut l'occasion de féliciter une jeune fille dont la confusion et la rougeur n'étaient que plus apparentes dans la blancheur de son aube.
(...)
La capitale du pineau
A Saint-Ciers-Champagne, le Général de Gaulle prend congé de M. Wolf et salue le préfet de la Charente-Maritime, M. Claude Massol, ainsi que les parlementaires du département.
10H55, c'est l'arrivée à Jonzac, vieille ville qui ne devint définitivement française qu'au XVème siècle, après avoir été reconquise par Charles VII en personne. Son histoire est intimement liée à celle de son manginfique château, dont la construction a commencé au XIème siècle et qui a hébergé Henri IV, Louis XIII et Louis XIV.
A l'entrée de la ville, au-dessus de la route, une large banderole proclame: "Jonzac, capitale du Pineau, souhaite la bienvenue au général de Gaulle".
(...)
Cette magnifique jeunesse
De Gaulle gagne le podium, dressé place du Château, sous les appaludissement interminables.
Il va dire à la France les tâches qui s'imposent:
"Au dedans, cela s'appelle le progrès, l'expansion. Il y a des régions plus avancée que d'autres dans cet élan qui nous entraîne. L'expansion est une nécessité, une ambition. Le pays tout entier en est peu à peu l'objet.
Le général de Gaulle insiste sur les changements qui se sont opérés dans le pays. "La France tout entière, dit-il, s'accroît en nombre: toute cette magnifique jeunesse est le signe du changement humain qui s'est opéré dans notre pays. Notre pays s'accroît aussi en moyens, en puissance d'abird. Notre industrie, notre agriculture se modernisent. Notre pays a su cesser de s'absorber lui-même des tâches lointaines de colonisation périmée. Il a remplacé cette colonisation par une coopération moderne.
Puis le Président de la République, rappelant que la France n'est plus en guerre ajoute: "Naturellement, nous avons des armes. Nous sommes en train d'en faire. Mais il ne s'agit pas de les employer contre d'autres, dès lors qu'on ne nous attaque pas".
(...)
Une résistante: Mme Combes
A Pons, petit bourg bâti surune colline dominant la rive gauche de la Seugne, le général de Gaulle peut saluer devant la gare, Mme Combes, âgée de 85 ans, qui prit une part active à la résistance dans la région.
Mme Combes - qui arbore la Légion d'honneur, la Croix de Guerre et la Médaille de la Résistance - n'est autre que la fille de l'ancien président du Conseil du début du sicèle Emile Combes qui fut député-maire de Pons.
"Vous avez été une résistante exemplaire, Madame, lui dit le Chef de l'Etat. Je me souviens d'ailleurs de vous avoir déjà rencontrée, à Saintes je crois".
"Oui, répond Mme Combes, c'était bien à Saintes et c'était bien en 1944".
Aux côtés de Mme Combes se tenait la doyenne de Pons, Mme Margain, qui est entrée dans sa 100e année que le général félicite.
Un cadeau est offert au Président de la République: une énorme boîte de "colibris", succulents petits gâteaux, spécialité du pays.
(...)
Le général de Gaulle à Saintes, Centre Presse, Samedi 15 Juin 1963.
De Gaulle Louis XIV et les perdreaux
La scène se passe dans le cabinet du maire de Jonzac.
"Notre ville n'avait reçu aucun monarque ou chef d'Etat depuis trois cents ans", dit le maire, M. Henri Chat-Lecussol, au général de Gaulle.
"Mais avant, elle avait eu l'honneur de recevoir la visite d'Henri IV, de Louis XIII et de Louis XIV".
-"Louis XIV, interroge le général de Gaulle, qu'est-il venu faire ici?"
"Il allait à son mariage, répondit le maire. Il a diné et couché ici. Des perdreaux lui ont été servis et il les a trouvé forts bons".
- "Parbleu, répond le général, il ne pouvait que les trouver excellents. Il allait se marier.Il était donc plein d'optimisme".
