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Spirit of the 1970's

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Articles, Photographies de Ludovic Bonneaud.
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Les Dossiers D'antan...

9 mars 2010 2 09 /03 /mars /2010 10:34
Mais elles sont globalement en baisse dans le reste en l'Hexagone: la France est passée à côté de l'occasion de rénover ses stades pour le Mondial 98!

A BORDEAUX: UN GRAND STADE POUR UNE GRANDE EQUIPE!

Cartouche de Centre Presse, Fin Février 1965


SUDOUEST.COM

Vendredi 05 Mars 2010


EQUIPEMENT. Les défenseurs du projet du Grand stade de Bordeaux peuvent se réjouir : parmi les clubs engagés en Ligue 1, les Girondins sont les seuls à voir leur nombre de spectateurs augmenter.

Affluence en baisse dans les stades français… Sauf à Chaban-Delmas !

Entrée des équipes de Bordeaux et de Lyon, Bordeaux, Stade Jacques Chaban-Delmas, Dimanche 19 Avril 2009, vers 20H55.

 

Le Championnat de France accuse une baisse globale de fréquentation de 3,8 % par rapport à la saison dernière,c’est ce que rapporte L'Equipe aujourd’hui.
La moyenne record de 2,42 buts par match, même si elle n’est pas toujours gage de qualité, n’aura donc pas suffit à remplir les stades.

Mais Bordeaux est l’exception qui confirme la règle. Le stade Chaban-Delmas affiche bonne mine : de 24 247 à 29 654 spectateurs de moyenne en quatre ans, pour une capacité d’accueil de 34 694 personnes. Soit un bond du taux de remplissage de 71 à 85 %. De meilleurs résultats que le Vélodrome de Marseille par exemple, descendu de 87 à 83 %. S’il est vrai que les Girondins de Bordeaux sont en forme en ce moment, il serait malvenu de tout expliquer à l’aune des résultats de l’équipe. Pour preuve, les clubs de Montpellier et d’Auxerre, bien classés en Ligue 1, et dont les stades affichent pourtant un très mauvais niveau de fréquentation.


Un argument pour les défenseurs du grand stade

 

Voilà qui pourrait alors être un argument de poids pour les défenseurs de la création du Grand Stade, dont la côte a récemment baissé. Un sondage commandé par la communauté urbaine de Bordeaux à l'Ifop révélait en effet il y a quelques jours que 48 % des habitants de l'agglomération étaient favorables au projet. Or, ils étaient 61 % il y a trois mois.

Initialement estimé à 200 millions d'euros, le projet de Grand Stade a successivement vu son budget passer à 180 millions, puis à 165 millions d'euros. A l’exception du Conseil Général, toutes les collectivités locales devraient mettre la main à la poche. Le club des Girondins de Bordeaux amènera 100 millions d'euros, l'Etat 20 millions et les 45 manquants seront amenés à un tiers chacun par la région, l'agglomération et la ville. Or, un problème se pose : les services de la Communauté urbaine de Bordeaux, chargés d'aménager les futures dessertes vers le stade situé dans le quartier du Lac, ont déjà évalué les travaux à 25 millions d'euros. « Pour ce qui nous concerne, nous attendons de voir quelle est la nature du projet de grand stade afin de se repositionner », confiait la CUB.

Actuellement, dans le cadre de la procédure d'appel à projet lancée par la mairie de Bordeaux, les candidats à la construction, entreprise de BTP et architectes, sont en train d'affiner leurs offres. Objectif : rentrer dans l'enveloppe de 165 millions. Il faudra attendre mai pour que les candidats à la construction rendent leur copie. Ils diront si oui ou non un tel édifice est envisageable avec les 165 millions actuellement sur la table.

Auteur : Mélanie Vives
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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 12:53
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7 mars 2010 7 07 /03 /mars /2010 14:21
Gaulliste, il fut le présentateur vedette du JT de TF1 au temps des années Giscard!

De 1975 à 1981: "TF1 20 Heures avec Roger Gicquel"
Pub-pompes-funebres-Roger-Gicquel.JPGPoitiers, Route de Chauvigny, 6 Décembre 2007, vers 15H40.

