En Pro A comme en Pro B, PPP soutient eul' PB86!
Les plus riches de plus en plus riches
La concentration de richesses s'accélère au détriment de la croissance.
Si Bill Gates décidait chaque matin de dépenser un million de dollars, il mettrait plus de deux siècles pour liquider ses 79 milliards de dollars...Les plus riches creusent le fossé qui les sépare du reste du monde. Sur la planète, 1% des habitants possèdent 48% de la richesse mondiale, relève un rapport d'Oxfam intitulé Insatiable richesse.
Le phénomène s'accélère: les 80 premiers milliardaires possédaient l'an dernier un patrimoine équivalent à celui de la moitié de la population humaine, soit les 3,5 milliards de personnes en bas de l'échelle. Il y a deux ans, il fallait 159 milliardaires pour arriver à ce résultat, et 388 milliardaires il y a cinq ans.
Pour rééquilibrer la balance, l'ONG propose une réforme fiscale, avec la création d'un impôt sur les grosses fortunes. Selon ses calculs, une taxation à 1,5% de tous les milliardaires de la planète permettrait de dégager 58 milliards d'euros.
UN ACCROISSEMENT MONDIAL DES INEGALITES
Taxer les très riches n'a rien de révolutionnaire. Les Américains l'ont fait après la crise de 1929.
Quand Roosevelt est élu, l'impôt sur le revenu des plus riches est de 25%. Il le porte à 91% entre 1941 et 1964. Jusqu'à l'élection de Reagan, la taux marginal d'imposition n'est jamais repassé sous les 70%.
Dans son dernier discours sur l'état de l'Union - où 5% des plus riches Américains détiennent 85 de la richesse nationale - Barack Obama a critiqué un système fiscal qui permet aux 400 contribuables les plus aisés d'être imposés à un taux plus faible (17%) que la moyenne des ménages américains. Le salaire minimum, lui, est bloqué à son niveau de 1964:7,25 dollars de l'heure.
Les chiffres d'Oxfam ont été contestés, mais le constat de l'ONG n'est pas remis en question. L'Insee a révélé qu'entre 2008 et 2011 les 10% des ménages français les plus pauvres avaient perdu 151 millions d'euros quand les 10% des Français les plus riches ont gagné 18,4 milliards d'euros.
Dans une étude, l'OCDE a démontré que l'accroissement des inégalités pesait sur la croissance. Entre 1990 et 2010, le Mexique et la Nouvelle-Zélande ont ainsi perdu dix points de croissance quand le Royaume-Uni, la Finlande et la Norvège perdaient neuf points.
Pour se situer sur l'échelle de la richesse mondiale, il suffit d'entrer son salaire annuel et son lieu de travail sur le site GlobalRichList.com, développé par l'association Care. Un Français qui gagne 2000 euros par mois figure parmi les 1,61% les plus riches de la planète.
MP
La Revue XXI, Printemps 2015.
Par contre, souhaitons à Guy Novès de ne pas subir le même sort que...Jonah Lomu, qui faisait la couv' du premier Tampon!
Ils disent ce qu'ils font et ils font ce qu'ils disent: eux, ce ne sont pas des élus, mais simplement le groupe So Press qui avait annoncé la couleur de, à l'instar du génial Pédale!, sortir un hors-série Tampon! pour le Tournoi des VI Nations, qui débute le 6 février par un France-Italie.
Car après le chaotique Mondial (sans parler du duo Jean-Pierre - Laporte) du XV de France, on avait un peu beaucoup d'oublier quelques temps la sélection. Mais voilà, winter is coming, et il faut remettre le bleu de chauffe. Bon, la seule nouveauté, c'est que l'on aura plus la décla à chaud de PSA au bord des larmes à chaque fois.
Toutefois, vu la tragicomédie de ces 4 dernières années (aucun podium sur le Tournoi), une chose est sûre: Guy Novès et sont staff, faute de de produire du beau jeu devront avoir des résultats. ET vite car le désamour entre les Bleus et son public est grand.
Bref, vivement le 2 Février prochain!