A Rochefort:
il faut être maître de soi
Le général de Gaulle, à son arrivée à Rochefort, est accueilli avec chaleur par la foule rassemblée sur la place Colbert.
A pied, entre une double ahie de matelots et d'aviateurs, il gagne l'Hôtel de ville où lui sont présentés, avant son allocution, les membres du Conseil municipal et les notabilités locales.
Quelques instants plus tard s'adressant à la foule, il déclarait:
"Il faut que nous nous assurions des moyens de défense proprs à faire en sorte qu'on ne nous attaque plus, et pour dissuader qui que ce soit de nous attaquer.
Il faut qu'au dehors la France joue son rôle dans la grande entreprise internationale. Il s'agit du maintien de la paix, élément absolument nécessaire de survie à notre espèce. La France y participe avec sa raison. Naturellement, la France ne se précipite pas sur toutes les routes que quelqu'un, par-ci, par-là, semble vouloir lui ouvrir comme à d'autres. Elle a assez d'expérience pour savoir qu'en la matière il faut être maître de soi et savoir ce que l'on veut".
Centre Presse, Vendredi 14 Juin 1963.
Le général de Gaulle à Surgères, le 14 Juin 1963, Centre Presse, Samedi 15 Juin 1963.
A la Une de Centre Presse, le Jeudi 13 Juin 1963.
"La tâche qui est la mienne, dit-il, aura son terme. On se préoccupe de savoir ce qui arrivera après.
C'est assez naturel et normal de la part de beaucoup. Je m'en préoccupe un peu moins, parce que je sais, pour l'avoir expérimenté à travers beaucoup d'évènements, que la solution du problème des Français n'est jamais dans les combinaisons, les arrangements, elle est dans les Français eux-mêmes, et que dans ces Français, j'ai confiance.
Tout ce que j'ai à faire, avec ce pays et souvent à sa tête, m'a confirmé dans cette conviction.
"Si j'avais besoin, dit-il en conclusion, d'une preuve de plus, aujourd'hui, vous me l'aurez fournie à Cognac, par le spectacle émouvant de cette unité nationale que vous offrez à tous les yeux..."
Il y avait, en effet, à ce moment, sur la place François Ier de Cognac, un foule considérable et une longue ovation salua son discours. Mais revenons au début de cette première journée du voyage.
La plus émouvante étape de cette journée du voyage présidentiel s'est située à Chasseneuil où le général de Gaulle a tenu à visiter le Mémorial du cimetière national et à s'incliner devant les centaines de tombes qui marquent le sacrifice de nombreux Français? Voici le président de la République, accompagné de sa suite, aors qu'il parcouriar les allées du champ de repos. (Photo C-P)
L'arrivée à Cognac
L'avion DC 6 du général de Gaulle avait quitté l'aéroport de Villacoublay à 10h05. Le Chef de l'Etat était accompagné de MM. Roger Frey, ministre de l'Intérieur, et Alain Peyrefitte, ministre de l'Information.
Le DC 6 atterit à 11H12 sur l'aérodrome militaire de Cognac, la base-école 709.
Au pied de la passerelle, le Président de la République fut accueillit par le préfet de la Charente, M. Jean Wolf, le commandant de la 4ème région militaire, le général Delteil, le commandant de la 3ème région aérienne, le général Fabre, le commandant de la base de Cognac, le colonel Lepeu et M. Felix Gaillard, député de la Charente, ancien président du Conseil et ancien président du parti radical.
Après avoir écouté la "Marseillaise" executée par la musique de la région aérienne, le Chef de l'Etat passa en revue les troupes qui rendaient les honneurs: un détachement des élèves pilotes de l'aéronavale, un détachement des élèves pilotes de l'Armée de l'Air et trois sections du bataillon de l'Air de la base de Cognac. Derrière les troupes étaient alignés six appareils T6 qui sont des avions écoles
Avant de monter en voiture, le général de Gaulle salua plusieurs personnalités.
(...)