Je serai assez bref sur cette personnalité qui a mon sens devrait faire office de modèle dans la profession. Toujours est-il que n'ayant pas connu son époque de gloire, je n'ai vu de lui que des bouts d'archives, hélas rien de plus. Mais je tiens particulièrement à lui rendre justice sur l'introduction en guise d'éditorial de son fameux journal du 18 Février 1976. "La France a peur" a-t-il déclaré. Oui, mais comme le fut victime par la suite Michel Rocard, on a retenu qu'un bout de la phrase. Et ce propos était en fait à son honneur, et je vous le restitue dans son intégralité.
"La France a peur et nous avons peur et c'est un sentiment qu'il faut déjà que nous combattions je crois, parce qu'on voit bien qu'il débouche sur des envies folles de justice expéditive, de vengeance immédiate et directe, et comme c'est difficile de ne pas céder à cette tentation quand on imagine la mort atroce de cet enfant.".
La France des années 1970 a cette particularité de voir la montée en puissance de la montée en puissance du rapt, du kidnapping, pour divers motifs crapuleux, qu'ils soient politique ou simplement pécuniaires. Ainsi, le rappelle-t-il, 7 enfants ont été kidnappés en 1975 dans l'Hexagone. La mort du petit Philippe Bertrand a fait la Une des journaux, déchaîne les passions, avec une apogée au début de l'année 1977, quand le grand Robert Badinter a sauvé la tête du jeune Patrick Henry lors du procès de Troyes divers, alors qu'indirectement, il a envoyé de par ce fait, Christian Ranucci à la guillotine (verdict de son procès en Mars 76), pour une exécution aux Baumettes un sombre jour de Juillet 1976.
On parle de Seventies et la passion s'empare de moi. L'Esprit de ces années là reconnaîtra les siens, et Roger Gicquel sera parmi eux.

Bonus vidéo: l'introduction du journal de 20 Heures du 18 Février 1976.
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7 mars 2010 7 07 /03 /mars /2010 10:04
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06/03/2010 04:48 | Poitiers | POITIERS | Imprimer
La pose de deux mille nouvelles plaques de rue

Depuis le mois de janvier, de nouvelles plaques de rue sont posées. La campagne va se poursuivre jusqu'en 2011.

Petite énigme. Quand elles ne sont pas installées on remarque leur absence, mais quand elles sont visibles, on ne les voit pas. Qui sont-elles? Les plaques de rue bien sûr. Que l'une d'entre elle manque et c'est la ville entière qui semble plongée dans le noir. C'est pourquoi la municipalité a décidé de mettre en place 2.000 nouvelles plaques. Des remplacements de vieilles plaques, parfois lumineuses comme à Beaulieu, et des installations dans des artères qui en manquaient cruellement dans certaines portions. Au final, une plaque sur deux est nouvelle. La campagne a débuté en janvier et va se poursuivre de longs mois encore jusqu'en 2011. A ce jour, 109 nouvelles plaques ont été posées en centre-ville, 30 à Saint-Eloi et 19 à Beaulieu. Les suivantes trouveront leur affectation au fil de l'eau, au fur et à mesure de leur fabrication et livraison.


De 35 à 106€ la plaque en alu et en fonte

 

Cette campagne de remplacement est justifiée par l'usure du temps, certaines d'entre elles datant d'une bonne trentaine d'années, voire plus. En centre-ville, le choix s'est porté sur la fonte d'alu (qui ne casse pas contrairement à la fonte d'acier d'autrefois), et dans les quartiers, les plaques émaillées ont été retenues. Leur coût est de 35 à 53€ pour l'émail et de 43 à 106€ pour la fonte. Elles sont fabriquées par la Fonderie Doutre située au Lion d'Angers (49) et la société SES à Chambourg-sur-Indre (37). La facture totale se monte à 205.000 € HT.
Le renouvellement des plaques est également motivé par un souci d'information supplémentaire. Ainsi, une commission composée d'Éliane Rousseau, Jean-Marie Compte et Jean-Daniel Blusseau étudie cas par cas les personnalités qui donnent leur nom à une rue. Avec pour souci, d'apporter des dates de naissance et de mort, ainsi qu'une qualification, une date d'évènement... Ce qui a pour conséquence première d'agrandir la surface de la plaque, et donc son coût.


Plaques en stock

 

Enfin, dernière nouveauté, l'emplacement des plaques sera particulièrement choisi: à l'angle des rues et sur les façades en abandonnant les mats et poteaux. Fabrice Delugeard est chef d'équipe au sein du service Automatisme et circulation. Il supervise la pose: « On fait attention à bien mettre une plaque de chaque côté de la rue. On en conserve certaines. Les plus belles. Elles seront stockées et serviront de remplacement. »
Désormais, on ne pourra plus dire qu'il manque des plaques de rue à Poitiers. Il suffira de lever le nez pour s'en rendre compte.