PS: j'espère simplement que la diffusion de Tampon! sera moins chaotique que lors du 1er numéro, où la Vienne avait été desservie bien tardivement. Par ailleurs, en matière d'Ovalie, vous pouvez aussi lire (ou relire) l'excellent numéro 7 de la Revue Desports consacré au rugby, à l'occasion de la Coupe du Monde.
Yello est un groupe de musique électronique suiss qui existe depuis 1980. Ce morceau est issu de l'album Stella sorti en 1985. Oh Yeah est l'un des morceaux les plus connus du groupe, reprit notamment dans plusieurs films ainsi que dans des pubs.
Je l'ai découvert par hasard en regardant l'excellente série Philadephia (It's Always Sunny In Philadelphia) où les deux compères la reprennent (dans la saison 5). Oui, vous aussi derrière votre écran, pouvez entonner le morceau:
"Day Bow Bow, Oh Yeah, Day Bow Bow, Oh Beautiful..."
Carte issue de l’ouvrage de Patrick de Ruffray, "Décoloniser les provinces : conversations régionalistes en Poitou-Charentes". Illustration prise sur projetbabel.org
La Vendée attirée par le Poitou-Charentes
"Historiquement, culturellement, tout nous rapproche!" A la veille des élections régionales*, l'Union Poitou-Charentes pour la culture populaire (U.P.C.P) relance une vieille revendication: le rattachement de la Vendée à la région Poitou-Charentes.
"Poitou, Charentes, Vendée, une seule Région!" Pour le dire haut et fort, l'U.P.C.P. qui regroupe quelque 70 associatons locales et 3000 militants a fait réaliser un millier d'affiches qui seront diffusées sur la Région, Vendée incluse.
Philippe de Villiers, président du conseil général de Vendée, avouait récemment à la "N.R." que, pour des raisons historiques et de proximité, son département était tourné tout naturellement vers Poitou-Charentes et non vers les Pays de la Loire. Un appui inattendu mais de poids pour l'U.P.C.P., dont le président Jean-Pierre Tissanié enfonce le clou: "Même économiquement, il est plus intéressant pour la Vendée d'être rattaché au Poitou-Charentes, région de villes moyennes, plutôt que de se faire bouffer par Nantes, la mégapole."
Parallèlement, l'U.P.C.P. avance une autre revendication: la reconnaissance des langues régionales, en particulier le poitevin-saintongeais. Un projet de loi, signé par les députés socialistes André Clerc (Deux-Sèvres) et Jacques Santrot (Vienne), dort sur les bureaux de l'Assemblée. "On espère qu'il sera présenté à la session de printemps...Sinon, notre seul espoir est l'Europe. La Belgique a déjà reconnu le Picard et le Wallon".
La Nouvelle République, Décembre 1991.
*: les élections régionales ont eu lieu en Mars 1992.
Par Philippe de Lara*
Le régime soviétique n’est pas seulement un régime d’oppression, c’est aussi une mauvaise habitude. La terreur stalinienne, puis le totalitarisme routinisé ont façonné en 70 ans un mode de vie, qui est pour ainsi dire gravé dans les mentalités et dans les paysages. C’est pourquoi la quatrième des quatre lois dites de «décommunisation» votées en avril 2015, celle sur la condamnation des régimes totalitaires nazi et communiste, et l’interdiction de la promotion de leurs symboles est bien plus qu’une «loi mémorielle». Elle s’attaque à un monde vécu, au soviétisme du quotidien dans lequel la plupart des Ukrainiens sont nés. La loi prévoit en particulier la destruction ou la modification des monuments soviétiques, et le changement de nom de 943 localités, et des noms de rues liés au communisme. Ce ne sont pas seulement des grandes avenues, mais aussi des places de villages, des stations de métro (à peu près toutes celles du métro de Kharkiv par exemple), etc. qui devraient changer de noms. Des habitudes sont bousculées, des repères vont disparaître. Au-delà, c’est le récit national, la mémoire collective qui sont en train d’être refondés. Mais, précisément parce que l’entreprise est gigantesque et déstabilisante pour une partie de la population, elle se déroule dans un foisonnement d’initiatives, de controverses et parfois de manœuvres. Loin de se réduire à une «politique publique», c’est une vaste anamnèse collective.