En saluant les personnalités venus l'accueillir à l'aérodrome, le général de Gaulle s'étant adressé plus particulièrement à M. Félix Gaillard, ancien président du Conseil: "Heureux de vous voir Monsieur le Président. Heureux de revoir la Charente? Comment va Mme Gaillard?".
Premières acclamations
Dans la ville moderne où l'on aperçoit de-ci, de-là, les chais de marques célèbres de Cognac, c'est sous une véritable voûte de drapeaux, guirlandes et écussons, que le Chef de l'Etat passe, pour se rendre à l'Hôtel de ville, situé dans un superbe parc fleuri et ombragé.
A sa descente de voiture, le général de Gaulle, selon sn habitude, se mèle à la foule qui l'acclame et, tout souriant, commence par serrer quelques dizaines de mains.
Une vieille fine de Champagne
A l'Hôtel de ville le Président de la République se rend tout d'abord dans le cabinet du maire, où celui-ci lui rmet le premier cadeau du voyage: un écrin dans lequel sont placés deux magnifiques flacons en cristal de baccarat contenant, bien sûr, une vieille fine de Champagne.
(...)
Souvenirs de 1914 et de 1944
"Il y a des souvenirs qui m'attachent à votre ville, dit tout de suite le général de Gaulle. Je m'y suis trouvé en différentes occasions, et notamment lors des drames de la France. J'y suis venu tout jeune, en 1914 et en 1915, entre les blessures reçues au front. Le dépôt de mon régiment se trouvait ici, et c'est d'ici que je repartais pour le combat.
"J'ai été voir la ville et j'y ai été reçu au moment de la libération du pays, lorque nous constituions ce Front de l'Atlanqtique qui fut un front victorieux.
"J'y suis retourné après la victoire, la victoire remportée sur les rives de l'Atlantique par les troupes, celles qui sortaient du maquis et celles aussi qui venaient d'ailleurs et qui, sous le commandement de Larminant, ont vaincu l'ennemi sur ce terrain même..."
(...)
Le déjeuner dans l'autorail
L'autorail s'arrête dans la petite gare de Queroy-Pranzac et s'immobilise pendant trois-quarts d'heure pour permettre au général de Gaulle de prendre son repas dans son compartiment, seul avec Mme de Gaulle.
Au menu: turbotin au Chablis; selle de veau Florentine; petits pois à la Française; fromages.
(...)
A Angoulême, la foule de la place Bouillaud. Centre Presse, Vendredi 14 Juin 1963.
Garder notre cohésion nationale
"C'est le moment de nous reprendre, de regarder en avant et de nous pénétrer de cette idée: si nous revenions aux erreurs et aux divisions qui, plusieurs fois, ont failli nous emporter tous très vite, les crises reviendraient et bientôt le danger et sans doute la catastrophe", a déclaré le général de Gaulle dans le discours qu'il a prononcé ce soir à Angoulême, place Buillaud, proche de l'Hôtel de ville.
"Nous sommes convaincus, a-t-il pousuivi, que ce que nous avons de mieux à faire, c'est de garder, dans la période historique que nous traversons, notre cohésion nationale, c'est-à-dire un sentiment, une volonté, qui mettent au-dessus de tout l'intérêt national. Il peut y avoir des combinaisons, des prévisions, des agitations par la suite. Vous voyez ce que je veux dire...Mais moi, je suis convaincu que la sagesse, décidément acquise par le peuple français, je suis persuadé que, moi-même disparu, la France continuera forte, consciente d'elle-même, cohérente et résolue. Et jamais je n'ai rencontré une démonstration plus éclatante de ce que je dis ce soir, à Angoulême. Il y a quelques chose pour moi, d'inoubliable, de réconfortant, de décisif."
Centre Presse, pages région, Jeudi 13 Juin 1963.
En moins de 100 heures, un vétitable marathon présidentiel pour un homme âgé de 72 ans!
Centre Presse, Mercredi 12 Juin 1963.
Retrouvez l'annonce de la venue du Président de la République en région Poitou-Charentes dans Centre Presse le Jeudi 6 Juin 1963.
RADIO OLD SCHOOL
Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres
perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 (1972)