 

Jean-François MINOT

Plaque-rue-de-la-Regratterie.JPGPoitiers, Rue de la Regratterie, Samedi 6 Mars 2010, vers 10H40.

Vu que ça fait la Une de Centre Presse ce samedi, je me suis dit que ça devait être très important. Alors autant en parlé, mais brièvement.Pour le coup, je trouve que l'idée est bonne: en effet, il est vrai que les rues de Poitiers manquaient d'indication de ce type jusque là, et c'était généralement la galère pour trouver le nom de la rue où l'on se situer. Ainsi, la rue s'effaçait au profit du nom d'ue boutique de référence: ainsi ne dit-on pas la rue Gambetta, mais la rue de chez Gibert, et ainsi de suite. Ce souci d'information du Pictavien, du Poitevin, ou encore du touriste est une bonne chose. Par ailleurs, quand j'ai aperçu ces nouvelles plaques florissantes, j'ai tout de suite apprécié leur style, à savoir vieux, très vieux, en relief, type IIIeme République début XXeme siècle.
Cependant, quelque chose m'échappe. Pourquoi effectuer alors des changements si il y a des plaques déjà existantes et en très bon état? Souci d'uniformité du centre-ville? Je ne sais pas, d'où mon interrogation, mais je ne sais pas si cet investissement sur les voiries étaient impérativement nécéssaire sur des lieux qui n'en avaient point besoin. Et est-ce que cet argent, peu importe le montant, (crise ou pas, ce n'est point le problème du sujet), simplement par principe, n'aurait-il pas pu être affecté à une autre dépense sur les voiries de Poitiers?
Tout ça pour dire que l'initiative était la bienvenue (c'est bête mais je suis attaché à ce genre de petits détails pour une ville) mais finir par en faire trop n'est pas forcément la chose la plus productive: l'inaction, NON, l'action maîtrisée de qualité, OUI!
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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 12:18
Un pays globalement à l'abri malgré quelques risques sismiques sur les zones orientales et méridonales du pays
Carte-France-sismique.JPG
La Nouvelle République, vers le 20 Octobre 1989.
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5 mars 2010 5 05 /03 /mars /2010 19:20
A coup sûr, l'URSS de Brejnev n'a pas vécu sa plus belle journée, tout comme Georges Marchais qui n'a sans doute jamais digéré cette défaite face au camp impérialiste!
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4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 10:59
La parité des prénoms a été instauré pour l'Atlantique à la suite d'une polémique de 1979!
SUDOUEST.COM

Lundi 01 Mars 2010

LA QUESTION DU JOUR.

Dans la nuit de samedi à dimanche, la tempête Xynthia a dévasté une grande partie du littoral Atlantique. Mais pourquoi donner des noms aux tempêtes et cyclones ?

Pourquoi donner des noms aux tempêtes ?
 
 
Le port de La Rochelle après le passage de la tempête. - Xavier Leoty AFP/ArchivesLe port des Minimes de La Rochelle dévasté par Xynthia (photo Xavier Leoty)

Le 24 janvier 2009, la tempête Klaus emportait dans son sillage une grande partie de la forêt des Landes. Une catastrophe naturelle dont certains ne s'étaient pas encore remis lorsque, dans la nuit de samedi à dimanche, Xynthia a ravagé la façade Atlantique.

Le nom de ces tempêtes, les victimes ne sont pas près de les oublier. Mais d'où viennent-ils et pourquoi donner des noms aux tempêtes et cyclones ?

Pourquoi donner un nom aux tempêtes ?

A chaque instant sur Terre, plusieurs tempêtes simultanées se forment et se déplacent. On ne peut donc pas les désigner par une date, ni par un emplacement. Il reste alors deux choix aux météorologues pour identifier ces phénomènes : leur donner une série de numéros particulièrement difficiles à retenir, ou leur donner un nom.

Le fait de donner un nom aux cyclones tropicaux (et aux tempêtes) remonte au 18ème siècle. Cela répond à un besoin de différencier chaque événement des précédents. Les Espagnols donnaient au cyclone le nom du saint-patron du jour, ce qui pouvait créer des doublons.

La première utilisation de noms de personnes remonte au 20ème siècle, lorsqu'un météorologue australien, Clement Lindley Wragge, a commencé à associer aux cyclones des prénoms de femmes, des noms de politiciens qu'il n'aimait pas, des noms historiques et de la mythologie.

Jusqu'en 1979, les tempêtes du bassin atlantique étaient baptisées exclusivement avec des noms féminins, une situation qui a changé après les critiques des mouvements féminins. Depuis, les ouragans sont baptisés alternativement avec des prénoms masculins et féminins.

