Poitiers,Samedi 20 Mars 2010, vers 18H.
En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!
Le Coq de France a taillé en pièces la Rose des sujets de sa Majesté en punissant l'Anglais avec son propre jeu: le coup de pied!
La France gagne à l'anglaise, l'Angleterre perd à la française: c'est le monde à l'envers!
Le Tournoi 2010 se rajoute aux Grands Chelems de 1968, 1977, 1981, 1987, 1997, 1998, 2002 et de 2004
AFP | 21.03.10 | 10h55
Plus de 8,3 millions de téléspectateurs ont salué samedi soir, en direct sur France 2, la victoire de l'équipe de France de rugby face à l'Angleterre, pour le grand chelem du Tournoi des VI Nations 2010, a indiqué la chaîne dimanche dans un communiqué.
Le match s'est placé "largement en tête des audiences de première partie de soirée, battant même le record d'audience de France 2, tous programmes confondus, depuis le début de la saison", a précisé la chaîne.
Un pic d'audience a été atteint dans le dernier quart d'heure de la rencontre, avec plus de 9,5 millions de téléspectateurs et 42,7% de part d'audience.
La remise du trophée a, quant à elle, été suivie par près de 8,2 millions de téléspectateurs.
Le match a également été, pour la première fois, diffusé en 3D dans une trentaine de cinémas en France.
NB: petite politesse envers les joueurs du XV de la Rose: "Good game Messieurs les Anglais"!
Parmi les grands noms de l'équipe de France de ce Tournoi 2010, on retrouve, mentionné dans l'équipe du Tournoi du journal britannique The Independent tout la 1ère ligen française (Domnigo, Mas, Servat), ce bon vieux Lionel Nallet, Dusautoir et la force basque Harinordoquy, le "petit general" (écrit ainsi dans le journal) Morgan Parra et enfin, le trois-quart Jauzion et le N°15, l'éternel Clément Poitrenaud.
Une vie? Non, seulement une décennie!A l'entrée de Poitiers-Saint-Benoît rue Delaunay, Dimanche 14 Mars 2010.
Cette crise du SME avait été déclenchée par la victoire du non au référendum danois sur le traité de Maastricht, puis par les incertitudes sur l'issue du vote français et son résultat très faiblement positif. La sortie de la livre avait été suivie par celle de la lire italienne, tandis que la peseta espagnole et l'escudo portugais étaient dévalués, suivis par la livre irlandaise.
La France et l'Allemagne avaient néanmoins joint leurs efforts pour intervenir sur le marché des changes. La Banque de France avait massivement emprunté des Deutsche Marks à son homologue pour les vendre contre des francs. Il s'agissait d'empêcher l'éclatement du SME, pour ne pas compromettre la réalisation ultérieure d'une monnaie unique, et de faire preuve de solidarité entre les deux partenaires, alors que l'Allemagne entamait son coûteux processus de réunification.
Mais l'économie française, en pleine récession, avait subi les effets de cette bataille du franc fort, en raison du relèvement des taux d'intérêt pour contrer la spéculation et de la compétitivité gagnée par les partenaires européens en dévaluant leur devise. Le franc continuait d'être attaqué, notamment en janvier 1993, puis surtout au cours de l'été. En août, le "compromis de Bruxelles" décidait d'élargir fortement les bandes de fluctuations autorisées au sein du SME (de plus ou moins 2,25 % à plus ou moins 15 % autour du cours pivot) afin de calmer les tensions, offrant ainsi une demi-victoire aux spéculateurs.
Aujourd'hui, George Soros plaide pour "des régulations de portée internationale" afin d'endiguer la toute-puissance des marchés. "Cela m'aurait enlevé quelques possibilités de faire de l'argent", reconnaissait-il d'ailleurs dans un entretien mardi 9 mars sur la chaîne de radio publique américaine NPR.
Dans La Vérité sur la crise financière (Denoël, septembre 2008, 212 pages, 18 euros), M. Soros écrit aussi : "L'idée que la gestion du risque puisse être laissée aux mains des acteurs eux-mêmes est une aberration. Il existe des risques systémiques qu'il appartient aux autorités de régulation de gérer, et elles doivent disposer, pour ce faire, de l'information adéquate. Les acteurs, y compris les hedge funds, les fonds souverains et les autres entités non régulées, doivent la leur fournir, quoi qu'il leur en coûte en argent et en confort. Ce coût est insignifiant au regard d'un effondrement du système."
Mais les leçons de la crise des subprimes comme de celle du SME peinent à entrer dans les faits. Ne serait-il pas temps que les Etats prennent M. Soros au mot ?
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Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres
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Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
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DEODATO
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Album:
OS CATEDRATICOS/73 (1972)