Jusqu’au 21 février 2016, les collectivités locales doivent décider des changements de nom dans les cas prévus par la loi, après quoi l’initiative passera au Parlement. Cette échéance suscite une immense conversation civique dans le pays. Tout le paysage urbain, et pas seulement les grandes villes restent saturés de noms de rue et de monuments célébrant l’ère soviétique. 4200 statues de Lénine ont été enlevées, abattues ou transformées depuis l’indépendance, dont 857 depuis le début de la révolution en novembre 2013. Mais il en reste encore 1300 (sans compter les monuments à Lénine et à Staline récemment édifiés dans la partie du Donbass sous le contrôle des milices pro-russes). On trouve partout (sauf dans l’ouest du pays) d’innombrables avenues Lénine, plus de 200 rues Félix Dzerjinski, du nom du fondateur de la Tcheka, l’ancêtre du KGB, dont le buste trône sur le bureau de Vladimir Poutine, mais aussi des rues portant le nom de cadres locaux du parti ou de la police secrète, des noms souvent oubliés, mais qui s’avèrent être ceux d’organisateurs de la Grande famine de 1933 ou d’autres répressions. Comment déterminer les noms à changer dans la zone grise des personnalités diverses compromises avec le régime, mais dont la responsabilité criminelle est incertaine (par exemple, les écrivains qui ont participé à des campagnes contre des confrères dissidents étaient-ils volontaires ou contraints) ? Quel nouveau nom choisir ? Faut-il rétablir les noms d’avant la conquête soviétique lorsqu’ils existent ? Faut-il remplacer chaque monument soviétique par un autre monument ?
L’héroïsation de pacotille de l’espace urbain par des monuments et des plaques commémoratives est caractéristique du monde soviétique. Le mouvement social de «Leninopad» (chute de Lénine, on pourrait aussi traduire en «Good bye Lénine») fait preuve d’une grande imagination. Beaucoup de statues sont abattues mais d’autres habillées aux couleurs de l’Ukraine (bleu et jaune) ou modifiées, comme à Odessa ou un sculpteur a transformé une statue de Lénine en Dark Vador — clin d’œil d’autant plus savoureux que La guerre des étoiles est très présente dans l’imagerie politique de l’après Maidan, jusqu’à des candidatures fantaisistes aux élections. La grande statue érigée devant le célèbre Marché de Bessarabie, au bout du Krechtchatyk, l’artère centrale de Kiev qui fut l’épicentre de la révolution, a été abattue en décembre 2013. Par quoi la remplacer? Le débat est intense depuis deux ans et la proposition la plus intéressante est peut-être celle de ne rien faire pour l’instant, de ne pas céder à la pulsion monumentale et de laisser mûrir un projet urbain pour cette place.
Les élus conservateurs de Kharkiv ne manquent pas d’humour : la rue Dzerjinski gardera son nom, mais en référence au frère de Félix, médecin. Quant à l’avenue Rosa Luxembourg, elle deviendra avenue du Luxembourg ! A Dniepropetrovsk, plus de 300 noms ont été changé, mais l’épineuse question du nom de la ville divise la population entre plusieurs options : «Ekaterinoslav», l’ancien nom impérial, mais ce serait remplacer le nom de Gregori Petrovsk, président du soviet suprême et l’un des principaux responsables du Holodomor, par celui d’un symbole de la domination russe ; «Sitcheslav», allusion au passé cosaque ; ou tout simplement «Dniepr». Aussi le maire Filatov se défausse prudemment sur les décideurs nationaux (1).