Les différentes nomenclatures

Dans l'Atlantique nord, un système de listes à été établi avec des prénoms français, anglais et espagnols. Ce système se base sur un cycle de 6 ans et comprend donc six listes. Les années paires débutent par un nom masculin et les années impaires par un nom féminin. Ces listes prévoient 21 noms courants de A à W, sans le Q ni le U. Pour les années "riches" en cyclones, comme 2005 (27 cyclones), il est prévu d'utiliser l'alphabet grec une fois la liste épuisée.

L'ile Maurice fonctionne globalement sur le même principe, mais en raison de la saison australe des cyclones tropicaux, l'année de validité d'une liste va de juillet d'une année à juin de l'année suivante.

Le Pacifique Nord-est utilise un schéma identique mais avec ses propres noms. Les noms peuvent être retirés de la liste en cas de dommages exceptionnels, comme l'ouragan Kenna de 2002, mais c'est assez rare. 

Les Philippines fonctionnent avec 4 listes annuelles principales et quatre listes auxiliaires si besoin.

Les listes du centre-nord du Pacifique ne sont pas annuelles et se basent sur l'alphabet hawaiien. Dès qu'une liste est épuisée, le Central Hurricane Pacific Center passe à la suivante. Le dernier cyclone retiré de cette liste est Loke (2006).

Les 14 nations du Pacifique Nord-ouest utilisent des noms soumis par leurs soins qui ne sont pas nécessairement des prénoms et ne sont pas classés par ordre alphabétique. Dans cette liste Tenbin est suivi de Bolaven car Japon est suivi de Laos.

L'Australie fonctionne avec une liste de 104 noms et peut sauter un nom pour éviter de voir deux cyclones avec des noms trop proches, comme Jane et June. Si les tempêtes arrivent du secteur des Fidji, les Australiens ne changent pas son nom. Les Fidji fonctionnent avec quatre listes et une cinquième qui leur sert à remplacer les noms retirés.

Enfin, la Papouasie-Nouvelle-Guinée utilise la même liste tous les ans et possède simplement une liste de secours en cas d'année mouvementée.

Noms retirés et noms marquants

Dans le bassin de l'Atlantique Nord, on retire en moyenne un nom par saison. Certaines années, aucun n'est retiré, mais en 2006, cinq noms l'ont été. Il peut cependant arriver que des noms soient réutilisés car remis en liste après réévalutation, comme Carol et Edna. D'autres ont été remis en liste mais pas réutilisés, comme Hilda et Janet.

On ne peut nier l'efficacité de ce système de noms car la plupart du temps, lorsque l'on parle de Katrina, l'un des ouragans les plus puissants qui a plongé la Louisiane et la Nouvelle-Orléans dans la désolation en 2005, les gens savent de quoi il retourne. Katrina a d'ailleurs été retirée des listes, ce qui ne peut se faire qu'à la demande d'un pays.

Dans le Sud-Ouest, la tempête Klaus est certes récente, mais elle est gravée dans les esprits, ce qui sera probablement le cas de Xynthia, pourtant, Klaus avait été retiré des listes dans les années 1990...

Pourquoi Xynthia ? Ce sont les météorologues allemands qui ont baptisés cette tempête ainsi. Elle n'est donc pas référencée dans les listes habituelles. Selon les conventions de l'université libre de Berlin, les dépression météorologiques (tempêtes), sont nommées avec un nom féminin les années paires et un nom masculin les années impaires. Bien que cette pratique soit exclusivement allemande, certains noms "célèbres" sont passés dans le langage courant, comme Vivian... et Xynthia.

Pour ce qui est de la tempête de 1999, bien plus connue sous cette dénomination, il s'agissait en réalité de deux tempêtes, Lothar qui avait été suivi de Martin.


Auteur : Alexandra Tauziac
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3 mars 2010 3 03 /03 /mars /2010 21:08
Déreglementer, libéraliser, lois du marché à tout prix, loi du n'importe quoi et du n'importe où = maisons inondées!
"Il faut rendre constructif les zones inondables..."(Avril 2009):
Y a qu'à faut qu'on: le grand refrain sarkozyste!

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POITIERS

Le 7 Janvier 2015,
PPP a reçu
depuis sa création
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Radio Old School

 RADIO OLD SCHOOL

Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
 

DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 
(1972)

 

 
Le prix du pétrole à New York: 108$13

Pétrol Pop, Jean Yanne & Michel Magne, B.O. de Moi Y'en A Vouloir Des Sous (1972)

Vignette 1985

Vignette auto 1985

Vignette 1983

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