A Kiev, la municipalité a pris l’initiative et consulte la population sur le choix des nouveaux noms. Mais certaines personnalités importantes ont été oubliées, comme Wanda Wasilewska, écrivain officiel de l’après-guerre, symbole honni de l’aliénation culturelle en Pologne comme en Ukraine. Une pétition a été lancée par des intellectuels. Les discussions sont également nombreuses sur la valeur artistique ou historique de certains monuments. Volodmymyr Viatrovych, le directeur de l’Institut de la mémoire nationale, principal artisan des lois de décommunisation a bien formulé le problème : «la loi permet que toutes les pièces ayant une valeur artistique soient déplacées et exposées dans des musées ? Nous pouvons montrer notre passé soviétique dans des parcs et des musées spécialisés. Mais nous ne pouvons pas le faire si le passé soviétique vit parmi nous, car il nous défigurerait.» Nul ne regrettera la disparition de la statue de Demian Korotchenko, un ancien Premier ministre soviétique à Kiev, déclare Genia Moliar, en revanche, la sculpture dédiée au Komsomol qui a été vandalisée dans le parc Nyvky était une œuvre exceptionnelle inscrite au patrimoine national.
Genia Moliar, la jeune animatrice du projet «Mosaïques soviétiques en Ukraine» n’a rien d’une nostalgique de l’URSS. Elle se consacre depuis six mois au sauvetage de ces mosaïques : «le paradoxe de cet art monumental est dans son essence même. Il est censé avoir été créé par idéologie, mais il s’avère qu’il est anti-idéologique. Les mosaïques ont déjà perdu toute la charge idéologique qui les imprégnait, et elles révèlent aujourd’hui leur beauté unique.» Comment concilier les exigences de la liberté et celles de la beauté, comment se débarrasser des traces du passé totalitaire sans détruire les œuvres créées au cours de ce passé ? Diversion inutile dans un pays en guerre, où les problèmes vitaux sont légion et où l’édification d’un État de droit avance trop lentement — certains ont même dénoncé le coût des changements de noms ? Je crois qu’il s’agit au contraire de la poursuite de ce qui a commencé sur le Maidan en novembre 2013, de cette sortie ultime et sans faux-semblants du communisme dans laquelle les Ukrainiens se sont engagés.
(1) Boris Filatov est l’homme lige de l’oligarque Kolomoïski, ancien gouverneur de la région aujourd’hui en délicatesse avec le pouvoir, figure ambiguë, symbole de l’ancien régime mais aussi partisan du Maidan qui a financé la défense du Marioupol. Il a battu de peu à l’élection municipale Galyna Boulavka, figure de la révolution, qui avait lancé la décommunisation comme maire intérimaire.
* Philippe de Lara, enseigne la philosophie et la science politiques à l’université Panthéon Assas. Dernier ouvrage paru, Naissances du totalitarisme, Paris, 2011.
Philippe DE LARA
L'HISTOIRE DU JOUR
Dans les rues de Madrid, Franco n'aura bientôt plus droit de cité
Madrid - correspondance
Près du parc de Retiro, à Madrid, un passage porte le nom du général Mola, cerveau du coup d'Etat militaire contre la Seconde République espagnole, en juillet 1936. Dans le quartier de Vallecas, une autre rue est baptisée du nom de l'aviateur Francisco Iglesias, responsable du bombardement de 3000à 5000 réfugiés qui fuyaient Malaga. "Arriba España", le slogan franquiste par execellence durant la guerre civile (1936-1939), a quant à lui donné son nom à une place de la capitale. Le militaire putchiste Juan Yagüe Blanco était surnommé le "boucher de Badajoz" pour le massacre organisé dans la capitale de l'Estrémadure. Les "Tombés de la division Azul" sont ceux qui ont lutté aux côtés de l'Allemagne nazie et de l'Italie fasciste contre les Soviétiques durant la seconde guerre mondiale. Tous ont une rue à leur nom à Madrid.
Quarante ans après la mort du dictateur, Franco et les militaires putchistes qui l'ont porté au pouvoir sont omniprésents dans le répertoire des rues de la capitale du royaume. Madrid n'a jamais débaptisé ces axes, ni au retour de la démocratie ni ces vingt quatre dernière années quand le Parti Populaire (PP, droite) dirigeait la ville et répétait à l'envi qu'il "ne faut pas rouvrir les vieilles blessures". En face, les fils et petis-fils de républicains demandaient de "les refermer".
Au second semestre 2016, trente rues qui commèmorent des phalangistes et des putchistes seront finalement débaptisées. la capitale espagnole, administrée de puis juin par une plate-forme citoyenne, Ahora Madrid ("Madrid Maintenant", soutenue par le parti de la gauche anti-austérité Podemos, a approuvé cette mesure avec les voix des socialistes et de Ciudadanoms, le nouveau parti centriste. Le PP s'y st opposé. Sa porte-parole, la présidente de la formation dans la région, Esperanza Aguirre, a critiqué un "revanchisme" qui va à l'encontre de "l'esprit de réconciliation de la transition".
Pour la conseillère à la culture, Celia Mayer, il s'agit au contraire de mettre fin à "une contre-mémoire, un abandon et une impunité" et d'appliquer avec huit ans de retard, la loi de mémoire historique. Voté en 2007 par le gouvernement socialiste de José Luis Rodriguez Zapatero, ce texte enjoignait aux autorités compétentes de "retirer les insignes, plaques, mentions commémoratives d'exaltation, personnelle ou collective, de la guerre civile et de la dictature".
A Madrid, la liste des noms à changer a été élaborée à partir de recommandations de la chaire de Mémoire historique du XXè siècle de l'université de Complutense. Elle pourrait être amenée à s'allonger encore. La ville en profitera pour réparer des oublis, en donnant des noms de rue aux "femmes, qui sont absolument invisbles dans le répertoire des rues, et aux personnes qui, sur le terrain, ont contribué à construire Madrid", explique Celia Mayer.
Sandrine MOREL
Le Monde, 23 Décembre 2015.
Symbole de la lutte contre la délocalisation, une partie des ouvriers des thés Eléphant s'est rassemblée pour lancer en 2014 la Société de Coopération Ouvrière Provençale de Thé et Infusion (SCOP-TI) après 1336 jours de lutte sociale contre Unilever qui voulait délocaliser leur usine en Pologne, car jugée pas assez rentable.
Refusant d'être sacrifiés sur l'autel de la rentabilité, 58 de ces employés (sur 182 travaillant dans cette unité de production) ont fait le choix, courageux, de poursuivre la production du thé, préservant ainsi leur savoir-faire ainsi que leur emploi dans la région d'Aubagne.
Ce thé est pour tout dire délicieux. Il a un goût. Un vrai goût d'arômes naturels que l'on ne retrouve pas chez Elephant par exemple (j'ai un gros faible pour la menthe douce).
Mais il a un coût. Le coût véritable du travail. Toutefois, 3€ la boîte de 25 sachets, là où les mastodontes (Lipton, Elephant) ou marque intermédiaire de supermarché, vendent la même boîte 1€ voire 1€50 moins cher. OK c'est vrai. Mais avec des ouvriers d'Europe de l'Est payés au mieux 500€ par mois avec un dumping fiscal ignoble, l'entreprise ne peut que voir ses profits s'envoler.Et au fond, paye-t-on le véritable de prix de ce travail? 3€00 les 25 sachets revient à acheter un sachet à...12 centimes TTC. 12 centimes quoi! Ce même thé que l'on accepterait de payer sans broncher 3€00 à la terrasse d'un café. Un demi paquet de clopes pour soutenir des ouvriers qui travaillent et tentent de proposer un commerce alternatif reposant sur des valeurs humaines! Acheter le thé 1336, c'est accepter de payer un bien à son juste prix, chose que la guerre des prix des chaînes de supermarché et la mondialisation ne nous ont plus habitué. 20 Francs une boîte de thé, c'est pas le bout du monde quand même!
L'essayer, c'est l'adopter. Je reprendrais pour conclure très modestement l'excellente devise de la SCOP-TI: "Eveille les consciences, Réveille les papilles".
Vidéo produite par gouvernement.fr (2015)
RADIO OLD SCHOOL
Une rubrique exclusivement consacrée à de la musique "à l'ancienne" type Disco Soul Funk Electro 1990's et autres
perles auditives.
Histoire pour les amateurs de découvrir un genre musical de qualité hélas disparu.
A l'écoute:
DEODATO
Skyscrappers
Album:
OS CATEDRATICOS/73 (1972)